Les Gaulois d'Astérix ne craignent qu'une chose : que le ciel ne leur tombe sur la tête. Mais d'où vient cette idée ? Par Toutatis ! Dans le village d'Astérix, les Gaulois n'ont peur de rien, et surtout pas des Romains, qui ont pourtant soumis toute la Gaule.
Ce à quoi les Gaulois répondent qu'ils n'ont peur de rien si ce n'est que le ciel ne leur tombe sur la tête. Cette phrase résumait en partie leurs croyances. Ils imaginaient le ciel comme une sorte de dais reposant sur des colonnes et craignaient qu'il ne s'effondre.
En 58 av. J-C, Vercingétorix est un jeune homme de l'aristocratie en âge de se battre lorsque Jules César envahit la Gaule à la tête de ses légions et d'alliés gaulois, pour la rattacher à Rome.
Cela s'explique par le fait que les gouttelettes sont en mouvement à l'intérieur du nuage et que notre atmosphère n'est pas statique. Les gouttelettes sont notamment maintenues en suspension dans l'air en raison des mêmes courants ascendants qui ont conduit à leur formation.
Les faits: la Terre est attirée par le Soleil; elle ne tombe pas dessus, mais tourne autour. C'est la même chose qu'un satellite artificiel qui tourne autour de la Terre: il est attiré par elle, mais ne tombe pas parce qu'il tourne.
Au contact des molécules de gaz qui constituent l'atmosphère, la lumière se diffuse dans toutes les directions. La lumière bleue prédomine, elle est davantage diffusée que les autres. Par conséquent, en regardant le ciel dans une autre direction que le soleil, le ciel apparaît comme bleu.
Aujourd'hui, le terme de Gaulois est réservé aux habitants de la Gaule dès le IIIe siècle av. J. -C. Auparavant on parlait de Celtes, terme qui sera réservé aux autres aires géographiques.
On peut encore citer les divinités Belenos et Belisama ; le dieu solaire Grannos ; le dieu Borvo, sa parèdre Damona et le dieu Nerios, trois dieux liés aux sources ; Maponos, le dieu-fils ; la déesse Brigantia ; Nerios ou Neris, dieu des sources jaillissantes ; ou encore Catubodua, la "corneille du combat", déesse ...
L'armée de César face aux troupes de Vercingétorix
En 52 avant J.C., Vercingétorix mène la fronde contre Jules César qui a déjà pris la main sur une partie de la Gaule. Le jeune chef arverne attire César, à la tête de 6 légions (36 000 hommes) sur ses terres, à Gergovie.
Le Français n'a pourtant aucun Gaulois pour ancêtre. Il descend des Celtes, des Ambiens, des Helvètes, des Pictes… Bref, de toutes sortes de tribus. Mais d'aucune tribu gauloise, car aucun peuple ne s'auto-désignait « Gaulois » il y a plus de 2 000 ans.
La Gaule (en latin : Gallia) était une région de l'Europe de l'Ouest peuplée majoritairement par les Celtes, les Belges, les Aquitains, les Ligures et les Ibères correspondant actuellement à la France, le Luxembourg, la Belgique, la majeure partie de la Suisse, le nord de l'Italie, ainsi que des régions des Pays-Bas et ...
C'est le dieu guerrier, chef de la tribu (« teuta »), plus connu par les lecteurs d'Astérix sous son appellation gallo-romaine «Toutatis ». Au Ier siècle, le poète Lucain rapporte qu'on pratiquait des sacrifices humains en son honneur.
Hannibal, général carthaginois, ennemi de Rome Hanni-baal. Les grands chefs carthaginois, tels Hamilcar et Hannibal, devaient porter ce type de cuirasse lors des parades et cérémonies. Les grands chefs carthaginois, tels Hamilcar et Hannibal, devaient porter ce type de cuirasse lors des parades et cérémonies.
La Gaule envahie
Les causes de cette soudaine invasion sont le pillage et l'affaiblissement de l'empire Romain, mais cela n'explique pas tout. L'arrivée à l'Est des Huns, dont les techniques guerrières terrifiaient les barbares, a joué un facteur important.
et parachevée dans le reste du pays par Jules César entre 58 et 52 av. J. -C., l'ensemble de la population gauloise est, plus ou moins, mise en contact direct avec la langue du vainqueur, le latin. Le latin est la langue de l'Empereur, de l'armée, de l'administration, des commerçants.
suavelos : (bon vent / bienvenue / bonjour) • L'encyclopédie • L'Arbre Celtique • 10944 • L'encyclopédie • L'Arbre Celtique.
Poséidon (Neptune, chez les romains) participe aux côtés de son frère Zeus à la Titanomachie et c'est lui qui referme sur les Titans les portes du désert du Tartare. Lors du partage du monde qui suit la victoire des Olympiens, il reçoit la souveraineté sur des Mers, des Océans, des Fleuves, des Sources, des Lacs.
Tlaloc est un dieu énucléé. C'est le plus puissant des dieux, car Tlaloc, dit le Ruisselant, est le dieu de la pluie, des typhons, de la foudre et des champs.
On utilisait depuis l'an 883 le mot Francia (pays des Francs) et, avant cette date, Gallia (pays des Gaulois). En grec, la France s'appelle toujours Gallia.
Ces « premiers français » sont sans doute des homo erectus, arrivés d'Afrique via le Proche-Orient et peut être le détroit de Gibraltar et leur population ne doit pas dépasser quelques milliers d'individus sur tout le territoire de la France actuelle.
De nombreux envahisseurs et bien des civilisateurs sont passés par les terres qui forment désormais la région Hauts-de-France : Celtes, Romains, Barbares et Vandales ; Francs, Mérovingiens, Carolingiens, Normands, puis, tour à tour, Anglais, Espagnols, Autrichiens et Prussiens.
Dans l'espace, ces cycles jour-nuit s'alternent très différemment. Sur la station spatiale internationale, située à 350-400 km en orbite autour de la Terre, les astronautes en mission font face à l'enchaînement de 16 périodes d'obscurité et de jour toutes les 24 heures.
La dilatation de l'espace allonge les longueurs d'onde des photons, les particules dont est constitué tout rayonnement électromagnétique. Cet effet, d'autant plus prononcé que les photons proviennent d'un objet lointain, décale le spectre lumineux vers les grandes longueurs d'onde, c'est-à-dire vers le rouge.
Mais quand le Soleil est près de l'horizon, la lumière traverse une plus grande couche d'air, et la totalité de la lumière bleue est déviée. La lumière qui nous atteint devient alors très rouge donnant ces teintes rosées aux couchers de Soleil.
En 146, les légions romaines conduites par Scipion Émilien, l'allié de Caton et beau-frère de son fils, ont rasé la cité, et envoyé en esclavage les 55 000 survivants, dont 25 000 femmes. Plutarque conclut : « L'annihilation de Carthage … a été essentiellement due à l'avis et aux conseils de Caton [7]