Les substances les plus généralement utilisées sont la neige carbonique et l'iodure d'argent pour initier la phase glace, et le chlorure de sodium pour former des gouttelettes de nuage plus grosses.
Lorsqu'une masse d'air chaud saturée en vapeur d'eau se refroidit, une partie de l'eau qu'elle contient sous forme gazeuse va se condenser et former des gouttelettes. Dans l'atmosphère, les nuages se forment donc par refroidissement d'une masse d'air humide.
La condensation
Lorsque les nuages rencontrent des couches d'air plus froid, les gouttelettes se condensent sous l'effet du refroidissement et forment alors des gouttes plus grosses, donc plus lourdes. Leur poids ne leur permettant plus de flotter, elles chutent vers la terre : c'est la pluie !
Le vent qui circule au-dessus des sommets façonnent les lenticulaires, ce qui donne un nuage statique mais dont la forme, faisant penser à une soucoupe volante ou à une assiette, est toujours en mouvement. Ce type de nuage est façonné comme une poterie par les courants qui circulent.
L'opération consiste à tirer depuis des avions ou des canons au sol, des projectiles d'iodure d'argent dans les nuages. Cette méthode, appelée « ensemencement de nuages » permet d'augmenter la condensation dans le ciel ce qui provoque une pluie artificielle.
Une autre technique, bien plus répandue pour provoquer une pluie artificielle et appelée l'ensemencement des nuages, consiste à ajouter certaines substances ou produits chimiques, comme l'iodure d'argent, aux nuages pour provoquer de la pluie ou de la neige.
En injectant des particules d'iodure d'argent dans les nuages, celles-ci forment des noyaux de condensation additionnels et accélèrent la formation de molécules d'eau. Lorsque les gouttes d'eau sont assez lourdes, elles peuvent tomber sous forme de pluie ou de glace. Il existe deux façons de créer ces précipitations.
Le mouvement des nuages est dû principalement à l'état des masses d'air et ces masses d'air évoluent selon des règles régies en grande partie par la mécanique des fluides. Cette force dévie légèrement les mouvements des masses d'air ce qui donne le sens de rotation ce celles-ci.
Il s'agit d'une variation assez brusque de l'intensité et de la direction du vent. Les turbulences générées directement par l'avion sont un autre type d'incident qui peut survenir en vol. Cela se produit lorsque de grandes masses d'air entrent en collision avec les extrémités des ailes de l'avion.
Il est donc facile de conclure que si le nuage ne se déplace pas dans notre champ de vision, alors il nous accompagne et se déplace dans le même sens que nous. Ce phénomène, où les objets proches semblent se déplacer d'avantage que les objets éloignés, est appelé le phénomène de parallaxe.
En effet, les arbres injectent de l'eau dans l'atmosphère par évapotranspiration de leurs feuilles et contribuent ainsi notablement aux précipitations sur les régions continentales.
L'eau de pluie collectée n'est pas potable, car elle est contaminée chimiquement (pesticides dans la pluie, métaux ou amiante présents sur le toit). Pour cette raison, l'eau collectée peut être utilisée pour l'intérieur ou l'extérieur de votre logement, mais uniquement sous certaines conditions.
L'autan blanc est généralement dû à la présence d'un anticyclone sur l'Europe centrale, pouvant s'étirer jusqu'à la France. L'autan noir est un vent assez chaud souvent annonciateur de pluie, voire d'orages.
Il faut 1 million de gouttelettes d'eau dans un nuage pour fabriquer une goutte de pluie ! De la même manière qu'on ne peut pas marcher sur la mer ou flotter dans l'air, on ne peut donc pas marcher sur les nuages, sinon on tomberait de très haut !
Convection et circulation dans le contexte des nuages
Comme on le voit dans ces quatre domaines, les nuages ne jouent pas seulement le rôle de traceur d'une atmosphère turbulente: ils abritent aussi des processus qui peuvent agir très directement sur la circulation et sur le climat.
3 sortes «principaux» : Cirrus (nuages élevés), Stratus (nuages bas à développement horizontal), et Cumulus (nuages généralement bas à développement vertical) avec d'autres types dérivés ; 3 sortes intermédiaires des 3 précédents : Cirrostratus, Cirrocumulus et Stratocumulus.
En se basant uniquement sur la structure de l'avion c'est à la queue que l'on doit se sentir le plus mal à l'aise parce que c'est là que l'effet de l'altitude et de l'empennage vertical influencent le plus la gaine élastique.
En avion, l'atmosphère qui entoure la Terre et dans laquelle l'avion vole, se déplace en même temps que la Terre, donc l'avion n'est absolument pas influencé par la vitesse de rotation de la Terre.
Les turbulences sont elles dangereuses et peuvent elles causer un crash ? On a eu beau chercher car même nous étions étonnés des informations que nous trouvions : des turbulences n'ont jamais provoqué un crash d'avion. Jamais.
En fait il peut se déplacer à plus de 200 Km/h et paraitre immobile, car il se "crée" à l'approche immédiate du sommet, se détruit aussitôt passé le sommet, et le début du nuage passe en quelques secondes le sommet avant de disparaitre.
Contrairement aux apparences, le vent ne pousse pas les nuages.
Par convention, la direction de déplacement d'un nuage est celle d'où il vient. C'est ainsi que si un nuage se déplace du sud-ouest vers le nord-est, la direction de son déplacement est «sud-ouest». La vitesse d'un nuage correspond à la vitesse de son déplacement horizontal.
C'est pourquoi Dubaï a fait appel à une technologie innovante, développée en collaboration avec l'université britannique de Reading. Pour plus de détails, cette dernière consiste à envoyer des drones dans le ciel, qui vont ensuite émettre des décharges électriques dans les nuages, via des lasers concentrés.
Dans le cas de la pluie, l'idée consiste à injecter des particules cristallines (généralement des cristaux d'iodure d'argent) à l'intérieur des nuages. Les gouttelettes d'eau des nuages se regroupent autour des cristaux qui finissent par tomber, ce qui provoque cette fameuse pluie artificielle.
lors du passage du cyclone Gamède, à partir du 24 février 2007, la station du cratère Commerson (2 310 m) a battu les records de pluie en 72 heures avec 3 930 mm, en 4 jours avec 4 936 mm, en 5 jours avec 4 979 mm et en 7 jours avec 5 400 mm.