Le point d'interrogation se place en marge, en regard du passage incriminé, parfois au-dessus ou à côté d'un mot. Il signifie : Que voulez-vous dire ?
Le point d'interrogation, jadis appelé point interrogant, a pour fonction principale d'indiquer que l'on pose une question, en constituant même parfois la seule indication. Il se place généralement à la fin de la phrase, mais peut également, dans certains cas, se trouver à l'intérieur.
Dans la phrase à analyser, la question est posée de manière directe, puisqu'elle se termine par un point d'interrogation et qu'il n'y a pas de verbe introducteur. À la forme indirecte, nous aurions par exemple : « Homme, je me demande si tu es capable d'être juste.
Il peut s'agir : • d'une interrogation totale, partielle ou alternative (sémantique de l'interrogation) ; • d'autres valeurs de l'interrogation directe : la valeur d'ordre, la question rhétorique, la valeur déclarative (pragmatique de l'interrogation).
En mathématiques. Le point d'interrogation est parfois employé au-dessus du symbole égal pour mettre en doute une égalité. Le caractère Unicode correspondant, ≟, est donné par U+0225F . En MathML c'est l'entité ≟.
Quel nombre se cache derrière le point interrogation ? Quel nombre se cache derrière le point interrogation ? Le nombre au centre de l'hexagone est égal à la somme des nombres situés aux angles de l'hexagone moins le nombre situé dans le grand rectangle, le tout divisé par ce même nombre.
Le point d'exclamation sert à exprimer un sentiment, comme la joie, l'étonnement, la crainte, l'admiration, l'indignation, l'ironie, le chagrin, la douleur, etc. Il accompagne habituellement un cri, une injure, une interjection, une apostrophe, un ordre, une imploration, etc.
L'interrogation, ou phrase interrogative, sert à exprimer l'interrogation, le questionnement. Elle est définie par plusieurs aspects (inversion du sujet, intonation ascendante, point d'interrogation, etc.) qui restent toutefois assez souples selon l'utilisation qui en est souhaitée.
Action d'interroger, de poser des questions à quelqu'un ; question ou série de questions : Je voyais dans son regard une muette interrogation. 2. Action de s'interroger, de se poser des questions : Ses continuelles interrogations sur la nature humaine.
Elle ne s'exprime que par l'inversion sujet-verbe (Est-ce que tu viens ? Viens-tu ?) ou seulement par l'intonation (Tu viens ?). L'interrogation n'est pas toujours un phénomène syntaxique.
Cette interrogation, qui paraît évidente, sera le point de départ d'un argumentaire détaillé et c'est là tout l'enjeu d'un tel procédé : amorcer une argumentation par une question dont tout le monde connaît la réponse.
Lorsqu'il s'agit d'une interrogation indirecte, on supprime le point d'interrogation et on utilise un point à la place de celui-ci. Le point d'interrogation ne reste que si la question indirecte est comprise dans une question directe. Exemple : Pouvez-vous me dire comment s'appelle cette rue ?
Le point d'interrogation
Un usage exagéré de points d'interrogation peut paraître oppressant. En recevant un SMS plein de points d'interrogation comme celui-ci : « Tu en penses quoi ?????? », on s'imagine que l'expéditeur souhaite une réponse précise et très rapide à son texto.
Le point d'interrogation ? se met à la fin de la phrase qui exprime une demande : Où vas-tu ? Le point d'exclamation ! se met après une interjection ou à la fin d'une phrase exprimant admiration, douleur, joie, etc. : Quelle surprise !
Le point d'exclamation termine une phrase exclamative et permet d'indiquer une impression comme la colère, la surprise, l'admiration, l'étonnement etc. Vive le Roi ! Il ne faut pas y aller !
Apprenez à répondre à une question avec « oui », « si » et « non » grâce à cette aide. Question à la forme affirmative : Vous allez à l'école ? Réponse affirmative : Oui, je vais à l'école. Réponse négative : Non, je ne vais pas à l'école.
La ponctuation aurait commencé à donner du souffle aux textes au Moyen Âge. C'est Alcuin of York, homme de lettres et conseiller de Charlemagne, qui aurait créé le premier point d'interrogation, le punctus interrogativus au VIIIe siècle.
En linguistique, l'interrogation est un acte de langage par laquelle l'émetteur d'un énoncé adresse au destinataire (réel ou fictif) de celui-ci une demande d'information portant sur son contenu. Une phrase interrogative est couramment appelée « question ».
Qu'est-ce que l'interrogation directe ? et se termine obligatoirement par un point d'interrogation. Elle peut être marquée par l'intonation ascendante, montante à l'oral, l'ordre des mots ou par un mot interrogatif : Tu es prêt à partir ?
La phrase interrogative sert à poser une question et se termine par un point d'interrogation. On peut la construire de différentes façons selon la personne à qui l'on parle. Ex. : Peux-tu venir demain ? / Est-ce que tu es malade ? / Tu viens ?
Une phrase interrogative peut aussi ne faire appel à aucun de ces procédés et avoir la forme d'une phrase déclarative. Par exemple : cette conférencière est excellente; il fait beau.
On place le point d'exclamation après un mot, une locution ou une phrase exprimant un sentiment tel que la joie, la surprise, l'indignation, l'étonnement, l'ironie, etc.
Vers 1360, Iacopo Alpoleio da Urbisaglia, l'auteur de Ars punctuandi, revendique l'invention du point d'exclamation (alors appelé point admiratif), composé d'une barre penchée à droite et de deux points au-dessous – rappelant la forme du scandicus, neume (notation musicale), marquant des notes ascendantes.
Le point d'exclamation peut être doublé, triplé et même combiné au point d'interrogation pour exprimer l'incrédulité, l'étonnement. Ce procédé stylistique n'est cependant pas à recommander : Il est parti sans parapluie!!