Une stratégie de gestion des risques va permettre de les identifier, de mettre en place des actions pour les réduire, de gérer et diminuer leur coût financier, d'intégrer une politique de gestion de crise car le zéro risque n'existe pas.
L'enjeu est de mettre en évidence un lien entre les décisions prises en interne dans l'entreprise et l'évolution des risques sur le plan de la prévention, de l'entretien des équipements et de la formation du personnel.
Les enjeux liés à la réduction des consommations d'énergie sont sensiblement équivalents à ceux d'une politique de management environnemental. Enjeux environnementaux : Intégration des énergies renouvelables dans les évolutions futures des procédés, réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) et de C02.
Les entrepreneurs peuvent subir de lourdes pertes, surtout en ces moments où l'environnement économique est de moins en moins stable. Lorsqu'il existe un manque de demande sur le marché ou lorsque la concurrence est très élevée, votre entreprise peut subir des pertes engendrant la fermeture de l'activité.
L'enjeu de toute entreprise est donc de savoir comment donner la confiance nécessaire à ses parties prenantes en ce qu'elle satisfera à leurs attentes. Dans une autre mesure, une démarche qualité augmente l'intelligence collective de l'entreprise qui gagne en intelligence avec elle-même et son milieu.
Risques d'accident (ex : accidents au travail) Risque d'invalidité (ex : accidents de la route) Risque de décès (ex : pollution grave)
Les trois étapes importantes du processus de gestion des risques sont l'identification des risques, l'analyse et l'évaluation des risques, et l'atténuation et la surveillance des risques.
Les éléments d'une approche structurée de la gestion des risques sont les suivants: appréciation des risques, évaluation des différentes options de gestion des risques, exécution de la décision concernant la gestion, suivi et examen critique.
Ces trois grands enjeux du développement durable sont imbriqués les uns avec les autres : l'économie affecte l'environnement, la crise écologique a des conséquences économiques et sociales, la performance de nos entreprises et leur capacité à assurer nos besoins dépend directement de notre capacité à préserver les ...
Le changement climatique et l'érosion de la biodiversité sont au cœur de ces questions. Elles renvoient d'autre part à la finitude des ressources naturelles, comme par exemple les ressources minérales et énergétiques.
De nombreuses entreprises ont conscience que leur implication dans la protection et la préservation des ressources naturelles conditionne leur survie à long terme. Leurs enjeux environnementaux sont vastes : consommation de matières premières, d'énergie, d'eau, de ressources naturelles. rejets dans l'environnement.
Les risques technologiques, d'origine anthropique, sont au nombre de quatre : le risque nucléaire, le risque industriel, le risque de transport de matières dangereuses et le risque de rupture de barrage.
Les quatre outils retenus pour l'étude sont l'analyse préliminaire des risques (APR), l'analyse des modes de défaillance, de leurs effets et de leur criticité (AMDEC), l'arbre des causes, l'hazard analysis critical control point (HACCP). Méthode d'analyse et de prévention des défaillances potentielles.
La gestion des risques permet de diminuer considérablement leurs coûts associés. Un exemple, les responsables QHSE (qualité Hygiène Sécurité Environnement) considèrent réduire de 15 à 20 % le montant des assurances. En cas de sinistre, seules les entreprises qui auront bien anticipé pourront y pallier.
L'objectif du processus d'évaluation des risques consiste à examiner les dangers, puis à éliminer ces dangers ou à réduire le degré de risque en ajoutant des mesures de maîtrise des risques, au besoin.
Analyser et gérer l'ensemble des risques (risques financiers, humains, du système d'information, stratégiques...) afin d'éviter les effets pervers d'un fonctionnement en « silos » ainsi que tous les impacts potentiels de ces risques (impacts financiers et non financiers comme la réputation, le savoir-faire...).
Les indicateurs de risque sont des paramètres quantitatifs susceptibles d'augmenter la probabilité de réalisation d'un risque. Ils permettent d'évaluer le niveau de risque sur une activité ou les sources de non performance d'une entité ou d'un processus en termes de risque.