pour priver le peuple cubain de la liberté et de l'indépendance qu'il a conquises.
La crise des missiles à Cuba est une crise de la guerre froide qui a eu lieu du 16 au 28 octobre 1962. La crise est due à l'installation, par les Soviétiques, sur l'île de Cuba, de fusées capables de transporter des bombes atomiques.
La crise des missiles de Cuba est une impasse militaire de 13 jours entre l'Union soviétique et les États-Unis. Elle résulte de la découverte par les États-Unis d'une base de lancement d'armes nucléaires soviétiques à San Cristobal à Cuba en octobre 1962. Ces missiles sont capables d'atteindre les États-Unis.
En 1962, une nouvelle épreuve de force s'engage à Cuba: pendant quinze jours, le monde se trouvera au bord de l'affrontement nucléaire. Depuis le renversement révolutionnaire de la dictature militaire de Fulgencio Batista en janvier 1959, l'île de Cuba est dirigée par Fidel Castro.
L'île de Cuba, dirigée par Fidel Castro depuis 1959, est confrontée à l'hostilité croissante des États-Unis et se rapproche de l'URSS. Les Soviétiques y installent des missiles pointant sur le territoire américain. S'engage alors un bras de fer entre les deux puissances qui fait craindre au monde une guerre nucléaire.
Les deux grandes puissances s'engagent dans un bras de fer au sujet des missiles nucléaires soviétiques pointés en direction du territoire américain depuis l'île de Cuba. Cette crise conduit les deux blocs au bord de la guerre nucléaire.
Quelles traces laisse cette crise de Cuba qui a propulsé le monde entier dans la crainte d'une Troisième Guerre mondiale ? « La crise se termine de façon pacifique et apaisée au point que les Américains et Soviétiques décident d'établir le téléphone rouge afin d'éviter une nouvelle crise », répond l'historien.
L'île de Cuba a été au cœur de la guerre froide opposant les États-Unis à l'URSS. En 1962, la crise des missiles de Cuba a même conduit le monde au bord de la guerre nucléaire. Cuba est ainsi devenu l'un des symboles de la guerre froide.
Le 14 octobre 1962, le président américain John F. Kennedy apprend que l'île de Cuba, dirigée par le révolutionnaire Fidel Castro, abrite désormais des missiles à tête nucléaire soviétiques et des rampes de lancement qui menacent les États-Unis.
En octobre 1962, les États-Unis découvrent la présence de rampes de lancement de missiles nucléaires à Cuba. Cette découverte débouche sur une crise majeure de la guerre froide. Pendant plusieurs jours, le monde redoute un conflit direct et nucléaire entre États-Unis et URSS.
Un premier gouvernement temporaire est mis en place, associant toutes les forces d'opposition à Batista et avec comme président Manuel Urrutia Lleó. Ce gouvernement est reconnu par les États-Unis le 7 janvier 1959 et Fidel Castro est nommé Premier ministre en février.
En octobre 1962, la découverte par les États-Unis de bases de lancement de missiles à tête nucléaire sur l'île communiste de Cuba entraîne une crise d'une extrême gravité. Durant douze jours, l'URSS et les États-Unis sont au bord d'un conflit ouvert, qui pourrait entraîner une catastrophe atomique mondiale.
Pendant treize jours, entre le 15 et le 28 octobre 1962, les «deux K», John F. Kennedy et Nikita Khrouchtchev, vont se défier lors de ce qu'on a appelé «la crise des missiles».
La crise la plus dangereuse de la guerre froide se déroule paradoxalement pendant une période d'apaisement des tensions qui ne met pas fin à la confrontation : la « coexistence pacifique ».
Elle a permis aux Soviétiques de surveiller les satellites de communications géosynchrones à la fois civils et militaires des États-Unis. L'URSS payait à Cuba une subvention annuelle de 200 millions de dollars pour maintenir cette station depuis 1962.
En octobre 1962, la guerre froide atteint son paroxysme. Chacun s'attend à ce qu'éclate un conflit nucléaire: des avions américains ont localisé des rampes de lancement de missiles sur le territoire de Cuba, île acquise depuis peu au communisme et distante de 150 kilomètres seulement de la Floride...
Le 22 octobre 1962, à Washington, dans un discours mémorable prononcé d'une voix grave, le président américain John Fitzgerald Kennedy lance un ultimatum à peine voilé aux Soviétiques. Il les met en demeure de retirer les fusées à tête nucléaire installées à Cuba, aux portes des États-Unis.
De 1963 à 1975 les deux grands s'affrontent dans des conflits qualifiés de périphériques, comme la guerre du Viêt Nam, car l'affrontement est indirect. Cependant, dans le même temps, des accords bilatéraux sont signés pour limiter la course aux armements. C'est une période de détente|dégel.
Les causes de cette détente s'expliquent par des facteurs multiples : politiques, économiques, techniques, stratégiques. Les unes sont d'ordre interne et d'ordre externe, les autres sont inhérentes à l'évolution des deux blocs et à la diplomatie des États-Unis et de l'Union soviétique...
La crise de Cuba est un symbole de la guerre froide car les Etats-Unis et l'URSS se sont affrontés indirectement en participant à une escalade de la terreur liée à la menace de l'arme nucléaire faisant craindre au monde entier une troisième guerre mondiale.
Un sous-sol, un parking souterrain, le métro ou le centre d'un grand bâtiment moderne en brique ou en béton constitueront un abri adéquat. Mettez-vous à l'abri ou derrière un objet solide pour éviter d'être dans le champ direct du point d'explosion. Si vous êtes en voiture, réfugiez-vous dans un abri à proximité.
En 1959 une insurrection armée a lieu sur l'île de cuba (Fidel Castro, Che Guevara). Cuba se rapproche de l'URSS qui décide d'y installer des fusées nucléaires en mesure de frapper les Etats-Unis. Les Américains réagissent immédiatement à cette menace. Le monde est au bord de la guerre nucléaire.
Aujourd'hui, l'embargo est officiellement toujours en place, ce qui en fait le plus long embargo commercial de l'époque contemporaine et affecte grandement les relations entre les deux pays. Cependant, depuis 2000, les produits alimentaires sont exemptés d'embargo.
La crise des fusées éclate à Cuba quand les avions espions américains détectent des travaux pour l'installation d'une base aérienne en avril 1962 ; en octobre, les services américains ont la conviction qu'il s'agit de rampes de lancement pour des missiles que l'URSS est en train de livrer à Fidel Castro.