Dans une liaison covalente simple, deux atomes partagent une paire d'électrons. Un électron provient de chaque atome. Dans une liaison covalente double, deux atomes partagent deux paires d'électrons. Deux électrons proviennent de chaque atome ; au total, quatre électrons sont partagés.
Une liaison covalente entre deux atomes intervient lorsque ces atomes se rejoignent et est également produite par le comportement des électrons, pour atteindre l'octet stable, en partageant des électrons du dernier niveau (sauf pour l'hydrogène qui atteint la stabilité lorsqu'il possède 2 électrons).
Une liaison covalente est une liaison dans laquelle deux électrons de valence sont partagés entre deux non-métaux. Dans ce type de liaison, il doit y avoir une différence d'électronégativité inférieure à 1,7 sur l'échelle de Pauling.
Les liaisons chimiques sont dues aux propriétés des atomes. Les électrons qui forment des nuages électroniques autour des noyaux tendent à acquérir une énergie minimale. Cette énergie pour deux atomes peut être diminuée lorsqu'ils interagissent entre eux et forment une liaison chimique.
Une liaison covalente est une paire partagée d'électrons de valence. Elle se forme généralement entre des non-métaux. Une liaison ionique est une attraction électrostatique entre des ions de charge opposée. Elle se forme généralement entre des métaux et des non-métaux.
Pour satisfaire à la règle de l'octet, chaque atome de carbone forme quatre liaisons de covalence : il est tétravalent. Le carbone est tétragonal s'il est lié à quatre atomes différents. Le carbone est trigonal s'il est lié à trois atomes différents. Le carbone est digonal s'il est lié à deux atomes différents.
Exemples : hydrogène et carbone
Par exemple, l'atome d'hydrogène ne peut établir qu'une seule liaison covalente et l'atome de carbone peut en établir jusqu'à quatre. Dans l'éthylène (C2H4), les deux atomes de carbone sont liés entre eux par une liaison double et chacun à deux atomes d'hydrogène par une liaison simple.
Elles regroupent les interactions de Van de Waals et la liaison hydrogène.
Dimère et liaison hydrogène
Elle implique un atome d'oxygène (électronégatif) d'une molécule avec un des atomes d'hydrogène (électropositif) de l'autre molécule, les trois atomes O–H–O formant un enchaînement à peu près linéaire (figure 1). Ce type de liaison existe également dans d'autres liquides comme les alcools.
Les propriétés de liaison d'un atome ou d'un ion sont principalement déterminées par son nombre d'électrons de valence. Les électrons de valence sont les électrons d'un atome ou d'un ion qui ne peuvent pas être classés parmi les électrons de cœur.
Électrons dans les liaisons chimiques
En effet, Le type d'une liaison chimique dépend du nombre d'électrons partagé entre les atomes liés : les liaisons simples comportent deux électrons partagés ; les liaisons doubles comportent quatre électrons partagés ; les liaisons triples comportent six électrons partagés.
L'énergie de liaison est l'énergie requise pour briser la liaison covalente entre les deux atomes de carbones. Grâce à l'énergie de liaison hydrogène, un atome d'hydrogène relie simultanément deux atomes électronégatifs, l'un par une liaison covalente et l'autre par une liaison hydrogène.
La liaison covalente est la plus forte ; c'est une liaison assurée par un partage d'électrons. Grossièrement, elle se forme lorsque chacun des atomes fournit un électron « célibataire » de sa couche externe. Les deux électrons s'apparient alors pour former la liaison.
La liaison hydrogène est une liaison faible : le gain en énergie des électrons est de l'ordre de 0.1 eV par paire liée. Le faible rayon de l'atome d'hydrogène favorise la proximité des atomes A et B.
L'azote est situé dans la 15e colonne de la classification périodique : les atomes de cet élément doivent donc établir 3 liaisons covalentes.
Une liaison covalente est polarisée (ou polaire) si les atomes engagés dans la liaison ont des électronégativités différentes. On détermine le sens de la polarité en comparant les électronégativités.
- les liaisons métalliques, les liaisons ioniques, les liaisons covalentes, les liaisons hydrogène et les liaisons de Van Der Waals. Les liaisons de Van Der Waals existent dans tous les types de composés solides, liquides ou gaz.
Un doublet non liant (ou doublet libre) est un doublet d'électrons de valence qui n'est pas impliqué dans une liaison covalente.
Le numéro atomique de l'atome d'azote étant Z=7, sa structure électronique est (K)2(L)5, l'atome d'azote doit donc établir 3 liaisons covalentes afin de respecter la règle de l'octet.
carbone secondaire : deux atomes de carbone voisins ; carbone tertiaire : trois atomes de carbone voisins ; carbone quaternaire : quatre atomes de carbone voisins.
Cette répartition inégale des électrons est connue sous le nom de liaison covalente polaire, caractérisée par une charge positive partielle sur un atome et une charge négative partielle sur l'autre. L'atome qui attire le plus fortement les électrons acquiert la charge négative partielle et vice versa.
Un atome contient un noyau situé en son centre et des électrons qui "tournent autour" du noyau. Le noyau contient des nucléons, c'est à dire des protons et des neutrons. Les électrons ont une charge électrique négative. Les protons ont une charge électrique positive, de même valeur que celle de l'électron.
Elles sont plus faibles que les liaisons covalentes et ioniques normales. Les forces de Van der Waals sont additives et ne peuvent pas être saturées. Elles n'ont pas de caractéristique directionnelle.