En grammaire on dit qu'un verbe est défectif quand il ne se conjugue pas sous toutes les formes possibles. Les verbes impersonnels sont donc aussi des verbes défectifs. Voici quelques exemples de verbes défectifs: bruire, distraire, traire, extraire, soustraire, paître.
Un verbe défectif est un verbe pour lequel certaines formes conjuguées manquent ou bien sont inusitées à certaines personnes, à certains temps ou à certains modes. n'existent qu'à l'infinitif. ne sont pratiquement jamais employées, hors tournure poétique.
C'est le cas des verbes unipersonnels qui ne peuvent s'employer qu'à la troisième personne comme les verbes météorologiques qui n'ont ni impératif ni participe présent : geler, neiger, pleuvoir, venter…
Conjugaison : Falloir n'a ni impératif ni participe présent. Il n'est bien employé qu'aux troisièmes personnes puisque c'est un verbe impersonnel.
Le verbe clore est un verbe défectif, c'est-à-dire qu'il ne se conjugue pas à tous les temps et toutes les personnes. Il ne se conjugue pas aux première et deuxième personnes du pluriel (nous et vous) au présent de l'indicatif et au présent de l'impératif.
Le verbe aimer est difficile à conjuguer : son passé n'est pas simple, son présent n'est qu'indicatif, et son futur est toujours conditionnel." Le verbe aimer en français.
Le verbe falloir signifie être l'objet d'un besoin, d'une nécessité ou d'une obligation. C'est un verbe impersonnel (le sujet est toujours « il », ce sujet ne désigne ni un objet ni une personne).
Réponse : On nomme ce type de verbes « des verbes impersonnels ». Les verbes comme « falloir » et « pleuvoir » présentent en effet la particularité de ne pas se conjuguer à toutes les personnes. On dit ainsi « il faut », « il pleut » mais certainement pas « je faus » ni « je pleue » !!
Le verbe frire a un comportement plutôt étrange… Bien qu'on puisse le conjuguer à l'indicatif présent au singulier : Ma sœur frit le poisson dans l'huile, ce verbe ne peut pas être conjugué à l'indicatif présent au pluriel, ni à l'indicatif imparfait!
Pleuvoir, verbe impersonnel, ne se conjugue qu'à la 3e personne du singulier. Il pleut, il pleuvait, il pleuvra. Pleuvoir v.i. = tomber en abondance, peut aussi se conjuguer à la 3e personne du pluriel.
La principale caractéristique de l'impératif est de n'exister qu'aux personnes : tu, nous et vous et ce, sans sujet exprimé. Il permet d'exprimer un ordre, donner un conseil ou faire une suggestion. En général, l'impératif est identique au présent de l'indicatif à l'exception près qu'il n'a pas de sujet.
Traire, braire et raire. On considère que le verbe traire et ses dérivés (extraire, soustraire, distraire, abstraire) comme le verbe braire sont défectifs. Ces verbes ne se conjuguent pas en effet au passé simple, ni à l'imparfait du subjonctif.
A la place de la 3e personne du singulier ( il ou elle ), on peut mettre un nom singulier : * Il mange une pomme. ==> Mon frère mange une pomme.
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
On dit ainsi "tomber des cordes" ou "tomber des hallebardes". Mais aussi "tomber comme à Gravelotte".
Comment écrire il a plu ? Dans cette phrase, faut-il écrire plu ou bien plut avec un t ? Les deux mots existent mais ils ne correspondent pas à la même chose. On écrit la phrase il a plu sans aucune autre lettre après le u .
Les dérivé du verbe dire sont : redire, médire, redire, interdire, contredire, dédire, maudire. Et c'est là que commence la difficulté. Parmi tous ces dérivés, seul le verbe redire, re dire, qui signifie dire encore, dire à nouveau, eh bien, seul ce verbe a exactement la même conjugaison.
On écrit toujours « il a fallu ».