-C. Les Arawaks étaient présents environ 100 ans avant notre ère, avant d'être chassés par les Indiens Caraïbes. Ces deux peuples étaient originaires du bassin de l'Orénoque dans l'actuel Vénézuela. La Martinique connait différents noms : Madinina, « l'île aux fleurs » ou Jouanacaera, « l'île aux iguanes ».
Ils l'appelaient Matinino, nom que Colomb traduisit par isla de las mujeres , « l'île aux femmes » et non l'île aux fleurs ainsi que l'affirment l'Encyclopædia Universalis ou la Britannica.
On ne sait pas vraiment qui ou à quelle occasion on parla pour la première fois de "l'île aux fleurs" pour désigner cette terre des Antilles autrement appelée Madinina.
Les premiers habitants de la Martinique sont les Arawaks, venus d'Amazonie. Ils s'installèrent à la Martinique, et plus précisément aux alentours de la montagne Pelée, pour pratiquer la pêche, l'agriculture, la cueillette, et fabriquer de superbes céramiques colorées.
La Martinique (Matinik en créole) fait partie des Antilles françaises et constitue, depuis 1946, un département français d'outre-mer (c. -à-d. un DOM). Avec une superficie de 1100 km², mesurant 70 km de long et environ 30 km de large, la Martinique est le plus petit des départements d'outre-mer.
Aux Antilles françaises, un béké est un blanc créole descendant des premiers colons. Ce terme concerne principalement les descendants originaires de la Martinique mais aussi ceux de Guadeloupe.
C'est à eux que la Guadeloupe doit son nom Karukéra, " l'île aux belles eaux " en langue caraïbe. En novembre 1493, le navigateur espagnol Christophe Colomb débarque à Sainte-Marie, dans l'île qu'il appelle Guadeloupe, en référence au monastère de Santa Maria de Guadalupe d'Estrémadure.
L'île est habitée depuis plus de 2 000 ans avant J. -C. Les Arawaks étaient présents environ 100 ans avant notre ère, avant d'être chassés par les Indiens Caraïbes. Ces deux peuples étaient originaires du bassin de l'Orénoque dans l'actuel Vénézuela.
Ces patronymes et matronymes ont été attribués aux anciens esclaves des colonies françaises de Guadeloupe, Guyane, Martinique et Réunion lorsqu'ils ont été affranchis ou après l'abolition définitive de l'esclavage en France. Relevé de la population dans les colonies françaises en 1789.
Composée majoritairement de personnes d'origine africaine et de métis comme à la Jamaïque ou en Haïti, elle comprend aussi des individus d'origine européenne et asiatique (notamment du sous-continent indien et du Moyen-Orient).
On parle aussi volontiers dans les journaux de l' « Hexagone2 » et des Départements d'Outre Mer (DOM) de la « communauté antillaise » pour désigner les personnes originaires de Martinique, de Guadeloupe et parfois par extension de Guyane3.
1. Les Anses-d'Arlet. Concourante au titre du meilleur village français en 2020, la ville des Anses-d'Arlet est assurément un des plus beaux villages de Martinique. Nichée sur la côte Sud Caraïbe de l'île, sur la réputée « route des Anses », elle est un petit coin de paradis appelant à la farniente décomplexée.
La préposition à est généralement employée pour les îles petites ou encore éloignées de la France. Dans le cas des îles petites et éloignées, le nom de l'île est souvent accompagné d'un déterminant (à la ou aux). On utilisera plutôt en pour les grandes îles assimilées à des pays.
En effet, le 19 mars 1946, les colonies de la Guadeloupe, de la Guyane, de la Martinique et de La Réunion sont érigées en départements français.
Première colonie française aux Antilles à partir de 1625, Saint-Christophe sert longtemps de point de départ pour coloniser d'autres îles. Occupée par les Britanniques à partir de 1702 pendant la guerre de la Succession d'Espagne (1701-1713), elle leur sera définitivement cédée en 1713.
Pour certains, le nom « Martinique » serait une version francisée de « Madinina » ou « Madiana » anciens noms de l'île que les Arawaks lui auraient donné. Ce nom signifiait « île aux femmes ». En effet selon les Arawaks, l'île n'était habitée que par des femmes au moment des voyages des explorateurs dans la zone.
John Brown (vers 1810 - 1876) était un esclave américain de Virginie. Il est également connu par son nom d'esclave, Fred.
Les premières descriptions des possibles ancêtres des créoles antillais sont le fait de missionnaires, de clercs ou de visiteurs blancs qui parlent d'un "baragouin", d'un "français corrompu" utilisé pour communiquer avec les "Sauvages" (Indiens Caraïbes) lorsqu'ils étaient nombreux dans les îles, puis avec les "Nègres" ...
Les origines des créoles
Les premières créoles ont vu le jour en Nubie, une civilisation africaine située dans l'actuel Soudan. Plus tard, en 1500 av. J. -C, on les retrouve en Égypte où ces bijoux étaient très appréciés de la population de l'époque, car ils symbolisaient richesse pour certains et beauté pour d'autres.
Dans les départements, régions et collectivités de la France outre-mer (DROM-COM), le terme Z'oreille (qu'on peut aussi orthographier Zoreilles, Z'oreil ou encore Zorey) désigne un Français métropolitain.
Voici comment l'esclavage a été aboli en Martinique en 1848. 27 avril 1848. Sous l'impulsion de Victor Schœlcher, homme politique français, un décret pour l'abolition de l'esclavage est signé par le gouvernement de la IIe République.
Habitante des Antilles, originaire des Antilles.
Le terme Gwada est une abréviation du nom propre Guadeloupe qui est une région d'outre-mer, faisant partie des Antilles françaises localisées dans la mer des Caraïbes, composée de deux îles principales. Exemple : On part en Gwada cet hiver. On est sûrs d'y trouver du soleil.
A leur arrivée en Guadeloupe au 15e siècle, les Espagnols rencontrèrent les Arawaks, une peuplade qui avait fui le peuple des Caraïbes qui les prenaient alors pour leurs esclaves. Aujourd'hui, les Caraïbes et les Arawaks font encore partie des populations présentes sur certaines îles de la région.
Les « Blancs-Pays » sont encore appelés « Blancs-créole » en Guadeloupe, « békés » étant le nom qu'on leur donne en Martinique.