Procédé de style par lequel on revient sur un événement antérieur au récit en cours.
Procédé de style par lequel on revient en arrière dans un récit. Exemple : Afin de faire le jour sur le passé du protagoniste et d'expliquer ainsi son profil psychologique particulier, l'auteur a eu recours à différentes analepses.
Son équivalent littéraire est l'analepse.
L'analepse – nom féminin (du grec ancien ἀνάληψις / análipsis) ou retour en arrière, dans un récit enchâssant, est une figure de style. Elle correspond à un retour en arrière, au récit d'une action qui appartient au passé.
La quatrième de couverture (en) (désignée aussi occasionnellement par le terme technique lodiciquarte, qui est un latinisme) est la dernière page extérieure d'un livre. Elle est aussi appelée « plat verso » dans le cas des livres cartonnés.
L'autobiographie : Une autobiographie est un récit écrit par la personne qui a vécu les événements racontés. Il s'agit d'une description de la vie de l'auteur, qui raconte ses expériences, ses émotions et ses pensées tout au long de sa vie.
L'épanadiplose est également une figure de narration utilisée dans de nombreux genres littéraires ; elle est alors nommée « épanadiplose narrative ». Il s'agit de la reprise d'une scène initiale ou d'un motif initial (dans l'incipit) à la fin (ou clausule) de l'intrigue.
Définition de analepse nom féminin
didactique Retour en arrière sur des évènements antérieurs au récit en cours, dans une narration. ➙ flash-back. Analepse et prolepse.
Dans une narration, une prolepse (en anglais flashforward, saut en avant) intervient lorsque le spectateur est informé d'un élément du récit qui est censé se dérouler dans un temps futur par rapport au temps principal du récit, figure que l'on peut opposer au flashback.
Figure de rhétorique par laquelle on anticipe les objections de ses adversaires en les réfutant à l'avance.
Elle s'oppose à l'analepse qui est un procédé qui revient dans le récit sur un événement passé de l'histoire. La prolepse répond à une double visée pour chaque auteur qui l'emploie : 1) éclairer par une anticipation les personnages, à la manière d'un coup de théâtre ; 2) comprendre le caractère des personnages.
Leur place de prédilection diffère selon qu'il s'agit de structures dans lesquelles le segment proleptique est placé à l'initiale ou à la finale de l'énoncé : les unes apparaîtront en début de scène, voire au début de la pièce, et particulièrement dans les parties narratives ; les autres se trouveront en fin de scène.
Le narrateur omniscient est parfois appelé narrateur absent ou narrateur dieu. Le narrateur omniscient, contrairement aux narrateurs personnages, ne fait pas partie de l'histoire. Le narrateur omniscient raconte le récit à la 3e personne. Il a accès à toutes les connaissances et à l'intériorité de tous les personnages.
Dans certaines parties du texte, quelques passages plutôt longs de l'histoire sont résumés en quelques lignes. Ceci va alors créer un effet d'accélération de la narration. Le temps de l'histoire est alors plus grand que le temps de la narration.
On parle de biographie quand le personnage a réellement existé et qu'un auteur raconte sa vie. On parle de récit autobiographique quand le personnage se confond avec l'auteur et le narrateur.
L'autobiographie (du grec autos, soi-même ; bios, vie ; graphein, écrire) est donc le récit que fait une personne réelle de sa propre vie, au fil des jours ou à un moment donné de son existence, souvent la vieillesse ; l'auteur est à la fois le narrateur et le personnage principal de ce récit.
L'apologue est un court récit qui vise à démontrer ou à illustrer une leçon de morale par un exemple concret. Sa visée est donc avant tout didactique et argumentative, mais il emprunte, pour convaincre, les ressorts de la fiction. Quelles sont les différentes formes de l'apologue ?
L'incipit d'une œuvre romanesque constitue un enjeu majeur du pacte de lecture : il a pour fonction de programmer la suite du texte, en définissant le genre, le point de vue adopté par le narrateur, les personnages, etc. , mais surtout, il doit donner envie de lire la suite.
*Un recueil est un livre dans lequel on trouve plusieurs œuvres (des nouvelles, des contes…) *Une nouvelle est une histoire courte avec peu de personnages.
Tragédie : pièce à fin malheureuse mettant en scène des personnages nobles ; en suscitant chez le spectateur terreur et pitié envers les héros malheureux, elle le dissuade de les imiter – c'est la catharsis (« purgation » des passions).
L'épilogue (du grec "ἐπίλογος", lui-même étant issu des mots ἐπί (epi) : sur, au-dessus et λόγος (logos) : discours) est la dernière partie, la conclusion d'une œuvre (discours, roman, film, pièce théâtrale, etc.). Il désigne plus particulièrement au théâtre classique un discours récapitulatif à la fin de la pièce.