Le solipsisme (du latin solus, « seul » et ipse, « soi-même ») est une théorie philosophique et métaphysique selon laquelle la seule chose dont l'existence est certaine est le sujet pensant. Forme extrême d'idéalisme, le solipsisme soutient qu'aucune autre réalité n'est certaine que celle du sujet qui pense.
"Soi-même" est un pronom utilisé pour parler d'une seule et même personne en excluant les autres. Exemple : Pour une fois, il a voulu faire soi-même son lit.
Penser par soi-même, c'est être capable de se servir de son « entendement » (esprit) sans la conduite d'un autre. C'est oser sortir de la passivité et de l'hétéronomie de la raison (besoin d'être guidé par les autres), et accéder ainsi aux Lumières et à la majorité.
Mais l'être soi-même, ce n'est pas l'identité personnelle, dit Claude Romano. Il s'agit d'exister en conformité à nous-mêmes, en adéquation à nous-mêmes. C'est un idéal difficile à atteindre, mais un but à atteindre pour chacun d'entre nous. Et cela passe par les conduites, les manières d'exister.
En philosophie, l'absolu est ce qui existe par soi-même, sans dépendance. Ce qui est absolu n'a besoin d'aucune condition et d'aucune relation pour être. L'absolu ne dépend d'aucune autre chose.
L'existence désigne le fait d'être, indépendamment de toute connaissance possible. Elle se distingue de l'essence, qui définit ce qu'une chose est, et du néant, qui, par définition, n'a pas de réalité.
inexistante. Qui n'existe pas.
Il est impossible de ne pas être soi parce que la conscience est notre manière d'exister or la conscience est présence à soi et au monde.
Oser être soi-même peut permettre d'être plus heureux, car vous allez pouvoir toucher à votre rêve, être mieux accompagné et entouré. Assumer ses choix, vivre ce que l'on a envie de vivre et avancer vers ses rêves sont autant de facteurs qui rendent heureux et épanoui.
Penser par soi-même c'est d'abord ne pas répéter ce que dit autrui. L'expression doit donc être comprise dans une perspective qui met en valeur l'effort de l'individu pour réfléchir de manière autonome, ce qui suppose une mise à distance de tous les propos dénués de justifications, c'est-à-dire des opinions.
« Les maximes du sens commun sont les suivantes : 1. Penser par soi-même ; 2. Penser en se mettant à la place de tout autre ; 3. Toujours penser en accord avec soi-même.
En logique, un concept est un contenu de pensée, qui, lorsqu'il est appliqué à un objet, peut former une proposition. En linguistique, le concept représente le signifié, c'est-à-dire le sens du mot, tandis que le mot lui-même constitue son signifiant.
Derrière ce droit d'être distinct, recherché dans l'opposition, se cache une quête identitaire : celle qui permet de s'assumer face aux autres et d'acquérir son autonomie psychique. Lorsque la démarche est bien faite, elle permet à la personne de s'assumer graduellement, en tant qu'être unique et différent.
La différence est ce qui caractérise un être singulier, et fait de lui un individu original, c'est-à-dire unique. Nous sommes en ce sens tous différents parce que nous sommes différents les uns des autres. Et c'est en vertu de ce qui différencie un individu de tous les autres que l'individu humain est une « personne ».
Prendre du temps pour/avec Soi, s'arrêter pour sortir du tumulte quotidien, ne rien faire, sont autant d'opportunités d'entrer en contact avec Soi, d'apprendre à s'écouter, de répondre à une situation bloquée, ou à une nécessité du corps ou de l'esprit…
Faire quelque chose pour soi, c'est écouter ses besoins et leur accorder de l'importance. C'est bon pour 'estime de soi et ceux qui savent répondre à leurs besoins sont aussi plus à même d'être à l'écoute des besoins des autres et d'y répondre, ce qui est bon pour leur estime d'eux-mêmes.
Mais la conscience est étroitement liée à la responsabilité et dire qu'on peut ne pas savoir ce que l'on fait, c'est renier sa liberté. Il existe en effet des différents degrés de conscience mais dans tout les cas il en reste toujours une part infime, on peut donc toujours essayer de faire part de raison.
Si je suis un étranger pour moi-même, cela signifie donc qu'il existe une distance irréductible entre « je » et « moi-même », mais aussi, que « je » est un inconnu pour « moi-même ». Ce problème évoque donc la conscience de soi mais aussi la connaissance de soi.
Pour pouvoir être pleinement soi-même, il faut apprendre à communiquer. Se sentir libre d'exprimer nos valeurs, nos pensées, nos aspirations, et nos besoins dans un respect mutuel.
La vérité est donc ce qui est conforme à la réalité et, en conséquence, dont on peut affirmer que c'est vrai. Mais la réalité des choses, comme tout un courant de la philosophie a tendu à l'établir (notamment la phénoménologie), n'existe que pour une conscience qui la perçoit.
«Émerillonné», «thaumaturge», «calembredaines»... Nombreux sont les mots rares de la langue française à dormir dans les pages de nos dictionnaires, sans jamais s'aventurer hors de leurs colonnes et jusque dans nos bouches.
Véridique : Définition simple et facile du dictionnaire.