L'objectif de cette Résistance est de libérer la France de l'occupation allemande avec l'aide des Alliés (principalement le Royaume-Uni et les États-Unis), ou tout au moins de harceler les troupes du Reich.
Dès 1944, le gouvernement de la résistance, dirigé par le général de Gaulle, est devenu le gouvernement provisoire de la République française – GPRF – et est reconnu comme tel par les Alliés. Il lui reste à réorganiser le pays sur un modèle démocratique, et à réconcilier les Français entre eux.
La Grande-Bretagne, les Etats-Unis ou l'URSS? Aujourd'hui, la majorité des Français répond que ce sont les Etats-Unis qui ont le plus contribué à la défaite de l'Allemagne nazie.
25 août 1944 : la Libération de Paris par la division Leclerc et les FFI de Rol-Tanguy [archive]. (es) La 9e compagnie libère Paris sous le commandement du capitaine Raymond Dronne [archive].
Contextualisation. Si le débarquement en Normandie a permis la libération du nord-ouest du pays entre juin et septembre 1944, le débarquement de Provence (15-16 août 1944) a ouvert la route vers la Bourgogne et permis la jonction des troupes alliées à Nod-sur-Seine dès le 12 septembre.
Le 26 août 1944, acclamé par les Parisiens, le général de Gaulle descend les Champs-Élysées avec, derrière lui, ses fidèles de la première heure. Des combattants appartenant à la Résistance française luttent dans les rues de Paris, en 1944, pour libérer la ville après quatre années d'occupation allemande.
L'Allemagne a déposé les armes deux fois en raison des idéologies belligérantes, des conflits entre l'Union soviétique et ses alliés, ainsi que de l'héritage de la Première Guerre mondiale. Nous sommes en 1945. La victoire des Alliés semble de plus en plus évidente.
28 août 1944 : la Libération de Marseille
Après le débarquement de Provence, les soldats français, sous les ordres du général de Lattre de Tassigny et du général de Goislard de Monsabert, libèrent Toulon et arrivent aux portes de Marseille le 23 août 1944.
25 août 1944 : Paris libéré, Maillé martyrisé…
A l'issue de quelques jours d'affrontement, la ville de Paris est libérée le 25 août. Une phrase du discours du Général de Gaulle entre alors dans l'histoire et dans la mémoire collective : « Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé !
Le vendredi 25 août 1944, à 15h 30, le général Philippe Leclerc de Hauteclocque (43 ans) reçoit à Paris, devant la gare Montparnasse, la capitulation des troupes d'occupation de la capitale.
La libération de la France, couramment appelée la Libération, est la période qui voit, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, la reprise progressive par les forces alliées des régions de la France métropolitaine occupées depuis 1940 par les armées du Troisième Reich et de l'Italie fasciste.
Les soldats allemands appelaient aussi les soldats français les « Franzmann » (hommes de France), alors que l'équivalent germanique de poilu est « Der Feldgraue » à cause de la couleur grise de l'uniforme.
Une explication plus simple est que la conquête de la Suisse n'aurait guère apporté d'avantages stratégiques, alors qu'une longue et coûteuse guerre des montagnes aurait pu s'ensuivre. Bien que la Wehrmacht ait simulé des manœuvres contre la Suisse dans ses offensives, elle n'a jamais tenté d'envahir.
Quand la défaite tourne à la débâcle, Pétain demande l'armistice tandis qu'un général inconnu allume la flamme de l'espoir. C'est un coup de dés comme l'Histoire n'en a jamais connu en France.
Au petit matin du 6 juin 1944, les forces alliées, Américains, Britanniques et Canadiens principalement, plus de 156 000 hommes, débarquent en masse sur cinq plages de Normandie. Les plages sont conquises dès le premier jour, l'opération est un succès.
L'armée allemande envahit la Pologne le 1er septembre 1939, déclenchant la Seconde Guerre mondiale. En réponse à l'agression allemande, la Grande-Bretagne et la France déclarent la guerre à l'Allemagne nazie.
Apprendre le rôle joué par les républicains espagnols le 24 août 1944. Libération de Paris. Blindé espagnol de la 2ème DB du général Leclerc acclamé par la foule rue de Rivoli, à la hauteur de la place de l'Hôtel-de-Ville. 25 août 1944.
Tirailleurs sénégalais et algériens, goumiers et tabors marocains, pieds-noirs, marsouins du Pacifique et des Antilles : les bataillons venus d'Afrique et de l'empire colonial ont joué un rôle crucial lors du débarquement en Provence en août 1944.
Guerre sino-japonaise
Le débarquement de Provence, désigné sous les noms de code Anvil puis Dragoon, est une opération militaire menée pendant la Seconde Guerre mondiale à partir du 15 août 1944 par les troupes alliées dans le Sud-Est de la France (entre Toulon et Cannes).
La cause la plus fondamentale était l'infériorité démographique. En 1938, après l'annexion du pays des Sudètes, le Reich comptait 79 millions d'habitants, presque deux fois plus que la France (41,5) ! L'infériorité numérique s'était aggravée depuis 1914 (68 millions contre 39,6).
En chiffres absolus, c'est l'Union soviétique qui a subi les pertes humaines les plus élevées, aussi bien en ce qui concerne les civils que les militaires : environ 21 millions de morts, c'est-à-dire 70 fois plus qu'aux Etats-Unis.
Victoire des Alliés : Chute du Troisième Reich et occupation alliée de l'Allemagne et de l'Autriche. Chute de l'empire du Japon et occupation du pays par les États-Unis.
Le 5 juin 1940, l'armée allemande lance l'invasion de la France (Fall Rot), que les restes de l'armée française ont du mal à empêcher. Le 10 juin, le front est percé sur la Somme. Les Allemands prennent Paris le 14 juin, puis Orléans le 16 juin.