Ce qui unit les hommes, c'est l'amour du métier. Cette phrase de Antoine de Saint-Exupéry contient 10 mots.
C'est ce qui divise les hommes qui multiplie leurs différends.
La Culture Nous Unit Elle
Tout Homme appartient un groupe. D'ailleurs il reçoit de ce groupe plusieurs caractéristiques que ce soit en éducation, en croyances, en valeurs. Il reçoit donc une culture de groupe.
I. La culture rapproche les hommes en les séparant de l'état de nature (UNICITÉ de la race humaine) ÉTAT DE NATURE. Nous pouvons en effet confirmer que la culture a cet effet d'unicité consistant à unir la race humaine, et la rendre plus sociale, car la culture s'oppose à la nature et donc à l'état de nature.
La société est le moteur de la culture humaine
La société a donc pour fonction de socialiser et d'éveiller l'esprit de l'Homme. Mais elle est aussi un cadre, qui permet à l'Homme de transmettre sa culture ainsi que les pratiques matérielles et spirituelles qui la caractérisent.
L'homme a besoin de comprendre pour gérer efficacement la demande. Il a besoin de se sentir utile et compétent. Un mode de communication clair permet à l'homme de bien nous comprendre et de ne pas se sentir impuissant face à nos remarques ou nos questions qu'il va forcément mal interpréter.
Aimer pour se construire
Les humains l'utilisent pour combler un manque aussi bien matériel qu'immatériel qu'ils sont incapables d'assouvir eux-mêmes. L'homme ne sait pas vivre seul et nécessite la présence d'autrui à ces côtés pour vieillir avec lui. L'amour rassure, d'où cette recherche effrénée par l'Homme.
Il peut sembler évident d'affirmer que l'homme est un être naturel puisqu'il vit par et dans la nature, il a un corps, il se développe, il meurt comme tout élément et comme tous les animaux. Mais cela concerne essentiellement son existence physique.
La culture est l'ensemble des processus par lesquels l'homme transforme la nature. C'est l'ensemble des techniques, institutions, et traditions d'un groupe humain. La nature est tout ce qui existe, c'est-à-dire, tout ce qui entoure l'homme et qui n'est pas de son œuvre.
La définition achevée de notre humanité implique le désir de se cultiver pour nouer des liens avec d'autres sociétés. En ce sens, un homme se définit par sa culture, c'est-à-dire sa curiosité d'esprit, l'étendue de ses connaissances et la force de son jugement.
Du latin “humanitas”, le terme se traduit par nature humaine, culture générale de l'esprit. L'Humanitas est le caractère de ce qui est humain. Elle désigne aussi « les hommes » en général, le genre humain considéré dans son unité. La plupart des philosophes définissent comme humain tout être doué de raison.
La culture fait et ne fait pas l'homme. Car si c'était la culture (comprise comme éducation ou assimilation des codes) qui accordait le statut d'homme alors un bébé non éduqué ne bénéficierait pas de cette identité et des droits associés.
La nature est un bien commun de l'humanité ; celui-ci devrait donc, pour des raisons morales et rationnelles, être respecté de tous, car il a une valeur patrimoniale unique. La nature constitue un capital naturel qui conditionne la vie humaine sur terre.
L'activité économique fondée sur le travail entraîne une division des tâches mais aussi leur complémentarité. C'est dans ce sens que le travail divise les hommes et en même temps les rend solidaires.
L'humanité est l'ensemble de l'espèce des Homo sapiens, définie de manière descriptive à partir de ses caractéristiques telles la station debout, la locomotion bipède, le langage, la structure de la main, etc.
La culture est toujours le résultat d'un effort de l'homme, qui transforme la nature pour produire lui-même quelque chose. On considère que la culture est opposé à la nature. Ces définitions nous pousse à nous demander si l'Homme peut vivre sans culture.
L'existence humaine se déploie dans une relation d'appartenance-au-monde, non en raison de ce que sont les êtres humains mais en raison de ce qu'ils font. La typologie arendtienne insiste alors sur trois activités fondamentales, chacune étant un rapport fondamental entre l'homme et le milieu qui l'entoure.
Il y a 2,5 millions d'années, Homo habilis apparait en Afrique de l'Est : c'est la première espèce humaine. Son nom veut dire “homme habile” parce qu'il fabrique des outils simples. Il y a 1,8 million d'années, un nouvel humain apparait : Homo erectus. Son nom veut dire “homme debout” et c'est un bon marcheur.
L'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait. Tel est le premier principe de l'existentialisme. L'homme est non seulement tel qu'il se conçoit, mais tel qu'il se veut, et comme il se conçoit après l'existence, comme il se veut après cet élan vers l'existence, l'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait.
Le projet de maîtrise de la nature est donc un projet rationnel, lié aux progrès de la connaissance et de la raison. Pour cette raison, ce projet paraît conforme aux intérêts humains : ainsi la mécanique permet d'alléger le travail de l'homme, et la médecine de conserver la santé.
L'attention
La recherche a montré que les hommes trouvent que l'attention est une qualité importante chez une femme. Les hommes sont attirés par une femme qui est capable de prendre soin d'eux et de s'occuper d'eux quand les problèmes surviennent dans leur vie, même quand ils sont émotionnellements indisponibles.
Un homme qui aime vraiment une femme fait confiance à sa compagne. Il ne l'expose pas à des moments désagréables de jalousie et d'insécurité, car il sait qu'elle le soutient, et il privilégie le dialogue.
Le comportement d'un homme amoureux
Par exemple, des petites attentions au quotidien, comme des messages récurrents, des cadeaux, ou des rendez-vous surprise sont la preuve que la personne pense à vous régulièrement et qu'elle a envie de vous le faire savoir.
Simplement, vous avez besoin de le sentir proche de vous, de savoir qu'il est présent et qu'il ressent une forte attirance. Il est donc primordial de réveiller son désir sexuel, mais pas seulement. Son envie d'être à vos côtés et de passer du temps ensemble doit également être mis en avant.
BESOIN D'ACTUALISATION DE SOI
Les besoins d'actualisation de soi se trouvent au sommet de la hiérarchie des besoins humains de Maslow. Lorsqu'une personne a satisfait tous les besoins des niveaux précédents, c'est dans l'actualisation de soi qu'elle parvient à réaliser pleinement son potentiel (Maslow, 1970).