Les nuages cumuliformes se développent lorsque l'atmosphère est instable. Les principaux sont les cumulus et les cumulonimbus.
3 sortes «principaux» : Cirrus (nuages élevés), Stratus (nuages bas à développement horizontal), et Cumulus (nuages généralement bas à développement vertical) avec d'autres types dérivés ; 3 sortes intermédiaires des 3 précédents : Cirrostratus, Cirrocumulus et Stratocumulus.
L'altostratus (As) : 2 à 6 km d'altitude
Plusieurs couches d'altostratus peuvent se superposer avec des intervalles de quelques dizaines de mètres et sont souvent associées aux altocumulus. Effet : Quand il est épais, il peut amener de la pluie, de la neige ou des granules de glace.
Nuages bas : stratus, stratocumulus, nimbostratus
Le stratocumulus se présente en bancs ou nappes grises ou blanchâtres avec des parties sombres. Le pire est le nimbostratus : épais, gris et sombre. Prévision : nuages bas = mauvaise pioche (brouillard, brume, pluie, neige).
Cumulonimbus (Cb) | Altitude : 300 à 17 000 m
C'est le nuage d'orage. Sa base aux alentours de 300 à 1 000 mètres peut s'étendre verticalement au-delà de 10 000 mètres (jusqu'à la stratosphère où son sommet s'étend, formant une enclume).
De nombreux types de nuages se forment plus près du sol, à 2 000 mètres ou moins, et s'étendent haut dans l'atmosphère. Ces nuages sont appelés nimbostratus, stratus, stratocumulus, cumulus et cumulonimbus. Ils sont constitués de gouttelettes d'eau provenant de l'air chaud environnant.
CUMULONIMBUS (Cb) - 600 à 17 000 m d'altitude
Ils forment d'énormes volutes au sommet en panache ou en forme d'enclume, ils peuvent déchaîner des intempéries trés violentes. Le cumulonimbus est le seul nuage qui peut provoquer des orages.
Identification instinctive des orages
La grêle se forme généralement dans un certain type de nuage, les cumulonimbus. On peut évaluer le risque de grêle si on observe : la forme des nuages ( partie sommitale en forme d'enclume) l'épaisseur des nuages (au moins 5000 mètres)
L'air atmosphérique est, en permanence, le siège de turbulences, de brassages violents d'où naissent les vents. Même par temps calme au niveau du sol, les vents agitent les couches atmosphériques plus élevées et provoquent le déplacement des nuages, selon des vitesses et des directions variables.
La pluie – dont les gouttes sont maintenues électriquement entre elles par un échange entre pôles positifs et négatifs – tombe lorsque le champ magnétique qui maintient les gouttes ensemble est perturbé. » A priori pas de pluie sans nuages donc !
La nature de la diffusion est dépendante de la dimension des arrangements moléculaires. Les nuages apparaissent blancs en raison de la diffusion de la lumière par les grosses gouttes d'eau. Les nuages apparaissent gris ou noirs s'ils arrêtent tout ou une partie de la lumière (ombre propre).
L'albatros est peut-être le prince des nuées, mais le roi, c'est lui – le cumulonimbus. Car il est le plus haut, le plus puissant, le plus dangereux des nuages, lui qui génère les orages - éclairs, tonnerre, pluies diluviennes et vents violents.
Le cumulonimbus, de la famille des cumulus, est le nuage qui présente la plus grande extension verticale. Sa base se situe en général de quelques centaines de mètres à 3 500 mètres du sol. Son sommet dépasse parfois la tropopause ; il peut donc culminer à des altitudes allant de 8 000 à 18 000 mètres voire 21 km.
En règle générale, la base des nuages de l'étage supérieur se trouve à une altitude dépassant environ 5 000 mètres (16 500 pieds); celle des nuages de l'étage moyen, à une altitude comprise entre 2 000 et 7 000 m (6 500 à 23 000 pieds); et celle des nuages de l'étage inférieur, à une altitude maximale de 2 000 m (6 500 ...
Elle se forme spécifiquement dans les cumulonimbus ; un nuage de forte extension verticale dû à l'instabilité de l'air où les puissants courants ascendants soulèvent rapidement en altitude de l'air très humide qui se condense puis gèle en montant à la suite du refroidissement rapide.
Un radar météorologique équipé de la technique de la double polarisation permet généralement de faire cette distinction, et peut donc directement détecter la grêle. Néanmoins, à l'aide d'un radar à simple polarisation, on peut aussi estimer de manière indirecte si de la grêle se forme ou non dans une cellule orageuse.
Les averses de grêle nocturnes sont moins nombreuses mais des chutes dévastatrices peuvent encore se produire notamment en début de nuit.
Pas vous ? Le problème, c'est que même si les nuages ont l'air bien solides vus d'en bas, il est impossible de poser un pied dessus ! En fait, les nuages sont composés de millions de petites gouttes d'eau ou de glace, collées les unes aux autres dans le ciel. Elles sont si légères qu'elles restent en l'air…
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Le cumulus présente une forme boursouflée facilement reconnaissable. Des bourgeonnements blancs et éclatants (chou-fleur ou mouton nuageux) surmontent sa base plane et sombre. Il s'étend verticalement depuis la basse altitude jusqu'à l'étage moyen de la troposphère.
Ainsi, un cumulonimbus est un grand nuage noir floconneux porteur de pluie et d'orage. Un nimbostratus consiste en une couche de nuages bas porteurs de pluie. Le nom que porte un type de nuages indique à quelle altitude il se rencontre.
Les rayons du Soleil qui pénètrent par des interstices dans une couche de nuages bas, et sont rendus visibles par des particules d'eau ou de poussière présentes dans l'air, peuvent également être dénommés rayons crépusculaires.