· éruptions, éruptions et démangeaisons cutanées, urticaire, perte de cheveux. · douleur dans le cou, fatigue musculaire. · fatigue, sensation de malaise, faiblesse, douleur dans la poitrine, gonflement en particulier des chevilles (œdèmes), augmentation de la température. · présence de globules blancs dans les urines.
· cauchemars, insomnie. · sensations vertigineuses, engourdissement ou picotements dans les doigts et les orteils, diminution de la sensibilité à la douleur ou au toucher, modification du goût, perte de mémoire. · vision floue. · bourdonnements d'oreilles et/ou de tête.
Des « dysfonctionnements dans la gestion du système de données de Synchron Research Services remettant en cause la fiabilité des résultats de l'ensemble de ses essais de bioéquivalence » ont été mis en évidence.
ATORVASTATINE VIATRIS, comprimé pelliculé est utilisé pour diminuer le taux sanguin des lipides appelés cholestérol et triglycérides lorsqu'un régime pauvre en graisses associé à des modifications du mode de vie ne sont pas suffisants.
Le risque musculaire des statines apparait dépendant de la dose, expliquant que l'association à des médicaments qui inhibent la métabolisation des statines par les différentes isoformes du cytochrome P450 (CYP3A4, CYP2C8, CYP2C9) soit un facteur de risque supplémentaire d'atteinte musculaire.
En général, les douleurs musculaires disparaissent 3 semaines environ après l'arrêt du traitement.
L'arrêt d'un traitement de statines suite à un infarctus a même été associé à un risque accru de mortalité [2, 3] et la Suisse, comme le reste du monde d'ailleurs, ne sont pas de bons élèves quand il s'agit d'atteindre des objectifs thé- rapeutiques en termes de lipides en prévention secon- daire!
Les statines peuvent parfois provoquer de légers troubles digestifs, des insomnies ou de la fatigue, mais la plupart de ces effets sont bénins et transitoires. Des crampes ou des douleurs musculaires, voire articulaires, sont fréquemment observés (7 à 25% des personnes traitées).
À l'inverse leurs effets secondaires – troubles musculaires (douleurs ou crampes musculaires), hépatiques et digestifs, insomnies, maux de tête... – pourraient se révéler plus fréquents chez les seniors, souvent davantage sensibles à ce type d'effets.
Il ne faut pas combiner les anticoagulants, les anti-vitamines K et les antibiotiques avec de l'alcool. En effet, il existe un risque que l'effet augmente ou diminue après avoir été métabolisé ensemble dans le foie. C'est le cas par exemple de la warfarine qui prévient la formation de caillots sanguins.
Éviter les mouvements brusques et les changements rapides de position. Éviter les activités demandant de la concentration, comme la conduite automobile et les travaux de précision. Prendre le médicament le soir. Prendre le médicament plus tôt dans la journée.
"On peut remplacer les statines chimiques par des statines naturelles, à savoir la levure de riz rouge", assure le nutritionniste. Attention en revanche aux dosages et à la provenance de ces compléments alimentaires, met en garde le médecin!
Les statines préviennent l'accumulation de plaque dans les artères. Cela réduit le risque à long terme de crise cardiaque.
Plusieurs médicaments fréquemment consommés, dont l'ibuprofène (Advil, Motrin) et la naproxène (Aleve), augmentent le risque de crise cardiaque dès leur première semaine d'utilisation, selon une nouvelle étude québécoise.
Les résultats sont clairs : la prise de statines pour réduire le taux de cholestérol LDL (le « mauvais » cholestérol) n'augmente le risque de développer un diabète de type 2 que de 12% et augmente le poids de 250 à 330g.
Les études démontrent que le fait de consommer des fibres, particulièrement le type de fibres solubles que l'on retrouve dans des aliments comme l'avoine, l'orge, les oranges et les aubergines, peuvent aider à réduire les taux trop élevés de cholestérol.
Chez les patients à haut risque ou très haut risque, intolérants aux statines, les cliniciens devraient débuter un traitement autre qu'une statine et, dans le même temps, initier des tentatives complémentaires ayant pour but d'identifier une statine tolérable, afin de limiter dans le temps l'exposition à des taux ...
Les légumes pour lutter contre le cholestérol. Les légumineuses et légumes tels que les lentilles, les pois chiches, les pois, les aubergines et les haricots sont sources de protéines et de fibres pouvant réduire le taux de cholestérol LDL.
La simvastatine et la pravastatine se montrent comme les statines les plus sûres et les mieux tolérées quand les différents inconvénients sont sommés (arrêts de traitement pour effets indésirables, myalgies, élévation des transaminases ou de la créatine kinase).
Affirmation : Les effets secondaires des statines sont trop importants. Réalité : L'effet secondaire le plus couramment rapporté par les patients sous statines est la douleur musculaire (myalgie), qui survient chez moins de 10 % des patients et qui est souvent atténuée par le passage à une autre formule de statines11.
Si la plupart sont bénins (troubles digestifs, maux de tête, fatigue, vertiges…), d'autres effets indésirables peuvent être graves : Une augmentation des enzymes hépatiques, traduisant une atteinte du foie ; Des troubles musculosquelettiques, avec des lésions musculaires, voire une destruction du tissu musculaire.
L'autorisation récente, au niveau européen, de deux nouveaux médicaments hypolipémiants a suscité un intérêt médiatique. Il s'agit de médicaments administrés par voie injectable: l'alirocumab (Praluent®) et l'évolocumab (Repatha®).
Les statines augmentent le risque de symptômes musculaires (douleur, crampes, faiblesse) durant la première année d'utilisation, passant de 14,0 % (placebo) à 14,8 %, mais ce risque est semblable à celui du placebo après 1 an.
Des médicaments contre le cholestérol sans ordonnance comme Omacor permettent de réduire le taux de graisses dans le sang. Ils contiennent des omégas 3 qui abaissent les triglycérides sanguins. Ce traitement contre le cholestérol aide également à la perte de poids de manière indirecte.