Les inconvénients des voitures électriques sont principalement liés à la batterie et à sa recharge, qui ne posent pas de problème pour une conduite en ville, sur des petits trajets, mais qui peuvent être plus contraignants pour les longues distances.
L'essor de la voiture électrique est directement menacé par la forte hausse du coût des matières premières utilisées pour la fabrication de ses batteries, qui a déjà entraîné les premières hausses de prix. Sa démocratisation semble un objectif de plus en plus difficile à atteindre.
La plupart des pannes de voitures électriques sont dues à un problème de batterie. On considère que 54 % des pannes sur ce type de voiture sont dues à la batterie. Il est important de savoir que si votre voiture est déverrouillée, elle pourra occasionner la décharge complète de la batterie.
La voiture est le moyen de transport individuel le plus polluant et la cause d'une grande partie des rejets de Co2 dans l'atmosphère. La voiture en ville est dans certains cas moins rapide à cause des embouteillages. Ces embouteillages sont la cause de frustration et de stress chez le conducteur.
La durée de vie d'une batterie est de l'ordre de 8 à 10 ans. Il s'agit bien entendu d'une moyenne : certains modèles pourront tenir 12 à 15 ans, tandis que d'autres supporteront beaucoup moins bien l'usure.
Le fonctionnement d'une voiture électrique est beaucoup plus simple. Son moteur ne demande pas d'entretien particulier. Pas besoin donc de faire une vidange ou de remplacer les bougies. Pas besoin non plus de changer le filtre à air ou le filtre à carburant, car la voiture électrique n'en a pas.
Ce vieillissement est principalement dû à la puissance de la recharge, la durée d'utilisation ou encore la fréquence d'utilisation avec une batterie en charge pleine ou presque vide. Le phénomène de vieillissement de la batterie des véhicules électriques est donc tout à fait normal.
A partir de 2035, les véhicules neufs vendus sur le territoire de l'Union européenne ne devront plus émettre le moindre CO2 à l'échappement. On parle ici des véhicules légers : voitures et utilitaires ne dépassant pas les 3,5 t. Les poids lourds et les autobus ne sont pas concernés. Ni les deux-roues.
Réputées plus fiables, les voitures électriques sont moins susceptibles de tomber en panne que les voitures à moteur thermique car elles ont moins de composants. Cependant, cette technologie est encore relativement récente et des problèmes peuvent donc arriver. En outre, certains VE sont plus fiables que d'autres.
Plus de toxicité dans la production des voitures électriques
Par exemple, le rapport considère que l'impact sur la santé humaine est plus élevé pour les voitures électriques en raison de l'utilisation supplémentaire du cuivre, et selon les cas, du nickel.
Le futur de la voiture électrique est très lié avec le futur de la voiture thermique. Celle-ci est en train de vivre ses dernières années, en tout cas en Europe. Le Parlement européen a voté en faveur de l'interdiction de la vente de véhicules thermiques neufs dès l'année 2035.
L'interdiction de la commercialisation des autos thermiques est prévue pour 2035. Mais pour les entreprises, le changement pourrait avoir lieu plus tôt que prévu. En effet, pour doper le marché de l'occasion, un député européen propose de les obliger à acheter uniquement des voitures électriques dès 2030.
A court et à moyen termes, la voiture électrique ne pourra donc pas fournir de contribution importante à la lutte contre les changements climatiques.
Maintenir un niveau de charge entre 20 % et 80 %
Une recharge complète répétitive abîme les cellules de la batterie lithium-ion.
Il améliore surtout la vie en général, car il n'émet que très peu de pollution dans l'atmosphère. En généralisant le recours aux voitures électriques, on espère lutter contre le réchauffement climatique, préserver la planète et ses ressources.
À partir du 1er janvier 2023, les véhicules les plus polluants seront interdits dans les agglomérations de plus de 150.000 habitants. C'est le principe des Zones à Faibles Émissions qui devraient être mises en place dans 45 agglomérations françaises.
La fin des moteurs thermiques c'est pour 2035, mais que vont devenir nos voitures essence et diesel ? Après de longues négociations avec les pays membres, l'Union européenne a récemment validé la fin des moteurs thermiques qui prendra effet dès 2035.
Les scientifiques ont alors défini que les voitures autonomes pourraient générer 0,14 gigatonne de gaz à effet de serre en plus, seulement sur une heure de conduite par jour en moyenne. Le principal souci vient de l'électricité qu'il faut pour faire fonctionner l'ensemble du système du véhicule.
D'après le PDG d'Intel, Brian Krzanich, pour seulement 8 heures de conduite, un véhicule autonome pourrait générer et consommer près de 40 téraoctets de données ce qui représenterait 40 disques durs d'ordinateur. Par conséquent chacun de ces véhicules en circulation produira autant de données que 3 000 utilisateurs.
Le prix de la Tesla Model S se situe entre 62.000 à 76.000 €. L'autonomie de la Tesla S est complète, mais elle n'est disponible qu'avec des fonctionnalités limitées dans la majorité des pays actuellement. Le prix de la Mercedes-Benz se situe entre 80.000 et 100.000 €.
" À partir de 2035 voire 2030, les constructeurs n'afficheront plus dans leur catalogue neuf que des véhicules électriques à batterie. En revanche, les concessionnaires auront toujours le droit de vendre des véhicules d'occasions thermiques ", rappelle Bernard Jullien, économiste spécialiste de l'industrie automobile.
Pour le moment seules les voitures hybrides se rechargent entièrement en roulant. En fait, ce sont des voitures qui ont 2 moteurs : 1 moteur thermique à essence et 1 moteur électrique. Concrètement, un véhicule hybride utilise le moteur électrique pour assister le moteur thermique et vous faire économiser de l'essence.
La Tesla Model 3 Long Range vous permet de parcourir 560 km sans recharger la batterie.