D'autre principes définissent la relation entre la justice et les justiciables : égalité devant la loi, accès à la justice pour tous, neutralité des juges, principe du contradictoire, présomption d'innocence...
liberté de réunion ; liberté de la presse ; liberté d'association ; droit de manifester.
Son rôle est de préserver la vie en société. À ce titre, la justice assure trois missions : protéger les plus vulnérables, juger les conflits et sanctionner les comportements interdits.
Le fonctionnement de la Justice est régi par trois grands principes : l'indépendance, la gratuité et la publicité. La bonne tenue d'un procès est également soumise au respect de certaines règles d'équité.
1. Principe moral qui exige le respect du droit et de l'équité : Faire régner la justice. 2. Qualité morale qui invite à respecter les droits d'autrui : Agir en tout avec justice.
Elle est représentée avec un bandeau sur les yeux, une balance dans une main et une épée (ou un glaive) dans l'autre.
un maillet, une sorte de marteau en bois dont ils se servent pour réclamer le silence et rendre leur jugement.
La justice est un principe philosophique, juridique et moral fondamental : suivant ce principe, les actions humaines doivent être approuvées ou rejetées en fonction de leur mérite au regard de la morale (le bien), du droit, de la vertu ou de toute autre norme de jugement des comportements.
À travers son préambule et ses dix-sept articles , elle définit des droits « naturels et imprescriptibles » que sont la liberté, la propriété, la sûreté, la résistance à l'oppression, elle reconnaît l'égalité devant la loi et la justice, et elle affirme le principe de la séparation des pouvoirs.
La liberté : parce que la volonté humaine est une part importante de la dignité humaine.
Les grands principes de la justice
Le fonctionnement de la Justice est régi par trois grands principes : l'indépendance, la gratuité et la publicité.
Les règles de justice naturelle peuvent se résumer sous deux titres : le droit à une décision impartiale (nemo judex in causa sua) et le droit d'être entendu, c'est-à-dire de présenter son point de vue (audi alteram partem).
Le président de la République est "garant de l'indépendance de l'autorité judiciaire" (art. 64). Le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) l'assiste dans cette fonction. Originellement, le président de la République présidait le Conseil supérieur de la magistrature et en nommait tous les membres.
Les juridictions sont réparties en deux ordres : l'ordre judiciaire et l'ordre administratif.
Qui est l'autorité supérieure au Juge ? Dans un cas général, le juge est sous l'autorité du premier président de la cour d'appel. En effet, le premier président de la cour d'appel est un garant de l'Ordre judiciaire. Il faut savoir qu'il est le magistrat avec le rang le plus élevé de cette instance.
Le marteau de juge, également appelé marteau de cour, est un symbole fort de l'autorité judiciaire. Cet outil à main est utilisé par les juges lors des audiences pour marquer la fin des débats et prononcer une décision. Il est souvent associé à la justice et à la prise de décision.
Le président de la République nomme les magistrats du parquet, sur proposition du ministère de la Justice après avis du Conseil supérieur de la magistrature. Les magistrats du parquet, sous l'autorité du ministre de la Justice, sont soumis à un principe hiérarchique.
Le pouvoir judiciaire étant au-dessus des hommes, il était représenté dans les forces de la nature: bois, couronnes fleuries, cornes d'abondance etc. Au temps des rois, ces derniers étaient les intermédiaires entre les hommes et Dieu et les symboles traditionnels cohabitaient avec la fleur de lys.
Plus que tout autre animal, le Lion est admiré par l'homme. Ainsi, depuis des temps immémoriaux, il est considéré comme un symbole de Justice et de bravoure. Comme symbole de Justice, en l'associant à l'image du pouvoir, il devient garant de sa légitimité, que ce pouvoir soit temporel ou spirituel.
Dans la mythologie grecque, Thémis est présentée comme la déesse de la justice, de l'ordre et de la loi.
Certaines lois sont injustes parce qu'elles instituent des différences de traitement fondées non pas sur le mérite des citoyens, mais, par exemple, sur des distinctions de genre, de couleur de peau, etc. Autrement dit, elles supposent que certains auraient par nature plus de droits et de libertés que d'autres.
Contraire : abus, arbitraire, iniquité, injustice, partialité, subjectivité.
La justice de Dieu n'est pas une justice exercée, ni la loi en vertu de laquelle le pécheur est puni, mais une justice reçue, une justice passive, par laquelle Dieu nous acquitte du péché, grâce à laquelle il nous rend juste, une justice que nous laissons agir en nous par la foi.