L'ISS est gérée par cinq agences spatiales : la NASA (américaine), Roscosmos (russe), l'ESA (européenne), JAXA (japonaise) et l'ASC (canadienne).
Finalement, en 1998, la construction de la station est décidée au cours d'une réunion qui se tient à Washington. Désormais quinze nations y participent : les États-Unis, onze États européens, le Canada, le Japon, et la Russie.
Le site de la Nasa indique entre autres les heures de passage de l'ISS au-dessus de la France en 2022, en tout cas pour les dix jours à venir.
Mi-avril, le constructeur aéronautique européen Airbus a présenté Loop, son module spatial polyvalent qui pourrait bien succéder à ISS. La Station spatiale internationale actuellement en activité a été assemblée en orbite à partir de 1998.
La Station spatiale internationale sera désorbitée en janvier 2031. Pour ce faire, elle va être volontairement reguidée vers la Terre. Elle se désintégrera dans l'atmosphère en se dirigeant vers un point précisément défini : le point Némo. La fin de la Station spatiale internationale (ISS) est programmée.
L'équipage de l'ISS peut désormais accéder à Internet grâce à une connexion indirecte: un ordinateur portable dans la station leur permet de voir un autre ordinateur basé au Centre de contrôle grâce auquel ils peuvent surfer sur le Web.
Le blob, ou Physarum polycephalum, n'est ni un animal ni un végétal ni un champignon ni une bactérie. Composé d'une seule cellule géante, jaune omelette et visible à l'œil nu, il ressemble un peu à de la dentelle de fromage gratiné.
Totalisant actuellement un peu plus de 400 tonnes orbitant à environ 400 km d'altitude à la vitesse de 28 000 km/h, l'ISS est la plus grande structure jamais assemblée dans l'espace et elle héberge des laboratoires pour y mener des expériences scientifiques impossibles à réaliser sur Terre.
ISS : une chute contrôlée
Selon la dernière déclaration en date de l'agence spatiale américaine, l'ISS devrait quitter l'orbite en 2031. Dès 2026, l'orbite de l'ISS sera légèrement modifiée pour que la station descende doucement vers la Terre.
Bien décidés à ne pas donner à leur propre voyageur spatial un nom choisi par l'URSS, les Etats-Unis optent quant à eux pour "astronaute", du grec ástron (étoile) et nautes (navigateur).
Le scaphandre ou la combinaison spatiale est un équipement utilisé pour protéger l'astronaute lorsqu'il se trouve dans l'espace. L'environnement spatial est caractérisé principalement par un vide presque total et des températures extrêmes (- 157°C à + 121°C).
Décollage et voyage vers l'ISS
Portrait officiel de Thomas Pesquet (2016). Thomas Pesquet décolle le 17 novembre 2016 à 20 h 20 UTC à bord d'un vaisseau Soyouz. Le Soyouz MS-03 est placé en orbite par une fusée Soyouz tirée depuis le cosmodrome de Baïkonour, au Kazakhstan.
L'ISS est gérée par cinq agences spatiales : la NASA (américaine), Roscosmos (russe), l'ESA (européenne), JAXA (japonaise) et l'ASC (canadienne). A l'origine, l'ISS est le résultat de la fusion de trois projets : la station américaine Freedom, la station soviétique Mir 2 et le laboratoire européen Columbus.
→ La Station Spatiale Internationale (ISS) est observable à l'oeil nu depuis la France métropolitaine. Il est possible d'observer un à cinq passages selon les nuits. Si vous souhaitez obtenir les horaires des passages en fonction de votre lieu d'observation, rendez-vous à l'adresse suivante: www.heavens-above.com .
La Station spatiale internationale (ISS) évolue en orbite terrestre basse depuis plus de vingt ans – à environ 400 kilomètres d'altitude. À cette hauteur, la structure est à la fois attirée par notre planète mais aussi par le vide de l'espace. Pour maintenir son « équilibre », elle file à près de 28 000 km/h.
Mais pourquoi les États-Unis ont-ils écarté la Chine de l'expérience de l'ISS ? Ce refus tient à un seul homme : Frank Wolf. Ce membre du Congrès américain a passé sa carrière, année après année, à faire tout ce qui était en son pouvoir pour empêcher la Nasa de travailler avec la Chine à quelque titre que ce soit.
Et, la station ISS possède une trajectoire inclinée par rapport à l'équateur terrestre. Cela explique pourquoi chaque jour, il y a des moments où elle passe au-dessus de l'Europe et d'autres où elle passe par exemple au-dessus de l'Afrique du Sud.
En avril 2019, une sonde a emmené sur la Lune un millier de tardigrades, le seul animal connu résistant au vide spatial et au manque d'oxygène.
Au cours de leur séjour à bord de la Station spatiale internationale (ISS), les astronautes sont amenés à vivre et à travailler dans un environnement extrêmement différent du milieu terrestre. Leurs besoins restent les mêmes : se laver, aller aux toilettes, boire et manger, rester en forme et en bonne santé.
La raison est simple : l'Agence Spatiale Européenne limite l'accès à deux séjours maximum par astronaute. L'homme de 43 ans avait en effet déjà passé plusieurs mois entre novembre 2016 et 2017. Après son atterrissage ce week-end, le spationaute sera récupéré par des navires dédiés.
Pour bien voir l'ISS, il faut aussi se lever tôt ou se coucher tard, non pas pour faire de cette observation toute une aventure, mais simplement parce que c'est à l'aube et au crépuscule que l'ISS reçoit le plus de rayons du soleil, ce qui la rend plus lumineuse et in fine plus visible.
Pour des raisons de sécurité, les astronautes effectuent leur sortie par paire et, dans l'espace, sont attachés au véhicule spatial. La première sortie extravéhiculaire a été effectuée par le cosmonaute soviétique Alexei Leonov le 18 mars 1965 , à partir du vaisseau Voskhod 2.
En effet, l'ISS fait le tour du globe en 90 minutes seulement ! Il est possible d'apercevoir l'ISS à l'oeil nu car ses panneaux solaires sont très brillants. Vue depuis la Terre, la station ressemble à un point lumineux qui traverse le ciel. Pour en savoir plus à propos de l'ISS, cliquez ici.