Le moi régule les demandes conflictuelles entre le ça et le surmoi par le biais d'un mécanisme de défense. Freud nous en a donné six de base : le déni, la répression, le déplacement, la sublimation, la régression et la projection.
Ils représentent des processus psychiques visant à défendre les dérivés des pulsions, jugées inconciliables et douloureuses pour le Moi (incluant le Surmoi et l'Idéal). Le Moi défend le fonctionnement psychique avant tout contre l'angoisse.
Il s'agit de la projection et de l'introjection, passages du dedans vers le dehors et du dehors vers le dedans. Ces deux processus peuvent être considérés à la fois comme des mécanismes de défense, puisque leur but est d'éviter l'angoisse, mais aussi comme les processus de base constitutifs du psychisme d'une personne.
Le mécanisme de défense est une manœuvre mentale que l'on choisit consciemment ou inconsciemment d'utiliser pour déformer ou falsifier la vérité de son expérience afin de se protéger des émotions douloureuses comme la honte, la culpabilité ou l'anxiété.
Types de mécanismes de défense
Ces mécanismes de défense comprennent : Le déni : refuser d'accepter la réalité . Répression : empêcher les pensées dérangeantes ou menaçantes de devenir conscientes . Projection : Projeter vos pensées ou vos croyances sur une autre personne.
Nous utilisons des mécanismes de défense pour nous protéger des sentiments d'anxiété ou de culpabilité, qui surviennent parce que nous nous sentons menacés, ou parce que notre ça ou notre surmoi devient trop exigeant .
Quels sont les symptômes d'un refoulement ? Un symptôme est l'expression d'un refoulement : il va représenter, exprimer ce qui a été refoulé. "Ce qui est souvent refoulé, ce sont les émotions, les sensations du corps", souligne-t-elle. Ce qui est refoulé ne peut pas être vécu par le moi.
En psychanalyse, les mécanismes de défense sont considérés comme des outils utilisés par l'inconscient pour maintenir l'équilibre psychique et éviter la confrontation avec des sentiments douloureux ou inacceptables.
Ces processus comprennent : le refoulement, l'exclusion de la conscience de désirs et d'idées inacceptables, bien que dans certaines circonstances, ils puissent refaire surface sous une forme déguisée ou déformée ; l'identification, l'incorporation de certains aspects d'un objet en soi, utilisée par le moi et le surmoi pour fortifier le...
Son rôle est de préserver l'équilibre psychique du sujet en s'adaptant aux contraintes de la réalité extérieure. Une partie du Moi accède à la conscience alors qu' une autre partie est infiltrée par l'inconscient du fait des ressentis internes. Le moi est donc à la fois conscient et inconscient.
Le refoulement désigne le passage du système préconscient/conscient au système inconscient. Une représentation qui était accessible ne le sera plus, elle sera oubliée, mais déterminera toujours la pensée, le langage, le comportement du sujet.
Une défense psychologique forte nous permet de sauvegarder notre indépendance et ainsi de tracer notre propre destin . La défense sociale concerne les Singapouriens de toutes races et religions qui vivent et travaillent ensemble en harmonie.
La défense, pour Freud, est source de conversion dans l'hystérie, de substitution dans la névrose obsessionnelle (« le reproche est refoulé et remplacé par un symptôme primaire de défense : scrupulosité, honte, méfiance de soi-même »), de projection dans la paranoïa.
La projection est en fait un mécanisme avant tout involontaire ou inconscient qui consiste à attribuer, à « projeter », une émotion, une crainte, un sentiment, voire un désir – qui nous appartient – vers quelqu'un d'autre. Elle consiste donc à projeter en l'autre ce que l'on refuse en soi.
Sigmund Freud est connu comme le père de la psychanalyse. Dans sa théorie, Freud croit fermement que chaque personnalité est influencée par l'inconscient. La théorie de la personnalité de Freud est également importante parce qu'elle est à la base de sa théorie des mécanismes de défense de l'ego.
To indeed be a defense mechanism, projection must be based on Freud's initial conceptualization. Seeing one's undesirable traits in others while denying them in oneself helps an individual defend their ego. 1 Projection defined this way is referred to as defensive or classical projection.
Classiquement, les points de vue sont au nombre de quatre : topique, dynamique, économique et génétique.
Il peut s'agir par exemple de pulsions sexuelles, d'un désir pervers, mais aussi d'un traumatisme psychologique, d'un inceste ou d'un viol, d'une image violente ou d'une menace de son intégrité. Dans tous les cas, il n'est pas possible de contrôler son refoulement.
Le refoulement est un mécanisme de défense inconscient contre des pulsions qui sont ainsi réprimées ou évacuées. "C'est un processus qui consiste à repousser, à mettre hors de portée de la conscience des représentations psychiques inacceptables" définit le Pr Patrick Landman.
Le refoulement, c'est repousser ses propres désirs, ses pulsions, ses envies qui ne peuvent devenir conscients parce qu'ils sont inavouables, trop pénibles ou même répréhensibles pour l'individu ou pour la société. Mais ils vont rester en nous d'une façon inconsciente.
Ils déforment ou manipulent souvent nos expériences, perceptions et pensées pour réduire les sentiments d’anxiété. Sigmund Freud a décrit ce phénomène pour la première fois dans sa publication de 1894, La Neuro-Psychose de la Défense. Il a émis l’hypothèse que les mécanismes de défense étaient le résultat d’un désaccord entre le DI et le Surmoi.
Cette hiérarchie décrit 30 mécanismes de défense organisés en sept niveaux de défense, dont chacun a des fonctions générales que les défenses constituantes partagent dans la manière dont elles protègent l'individu de l'anxiété, ou d'un sentiment de menace provenant de sources internes ou externes, ou de conflits.
Les symptômes psychotiques peuvent être expliqués comme un mécanisme de défense naturel ou une réponse protectrice face à des environnements stressants . Cela concorde avec le fait que les symptômes psychotiques se développent le plus souvent à l’adolescence.