Aujourd'hui, celui-ci est largement déterminé par les hommes. Les femmes sont encore fortement sous-représentées dans les postes de direction et de gestion, ce qui ne leur donne qu'une influence limitée sur les politiques. En outre, les femmes courent les plus grands risques de pauvreté et de violence.
Le rôle traditionnellement attribué aux femmes dans la société est un rôle de second plan. La société entretient un idéal de "femme au foyer" qui s'occupe de l'éducation des enfants et qui doit faire montre d'un caractère discret et soumis à son mari.
Elle est le premier facteur du développement économique et humain. Elle est plus large que l'instruction. Ainsi, une entreprise, une communauté et un pays progressent et se développent proportionnellement à l'effort durable qu'ils consentent en faveur de l'éducation et de la recherche.
La place des femmes dans la société moderne varie en fonction de la culture, du pays et des circonstances individuelles. Cependant, dans de nombreuses régions du monde, les femmes ont fait des progrès significatifs en termes de droits légaux, d'éducation et de possibilités d'emploi.
La participation pleine et équitable des femmes dans tous les éléments constitutifs de la société est un droit humain fondamental. Pourtant, à l'échelle mondiale, que ce soit en politique, dans les divertissements ou sur le lieu de travail, les femmes et les filles sont largement sous-représentées.
Seules dans les foyers, les femmes françaises seront mères et travailleuses. Elles l'étaient déjà dans le monde rural, employées à toutes sortes de tâches paysannes ; elles vont désormais investir des métiers d'hommes, plus pénibles, ou prendre plus de responsabilités.
Les inégalités de genre sous-tendent de nombreux problèmes qui touchent de manière disproportionnée les femmes et les filles, comme les violences domestiques et sexuelles, les rémunérations plus faibles, le manque d'accès à l'éducation et les soins de santé insuffisants.
Une femme moderne est une femme libre de ses choix. Certes, la liberté absolue n'existe pas, cependant, une femme moderne doit pouvoir, à l'instar de l'homme et à contraintes égales, prendre les décisions qu'elle estime lui convenir à elle et aux personnes qu'elle souhaite intégrer dans sa réflexion.
En France, la réponse est oui ! Car, aujourd'hui, la loi accorde les mêmes droits aux femmes et aux hommes.
Le travail de la femme comme source de richesse, de croissance et de développement économique du pays. Elle sont en tête de la maternelle, au universitaire, elles sont médecins, cadres, policières, avocates, et même des chefs d'entreprises.
Au fur et à mesure de l'évolution des traditions, entendues comme pratiques culturelles, les femmes occupent aujourd'hui une place fondamentale, pas seulement sur le plan moral de l'éducation des enfants, mais aussi sur le plan économique. Elles sont soutien de famille, de manière décisive.
Les femmes participent à la marche en avant de la société, à la lutte pour les droits de l'homme, au développement et à la paix mais malgré tout, elles continuent à figurer parmi les plus pauvres, à connaître l'exploitation et des millions d'entre elles n'ont toujours pas le droit de vote.
Une femme moderne est une femme qui choisit son mode de vie et utilise sa voix pour exprimer ses valeurs et ses besoins. Elle a confiance en ses capacités, en sa valeur et en sa voix et elle les emploie pour atteindre ses objectifs.
Les femmes modernes sont des femmes indépendantes qui peuvent prendre soin d'elles-mêmes. Elle est capable de réaliser ses rêves et ses ambitions, et elle connaît les possibilités dont elle dispose. Elle est forte, décisive et courageuse, mais elle est aussi gentille et compréhensive.
Traditionnellement, le rôle de la femme se joue à la maison et la mission primordiale qui lui est assignée est celle de procréer. Dans les sociétés, communautés ou cultures où l'on estime qu'elle doit travailler, son rôle se limite à l'exécution des travaux domestiques et champêtres.
Par Gabriel Lacoste. Au passage de l'ère moderne, de nombreuses femmes rejetèrent leur rôle de bonne épouse. Il signifiait être soumise aux caprices d'un mâle. Cette femme traditionnelle était forcée de le nourrir, de l'entretenir, de veiller sur ses enfants, puis de faire l'amour avec lui.
Responsable de ses propres actions et n'ayant pas peur de prendre des risques bien réfléchis. La femme moderne sait ce qu'elle veut. Elle ne devrait pas se laisser influencer dans ces décisions. Elle est capable d'assumer ses choix, que les conséquences soient fastes ou non.
Aujourd'hui, partout dans le monde, les femmes sont victimes de violences : mariages forcés, utilisation du viol comme arme de guerre, mutilations sexuelles (une partie du sexe est coupée), interdiction d'aller à l'école… Et en France ? Le combat des femmes a permis des avancées, mais il reste encore beaucoup à faire !
L'accès restreint à l'éducation. Naître fille c'est aussi se voir parfois refuser d'emblée un accès à l'éducation. D'après l'ONG One, dans le monde, 132 millions de filles sont n'ont pas accès à l'éducation. 96 millions d'entre elles sont donc analphabètes, c'est deux fois plus que le nombre de garçons analphabètes.
Les femmes étaient strictement astreintes à la monogamie, l'adultère sévèrement réprouvé. Seul le rôle de mère était valorisé, et l'exercice de toute profession constituait une forme de déchéance sociale, à l'exception de fonctions religieuses ou honorifiques.
Les femmes ont eu un rôle aussi important dans la guerre, elles pouvaient travailler dans les usines d'armement, elles construisaient des pièces pour les navires et les avions. Elles ont eu le don de construire avec peu de ressources.
Des décennies de mobilisation
Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la Journée internationale des femmes est célébrée dans de nombreux pays à travers le monde à la date du 8 mars.