Les frais fixes sont de 4 € par ordre. Les frais proportionnels sont de 1,3 % du montant de l'ordre. La commission minimale par ordre s'élève à 12 €.
La grande majorité de ces contrats prévoit des frais de gestion compris entre 0,50 et 1 % par an, qui viennent s'ajouter aux frais courants des OPC. Ainsi, concernant l'assurance-vie, cette accumulation de frais peut fortement nuire à la performance de vos unités de compte (UC).
Les frais de sortie, comme leur nom l'indique sont payés à la sortie du fonds, mais en pratique ils ne sont que rarement prélevés. Ces frais-là sont récurrents et sont prélevés chaque année, sans que l'investisseur ne reçoive jamais une facture néanmoins.
Les frais de sortie (ou commission de rachat) sont prélevés lorsque vous revendez vos parts ou vos actions d'OPC. Le prix de vente correspond donc à la valeur liquidative de l'OPC - la commission de rachat.
Fiscalité des OPCVM
Depuis 2018, les revenus et gains générés par des obligations ou des actions sont imposables au Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) à 30 % (12,8 % d'impôt + 17,2 % de prélèvements sociaux), après déduction des frais.
Investir dans des OPC vous permet de diversifier la composition de votre patrimoine, en complément de vos livrets d'épargne ou de vos actifs immobiliers. Avec un seul fonds, vous pouvez investir simultanément sur de nombreux titres, sans avoir à les choisir ou à les acheter un à un.
Les plus-values réalisées sont, sauf option, soumises au Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU), au taux de 30 %. Ce taux global intègre l'impôt proprement dit (12,8 %) et les prélèvements sociaux qui sont passé à 17,2 %. En contrepartie, les divers abattements en vigueur sont supprimés.
Les frais de gestion sont les tarifs pratiqués par les gérants de fonds d'investissement. Un épargnant qui place son argent dans un Organismes de Placement collectif en Valeurs mobilières (OPCVM), ou Organisme de Placement Collectif en Valeurs Mobilières (FCP, SICAV), devra payer ces frais.
Les frais de gestion sont calculés sur une année, mais ils peuvent être prélevés tous les mois. Par exemple, si vous placez 10 000 € chez un gérant qui prend 0,5 % de frais de gestion, il est probable que vous payiez environ 4,20 € par mois, ce qui revient à payer 50 € de frais par an.
Le remboursement de l'obligation dépend de la capacité de l'émetteur à faire face à ses engagements. Le risque de défaut est le risque lié à la solvabilité de l'entité qui a émis les titres. Dans le cas d'une défaillance de l'émetteur, vous pouvez perdre une partie voire la totalité du capital investi.
Les dépenses ou revenus ponctuels proviennent des activités non liées à l'exploitation, c'est-à-dire celles qui diffèrent des activités habituelles d'une entreprise. Une dépense ponctuelle serait, par exemple, les coûts associés à une réinstallation.
Pour que la valeur d'une SICAV chute à 0, il faut que tous les titres contenus dans le portefeuille perdent 100% de leur valeur. En pratique, cela n'est pas possible, car la cotation d'un titre est suspendue lorsqu'il perd trop de valeur.
Montant (généralement exprimé en pourcentage) qui s'ajoute à la valeur liquidative de l'OPCVM, que l'investisseur doit payer à chaque fois qu'il vend des parts ou des actions d'OPCVM.
Un OPC (organisme de placement collectif) est un fonds d'investissement. Au plan juridique, il existe deux grands types d'OPC qui ont le même mode de fonctionnement mais une nature différente : les Sicav (sociétés d'investissement à capital variable) et les FCP (fonds communs de placement).
Qu'est-ce qu'un OPC ? Les OPC (organismes de placement collectif) investissent en valeurs mobilières (actions, obligations, etc.) pour le compte d'un grand nombre d'épargnants. En achetant une part d'OPC, chaque épargnant accède à un portefeuille diversifié géré par un professionnel (une société de gestion agréée).
Les frais sur versements, aussi appelés frais de versement, droits d'entrée ou frais d'entrée correspondent, comme leur nom l'indique, à une commission prélevée directement sur le montant des sommes déposées sur un contrat d'assurance vie. Ils servent généralement à rémunérer le distributeur du contrat.
Les contrats au pied du podium des meilleures assurances-vie
Placement-direct Vie ex Darjeeling (contrat assuré par Swisslife) ; Linxea Zen (assureur Apicil) ; Boursorama Vie (contrat assuré par Generali).
Les frais généraux sont les coûts engagés par une entreprise dans le cadre de ses activités quotidiennes. On les trouve dans la section Frais de vente, généraux et administratifs (VGA) de l'état des résultats, les trois éléments combinés constituant les frais d'exploitation d'une entreprise.
Les OPC sont des instruments financiers que vous pouvez utiliser pour investir indirectement une partie de votre épargne en bourse. Il s'agit d'organismes professionnels qui gèrent un portefeuille collectif, acquis suite à l'investissement de fonds recueillis auprès du public.
Les honoraires se situent sur une fourchette de 5 à 8 % du montant du loyer charges comprises. Ceux-ci sont versés par le propriétaire qui peut les déduire fiscalement. D'autres coûts de gestion sont à la charge du locataire.
Les frais de dossier sont des frais annexes d'un prêt bancaire. Ils sont appliqués par l'organisme prêteur en contrepartie du travail effectué lors de la constitution du dossier de prêt. Les frais de dossier sont inclus dans le Taux Effectif Global et sont généralement prélevés sur le montant total emprunté.
Pour un OPCI-FPI, les revenus distribués et les plus-values réalisées sont imposés essentiellement comme des revenus fonciers et des plus-values immobilières. Pour un OPCI-SPPICAV, les revenus distribués et les plus-values réalisées sont imposés comme des revenus mobiliers et des cessions sur valeurs mobilières.
Option 1 : imposition du compte-titres au PFU
Par défaut, les gains de votre compte-tires sont soumis au prélèvement forfaitaire unique (PFU) à hauteur de 30 %, réparti comme suit : 12,80 % au titre de l'impôt sur le revenu ; 17,20 % au titre des prélèvements sociaux.
Les modalités de cet abattement sont les suivantes: 50 % d'abattement pour une durée de détention comprise entre deux et huit ans. 65 % d'abattement pour une durée de détention supérieure à huit ans. Dans le cadre d'une taxation à l'IR, les prélèvements sociaux de 17,2 % sont dus dès le premier euro.