Vous pouvez tout à fait choisir entre différentes essences de bois comme le pin, le chêne ou l'acacia, pour des murs ou une clôture avec un design qui vous plaira.
Pour protéger au mieux les murs de soutènement en bois, vous devez acquérir des matériaux de haute qualité afin de garantir qu'ils restent solides le plus longtemps possible et qu'ils ne pourrissent pas. Le type de bois le plus logique à utiliser pour cela est le bois de contact pour fondations.
Poteau bois autoclave 15x15 Long.
Fabriqués en Pin, les éléments sont traités sous pression en autoclave (sans produits toxiques) avec un procédé spécial garantissant un classement 4 (contact prolongé avec l'eau et la terre) et une longévité optimale.
Les matériaux qui peuvent être utilisés pour leur réalisation sont : Maçonnerie de pierre jointoyée, de béton non armé ou en béton cyclopéen (blocs de pierres ou moellons noyés dans le béton) coulé en place. Maçonnerie de pierres sèches ou pierres non jointoyées et/ou gabion.
Pour monter un mur de soutènement, la solution la moins chère serait celle du bloc à bancher. En effet, cette solution permet de mettre en oeuvre des coffrages préfabriqués, ce qui reste le moins onéreux.
Des fondations hors gel pour le mur de soutènement
Par exemple, si vous vivez le long des côtes Atlantique ou Méditerranéenne, 50 cm de profondeur suffisent. En revanche, si votre terrain se situe en montagne, dans les Pyrénées, le Massif Central ou les Alpes, il faut creuser jusqu'à 1 m de profondeur selon l'altitude.
La largeur de la semelle correspond environ à 0,5 à 0,66 × hauteur, avec un minimum de 40 cm. La partie de la semelle côté mur visible (la plus courte) est de 0,15 à 0,20 × hauteur. Avec des parpaings classiques, la largeur de mur est de 20 cm (épaisseur minimale).
Le prix d'un mur de soutènement est de 160€/m² en moyenne, avec une fourchette comprise entre 60€ et 400€/m² construction incluse. Plus spécifiquement, le tarif d'un mur de soutènement en buses de béton va de 60€ à 80€/m², alors que celui d'un mur de soutènement en béton banché va de 150€ à 400€/m².
Dans la plupart des cas, on peut réaliser des jambes de force qui permet de maintenir et renforcer le mur. Cette technique permet de « rattraper » un mur fragilisé par l'eau ou la terre. Il faudra creuser et insérer à la base du ciment ou du béton armé pour réaliser un mur renforcé.
Commencez par la base du talus en installant un premier rang de planches, puis nivelez la terre pour obtenir un niveau plat. Installez une deuxième rangée de planches lorsque l'inclinaison de la pente s'accentue. Plus le talus est abrupt, plus il faut rapprocher les rangs les uns des autres.
Le pin, mélèze, douglas, western red cedar, châtaignier et chêne représentent un bon compromis pour les revêtements extérieurs, même sans traitement. Le sapin blanc et l'épicéa nécessiteront quand à eux une protection pour pouvoir durer dans le temps.
Les bois naturellement imputrescibles sont les bois exotiques d'Asie ou d'Amazonie comme le teck ou l'ipé par exemple. Ce sont des bois onéreux, rares, et la forte demande européenne en menace les forêts. L'alternative durable est le traitement des bois européens avec un procédé naturel comme le frêne thermo-chauffé.
Les bois durs comme le châtaignier ou le chêne proposent des performances honorables. Les bois tendres, tels que le pin, le sapin ou l'épicéa exigent un traitement par autoclave afin d'être protégés des champignons, des insectes et de l'humidité.
Le poids et la taille de votre mur en parpaings.
Généralement, les fondations d'un mur en parpaings de 2 m sont profondes d'environ 20 à 30 cm.
Le ferraillage du mur de soutènement se compose de fers horizontaux placés dans les blocs de coffrage à tous les rangs ainsi que de fers verticaux plus ou moins espacés selon les consignes du bureau d'études (tous les 20 à 50 cm). Les aciers utilisés sont des fers tores de 10, 12 voire 14mm de diamètre selon les cas.
Qui doit prendre en charge la construction d'un mur de soutènement? ll revient à votre voisin de construire et d'entretenir ce mur. Le propriétaire d'un terrain en surplomb est, en effet, responsable de la retenue de ses terres (cass.
Coulez directement le béton (au moins 4cm) avant que la terre ne s'affaisse et n'abîme votre travail. Rajoutez ensuite des graviers sur environ 10cm d'épaisseur pour mettre en place un lit de graviers. Déposez maintenant le ferraillage de semelle en laissant un espace de 4 cm en périphérie par rapport au bord du trou.
Les gabions sont une solution très en vogue. Il s'agit de cages métalliques dans lesquelles sont stockés des galets ou autres petits rochers. Pour créer une retenue de terre, il suffit d'aligner les cages sur la longueur souhaitée puis de les superposer jusqu'à obtenir la hauteur de retenue désirée.
Le drain horizontal, idéalement situé au ras du mur, permet une bonne évacuation vers les réseaux d'eaux pluviales. Les barbacanes, installées à des intervalles réguliers sur la paroi du mur de soutènement, font écouler les eaux excédentaires vers l'extérieur.
La profondeur d'enfoncement des rondins est fonction de la nature du sol (mou/dur), de la hauteur du mur et de la charge à supporter (remblai instable ou sol stable). En moyenne, on peut prendre 1/3 enfoncé en terre pour 2/3 de mur. Le diamètre des rondins est lui aussi fonction de la hauteur de mur.
La technique dite du décrochement
En théorie, pour construire un muret en parpaings sur un terrain en pente, il est recommandé de réaliser la structure selon un système de décrochement. Plus concrètement, cela se matérialise sous la forme d'un mur en escalier qui suit le profil du terrain.