Interrogée par: Aurélie Bourdon | Dernière mise à
jour: 30. Oktober 2022 Notation: 4.1 sur 5
(6 évaluations)
“Chaque touffe d'herbes cache un ennemi.” “J'ai rêvé d'un monde de soleil dans la fraternité de mes frères aux yeux bleus.” “Sang ô sang noir de mes frères, vous tachez l'innocence de mes draps, vous êtes le sueur où baigne mon angoisse, vous êtes la souffrance qui enroue ma voix.” “La poésie ne doit pas périr.
Ma Négritude point n'est sommeil de la race mais soleil de l'âme, ma négritude vue et vie Ma Négritude est truelle à la main, est lance au poing Réécade. ...
Ma Négritude point n'est sommeil de la race mais soleil de l'âme.
La Négritude résulte d'une attitude active et offensive de l'esprit.
“On s'attache souvent moins à la femme qui touche le plus qu'à celle qu'on croit le plus facilement toucher.” “La beauté touche les sens et le beau touche l'âme.” “Nombreux sont opiniâtres en ce qui touche la voie une fois prise, peu en ce qui touche le but.”
Le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de vaincre ce qui fait peur. Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité. Le souvenir, c'est la présence invisible. Vis comme si tu devais mourir demain.
L'écrivain est un intellectuel qui utilise les mots (à l'oral ou à l'écrit) pour réfléchir et agir sur le monde. Il ne peut se taire face aux injustices de la vie. Sa voix est attendue et il ne peut se donner des raisons pour justifier un silence de clerc perçu comme une trahison.
“Rien n'est trop difficile pour la jeunesse.” “Le bonheur c'est le plaisir sans remords.” “Mieux vaut encore subir l'injure que la commettre.” “Le temps malgré tout a trouvé la solution malgré toi.”
“Les hommes ne veulent pas ce qu'ils font, mais ce en vue de quoi ils font ce qu'ils font.” “L'homme est la mesure de toute chose.” “Les yeux de l'esprit ne commencent à être perçants que quand ceux du corps commencent à baisser.” “La nécessité est la mère de l'invention.”
Pourquoi en Afrique un vieillard qui meurt est une bibliothèque qui brûle ?
En Afrique, quand un vieillard meurt, c'est une bibliothèque qui brûle. A l'UNESCO en 1960. Cette phrase est attribuée à Amadou Hampâté Bâ . Il s'agit en réalité de la reformulation d'une partie de son discours prononcé en 1960 à l'UNESCO.
La prise de conscience de la génération senghorienne découle de l'histoire de l'Afrique. Le mépris, l'humiliation, la servitude – l'exploitation économique – achevèrent de réduire à l'impuissance les peuples noirs d'Afrique.