Il existe de nombreuses figures de style, chacune avec ses propres caractéristiques et effets, mais quelques exemples courants incluent la métaphore, la comparaison, l'anaphore, l'antithèse, l'hyperbole, la litote, la personnification, l'allitération, l'assonance et la répétition.
anaphore
1. Reprise du même mot au début de phrases successives. (Exemple : Mon bras qu'avec respect toute l'Espagne admire, / Mon bras qui tant de fois a sauvé cet empire [Corneille].)
L'anaphore est une figure de style d'insistance. C'est une répétition qui consiste à répéter un mot, une expression ou un groupe de mots en début de phrase, de paragraphe, de vers ou de strophe.
Certaines hyperboles forment des expressions figées utilisées dans le langage courant. ce n'est pas la mer à boire, avoir les yeux plus grands que le ventre, être fort comme un bœuf, mourir de faim, mourir de soif, n'avoir que la peau sur les os, aimer à mourir…
Une figure de style, c'est une manière de s'exprimer. C'est tordre le langage traditionnel pour fabriquer des effets, des images, des sonorités, des évocations. Il existe différentes types de figures de style : répétition, analogie, substitution, opposition, atténuation…
Il existe de nombreuses figures de style, chacune avec ses propres caractéristiques et effets, mais quelques exemples courants incluent la métaphore, la comparaison, l'anaphore, l'antithèse, l'hyperbole, la litote, la personnification, l'allitération, l'assonance et la répétition.
La litote prend souvent la forme d'une double négation. Exemple : « Pour autant, je ne suis pas incapable de faire face à cette existence plus rude » = Pour autant je suis capable de faire face… (Tatiana de Rosnay Rose 2011 – page 43, traduction de l'anglais).
Une figure de style est un procédé qui agit sur la langue et crée un effet de sens ou de sonorité. ♥ La personnification : elle attribue des caractéristiques humaines à un objet, un animal...
La métaphore est constituée de deux éléments : le comparé et le comparant. Le premier est l'objet, la personne ou la chose que l'on compare et le second est ce à quoi on le rapproche. Par exemple, si l'on dit : « Cette femme est une véritable déesse », « femme » est le comparé et « déesse » le comparant.
Atténuation dans l'expression de certaines idées ou de certains faits dont la crudité aurait quelque chose de brutal ou de déplaisant. (Exemple : il s'est éteint, il est parti pour un monde meilleur, etc., à la place de « il est mort ».)
La périphrase est une figure de style de substitution qui consiste à remplacer un mot ou un groupe de mots par plusieurs mots dans un but stylistique.
l'hyperbole qui amplifie, exagère l'expression ; Exemple : Je m'en vais vous montrer (= faire connaître) la chose la plus étonnante, la plus surprenante, la plus merveilleuse, la plus miraculeuse […] (Madame de SÉVIGNÉ)
Le pléonasme est une figure d'insistance qui sert à mettre l'accent sur certains éléments dans différents types de textes. Il peut donc, entre autres, rendre une image plus évocatrice, préciser une idée, attirer l'attention du lecteur ou de la lectrice ou les convaincre de la pertinence d'un propos.
Il existe deux approches différentes de la stylistique souvent considérées comme antagonistes : la stylistique de la langue et la stylistique littéraire.
“Ma vie est un enfer.” → Il s'agit d'une hyperbole car le mot “enfer” exagère la situation et une d'une métaphore car “ma vie” est comparé implicitement à “l'enfer”. Si ta vie était littéralement un enfer !
L'hyperbole est une figure de l'exagération qui repose sur le grossissement exagéré d'une caractéristique, d'une idée ou d'un sentiment dans un but de mise en valeur (positive ou négative). On utilise souvent d'autres figures de style pour construire une hyperbole comme la métaphore ou la comparaison.
L'hyperbole peut s'asseoir sur de nombreuses autres figures comme la métaphore, la comparaison, la métonymie ou encore l'allégorie. Elle s'oppose catégoriquement à la litote, figure inverse, qui tend à tout diminuer et à l'euphémisme, qui cherche à alléger ou amoindrir la réalité.
Anaphore, cataphore, endophore. On tend aujourd'hui à donner à anaphore un sens plus strict en l'opposant à cataphore : on parle de relation d'anaphore quand le terme qui reprend suit le terme repris, et de cataphore si le terme qui reprend précède le terme repris.
On distingue la répétition simple de l'anaphore qui reprend un même mot à la même place, souvent en tête de phrase ou de proposition. Paris dort tout debout sans air dans le métro. » Le parallélisme reprend une même construction pour souligner une similitude ou une opposition.