Le financement participatif, ou crowdfunding, est un échange de fonds entre individus en dehors des circuits financiers institutionnels, afin de financer un projet via une plateforme en ligne.
Les banques participatives s'appuient sur les valeurs Chariatiques et éthiques dérivées de la Chariaa islamique, telles que l'honnêteté, la loyauté, la transparence et évitent tout ce qui est nuisible et a un impact négatif sur la société.
Les banques participatives proposent des produits et des services ne donnant pas lieu de perception ou paiement d'intérêts et les comptes bancaires de ces dernières ne sont pas arrêtables, et ils sont couverts par des fonds propres de la banque.
Enfin, ce qui différencie notablement un système bancaire islamique du système conventionnel réside dans l'absence d'un marché monétaire interbancaire où les banques peuvent se refinancer. Cette différence a un rôle ambivalent pour le thème que nous abordons ensuite, à savoir la stabilité du secteur bancaire.
Les banques participatives au Maroc désignent communément les banques qui se réclament de codes éthiques énoncés par la finance islamique. Le chantier pour la mise en place d'un cadre légal et réglementaire encadrant l'activité des banques participatives est en cours de finalisation.
Le secteur « formel » de la finance islamique dans la zone semble essentiellement occupé par trois réseaux internationaux : la BID, la Dar al-Maal al-Islami (DMI) et Al-Baraka.
Les avantages du financement participatif
La clientèle est ainsi plus facilement fidélisée et l'entreprise profite d'une notoriété plus importante à moindre coût. Le procédé comporte toutefois quelques inconvénients, notamment le fait qu'il s'agit d'une méthode de financement incertaine.
Le but du financement participatif est de mettre en relation des porteurs de projets qui souhaitent trouver des sources de financement et des épargnants qui souhaitent apporter leur aide ou investir dans un projet.
Le montant de l'enveloppe allouée à la démarche tourne, en moyenne, autour des 5% du budget investissement de la collectivité territoriale. Ce sont majoritairement des projets “en dur” qui sont financés : des espaces verts, jardins partagés, crèches, terrains de sport, médiathèques…
D'autre part, les banques participatives subissent un type de risque qui leur est unique: le risque commercial déplacé. Un risque qui émane des comptes d'investissement qui nécessitent le partage des profits entre la banque et les titulaires de ces comptes.
Ces principes sur lesquels repose ce système : sont l'interdiction de riba de gharar et de maysir, le partage de pertes et des profits, l'adossement à un actif tangible, la nécessité de détenir l'actif, le Zakat ou encore le filtrage en matière d'investissement tant sur un aspect qualitatif (interdiction d'investir ...
Le terme finance islamique recouvre l'ensemble des transactions et produits financiers conformes aux principes de la loi coranique, qui supposent l'interdiction de l'intérêt, de l'incertitude, de la spéculation, l'interdiction d'investir dans des secteurs considérés comme illicites (alcool, tabac, paris sur les jeux, ...
Le financement participatif, ou crowdfunding, est un échange de fonds entre individus en dehors des circuits financiers institutionnels, afin de financer un projet via une plateforme en ligne. Comment construire votre page de crowdfunding ? - bpifrance-creation.fr, septembre 2022.
Il s'agit d'Attijariwafa Bank (AWB), de Bank of Africa (BOA), de Crédit Immobilier et Hôtelier (CIH), de la Société Générale Marocaine de Banques (SGMB) et de la Banque Marocaine pour le Commerce et l'Industrie (BMCI).
Elle est aussi définie comme une institution financière qui a pour tâche principale d'attirer les fonds monétaires et de les utiliser efficacement de sorte à garantir leur augmentation en conformité avec les règles de la charia.
Le Budget Participatif donne une marge de manœuvre aux citoyens. En ouvrant un espace de parole il contribue aussi à stimuler la démocratie, à la rendre plus vivante de manière continue, tout au long du mandat. Le développement des outils numériques permet d'ouvrir les outils de participation de manière plus large.
Car c'est le vrai but du budget participatif : inclure les habitants dans une démarche citoyenne. Mais lors de l'organisation d'un budget participatif citoyen, certaines collectivités décident d'orienter la démarche vers un thème spécifique, répondant aussi aux enjeux de la collectivité et de l'équipe municipale.
Manque de fiabilité : Contrairement aux banques ou aux sociétés de capital-risque (venture capital) qui fournissent régulièrement de l'argent aux start-ups et PMEs, il n'y a aucune garantie que votre entreprise soit financée lorsqu'il s'agit du crowdfunding.
La banque islamique se trouve exposée à un risque de retrait massif des fonds et doit faire face à un problème de liquidité. Ce risque fait référence au risque lié à un taux de rendement des comptes d'investissement non compétitifs.
La raison principale de l'interdiction de l'intérêt est la stérilité de l'argent, l'infécondité du capital. Principe aristotélicien, l'argent, dit-on, n'a pas la faculté de s'accroître. Il ne fait pas de petits : Nummus nummum non parit.
La finance islamique peut améliorer l'inclusion financière. Elle intègre les personnes qui sont exclues du système financier traditionnel. Environ un tiers des personnes souffrant d'une extrême pauvreté dans le monde vivent dans les États membres de l'Organisation de la coopération islamique (OCI).