Les signataires sont quatre généraux. Alfred Jodl, chef d'état-major des forces armées allemandes; l'Américain Walter Bedell-Smith; le Russe Ivan Sousloparov.
Les représentants du Haut Commandement allemand signent un nouvel acte de capitulation à Berlin le 8 mai 1945 à 23h01 en présence des représentants de l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS), des États-Unis, du Royaume-Uni et de la France.
Le 22 juin 1940 est conclu l'armistice (dico) entre le IIIe Reich allemand et les représentants du gouvernement français de Philippe Pétain.
Alfred Jodl, chef de l'état-major des forces armées au haut-commandement de la Wehrmacht, signe l'acte de reddition militaire le 7 mai 1945.
8 mai 1945, 15h, la voix du général de Gaulle à la radio : « La guerre est gagnée ! ». Revivez ce moment décisif. « La guerre est gagnée ! Voici la victoire !
Victoire des Alliés : Chute du Troisième Reich et occupation alliée de l'Allemagne et de l'Autriche. Chute de l'empire du Japon et occupation du pays par les États-Unis.
Les 8 mai et 2 septembre 1945, on célèbre la fin de la Seconde Guerre mondiale. Les 8 mai et le 15 août 1945, l'Allemagne nazie et le Japon se rendent inconditionnellement aux forces alliées. La Seconde Guerre mondiale est terminée.
En 1940, Pétain a trahi la France ; en 1925, il a trahi de Gaulle.
Dans le camp allemand, c'est aussi le soulagement. L'armistice permet d'arrêter les combats en attendant la signature du traité de paix mettant définitivement fin à la Première Guerre mondiale le 28 juin 1919 (l'armistice est signé le 11 novembre pour une durée de 36 jours, il sera ensuite plusieurs fois reconduit).
Elle se composera de trois représentants: un pour l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques, un pour le Royaume-Uni et un pour les Etats-Unis d'Amérique.
L'armistice est signé le 22 juin 1940 entre le Reich allemand et les représentants du tout nouveau gouvernement Pétain. Les conditions des Allemands sont extrêmement lourdes pour la France. Le but est alors pour Hitler d'empêcher la France de se relever d'une telle défaite et de lui infliger une terrible humiliation.
L'armistice est signé le 22 juin 1940 entre le gouvernement du maréchal Pétain et le général Wilhelm Keitel, représentant l'armée allemande. Les Français sont représentés par le général Huntziger et Léon Noël.
Signature de l'armistice. À gauche le général Keitel, à droite, la délégation française avec le général Huntziger entouré du général d'aviation Bergeret et du vice-amiral Le Luc (de profil, à droite). Le général Huntziger signe l'armistice pour la France.
Au cœur de la forêt domaniale de Compiègne, à 5h15 du matin le 11 novembre 1918, dans le Wagon 2419D, l'Armistice est signé, entre les Alliés représentés par la France et la Grande-Bretagne et les plénipotentiaires allemands.
Le 11 novembre 1918, l'Armistice - convention négociée par les autorités militaires qui a pour objectif immédiat la fin des combats - est signé à Rethondes dans le train du maréchal Foch, conservé en forêt de Compiègne.
L'acte de capitulation est contre-signé par le général américain Bedell-Smith et le général soviétique Sousloparov. Le représentant français, le général Sevez signe comme simple témoin.
La chute du Mur a ouvert la voie de la réunification
La partie de l'histoire allemande qui commence par la Nuit de Cristal et la montée en puissance du national-socialisme, et débouchera plus tard sur la Seconde Guerre mondiale puis sur la division de l'Allemagne, s'achève le 9 novembre 1989 avec la chute du Mur.
Considérant que l'avantage appartient à celui qui dégaine le premier, l'Allemagne déclare la guerre à la France. La veille, elle a déjà envahi le Luxembourg sans préavis et lancé un ultimatum à la Belgique, exigeant le passage de ses troupes sur son sol.
Le 29 septembre 1918 , à Spa, Erich Ludendorff demande au gouvernement allemand de solliciter un armistice en raison d'une situation militaire tous les jours plus préoccupante, pouvant aboutir à une capitulation inconditionnelle.
Il ne supportait pas la mondialisation de la culture américaine et souhaitait qu'en France, et au delà, ce soit la culture française qui rayonne. Or, historiquement, les Britanniques sont proches des Américains, ce qui ne plaisait pas du tout au président de Gaulle.
Un général français encore inconnu, Charles de Gaulle, s'adresse à ses compatriotes pour la première fois. Il appelle les officiers, les soldats, les ingénieurs et les ouvriers spécialisés des usines d'armement à venir à Londres et à entrer en Résistance.
Albert Lebrun est réélu président de la République.
Ce traité définit la fin des combats sur le front occidental, et les conditions de la défaite de l'Allemagne. Les signataires sont Ferdinand Foch pour la Triple Entente et Matthias Erzberger pour l'Allemagne.
A partir de 1940, La France se met au service de l'Allemagne Nazie. Elle met en place une collaboration économique, militaire.
Le 7 mai 1945 fut signé en anglais à Reims l'Act of military surrender, c'est-à-dire un «acte de reddition». Le texte de seulement trente lignes signé le lendemain, le 8 mai 1945 à Berlin, est un «acte de capitulation militaire», qui implique le dépôt des armes et pas seulement la fin des combats, comme en 1918.