1. [Pour introduire et exprimer le résultat, la conséquence de ce qui est exprimé précédemment, affirmation ou événement] Synon. en conséquence, par conséquent, partant, par suite, d'où.
Les conjonctions de coordination, dites aussi « copulatives », servent à exprimer un lien logique entre les mots, groupes de mots ou deux propositions qu'elles relient. La phrase Mais où est Ornicar ? contient, à l'oral, toutes ces conjonctions (mais, ou, et, or, ni, car) et permet donc de les mémoriser facilement.
DONC: exprime une conséquence. Exemple : Il pleut donc tu prends ton parapluie. OR: indique une opposition. Exemple : Il est sorti or il pleuvait.
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination. Invariables, elles font partie des coordonnants et ont pour fonction d'unir deux éléments de même fonction syntaxique (c'est-à-dire ayant le même rôle dans la phrase).
Donc est une conjonction de coordination qui relie deux parties de phrases et indique une conséquence. Ex. : Je suis en retard donc je me dépêche. Il ne faut pas confondre sans et s'en. Sans est une préposition qui exprime le manque, la privation.
DONC, conj., adv. et particule. Conjonction, adverbe et particule de coordination, dont la place est assez mobile dans la phrase, et qui sert tantôt à relier logiquement une phrase ou une proposition à une autre, tantôt à renforcer une phrase, une proposition ou un mot.
Au sens de « environ, à peu près », quelque est adverbe ; il est donc toujours invariable devant un nombre : j'ai dû perdre dans l'affaire quelque cinq mille francs ; il y a quelque dix ans de cela. Quelque... que (+ subjonctif). Exprimant la concession, quelque peut être adjectif et variable ou adverbe et invariable.
au cas où, au moment où, à chaque fois que, à condition que, afin que, ainsi que, à la différence que, à mesure que, alors que, à présent que, après que, attendu que, aussitôt que, avant que, bien que, d'aussi loin que, d'autant (plus) que, de crainte que, de même que, de peur que, depuis que, depuis le temps que, dès ...
La conjonction de subordination quand introduit le plus souvent une subordonnée conjonctive circonstancielle de temps : La pluie commença à tomber quand j'arrivai à la gare. La proposition subordonnée « quand j'arrivai à la gare » est une circonstancielle, complément circonstanciel de temps du verbe « commença ».
Les conjonctions de coordination servent à relier les mots entre eux, qui ont une fonction différente. Mais, ou, et, donc, or, ni, car, peuvent se mémoriser par la phrase mnémotechnique : "Mais où est donc Ornicar ?"
en conséquence, par conséquent, partant, par suite, d'où.
Conjonctions de coordination Mais, ou, et, or, ni, car Remarque : le mot donc n'est pas une conjonction de coordination, mais fonctionne comme un adverbe (Où en suis-je donc ? ; Et donc, que s'est-il passé ensuite ? : ces positions de l'adverbe donc sont impossibles pour les conjonctions de coordination.
Le pronom relatif « dont » sert à reprendre un nom. Il ne peut pas être supprimé de la phrase. « Donc » est une conjonction de coordination ou un adverbe. On peut remplacer la conjonction de coordination par une autre conjonction (par exemple « et »).
La conjonction est une classe de mots invariables. Elle sert à joindre des groupes de mots ou des phrases.
Les conjonctions de coordination (mais, ou, et, donc, or, ni, car) relient deux mots ou deux propositions de même nature ; Les conjonctions de subordination (que, parce que, quand, si...) relient une proposition subordonnée à la proposition principale dont elle dépend.
La conjonction de coordination est un mot invariable qui sert à unir deux mots ou deux groupes de mots en établissant entre eux un lien logique (addition, choix, cause, opposition…). Il n'est pas là, mais il va bientôt arriver. Les conjonctions de coordination sont : mais, ou, et, or, ni, car, soit, voire.
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
Lorsque « que » est un pronom relatif, on peut le remplacer par un nom. Il se rattache à un nom et introduit une proposition subordonnée relative, qui fait partie du GN et est complément de l'antécédent. Lorsque « que » est une conjonction de subordination, on ne peut pas le remplacer.
La conjonction or est la conjonction de coordination qui indique une opposition entre deux affirmations qui semblent opposables à première vue, en émettant l'idée que cette association indique qu'il manque une troisième affirmation pour terminer le raisonnement .
La conjonction de subordination est placée en tête de la subordonnée mais cette subordonnée peut être située avant ou après la principale . Ex : Je prends ma voiture quand je suis en retard . Quand je suis en retard , je prends ma voiture .
Les pronoms relatifs définis sont qui, que, quoi, dont, où, lequel et ses formes contractées auquel et duquel. Le roman que tu as écrit est passionnant.
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, quand, comme, si, etc.) ou par une locution conjonctive de subordination (parce que, bien que, pour que, etc.). Ex. : Les pêcheurs attendent pour sortir [que la tempête se calme].
Quel, quelle, quels et quelles suivis d'un nom sont des déterminants exclamatifs et interrogatifs. Ils s'accordent en genre et en nombre avec le nom auquel ils se rapportent.
Les adverbes sont des mots ou des groupes de mots invariables servant à modifier le sens d'autres mots ou groupes de mots, comme : Un verbe : il court rapidement. Un adjectif : elle est extrêmement jolie. Un autre adverbe : nous lui avons très gentiment répondu que c'était impossible.
Quel est déterminant interrogatif et exclamatif : il s'accorde en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte. Quelles réponses apportez-vous à nos attentes ? (quelles est au féminin pluriel comme le nom réponses). J'ignore de quels moyens il dispose (quels est au masculin pluriel comme le nom moyens).