Ng, gāf ou kāf trois points suscrit, ‹ ڭ › ou ‹ ݣ ›, est une lettre additionnelle de l'alphabet arabe utilisé dans l'écriture du ouïghour ; elle était utilisée dans l'écriture du turc ottoman.
غ se dit "gayn". Il s'écrit "gh" et se prononce comme le "r" classique (celui de Maroc).
Les lettres suivantes n'existent pas dans l'alphabet arabe: La Lettre P qui est souvent remplacée par un B par exemple papa est synonyme de baba en arabe. le V est facile à prononcer par tout les arabophones mais en phonétique il est remplacer par la lettre (ف) => F.
L'arabe et l'hébreu, entre autres, s'écrivent pourtant de droite à gauche, mais c'est parce qu'ils ont gardé la tradition des scribes égyptiens.
Adverbe. Bientôt, tout à l'heure.
Par exemple, le «2» utilisé pour représenter la lettre «ء» de même que le «3» illustrant la lettre «ع» présentent une certaine similarité au niveau de la forme. Un autre phénomène récurrent, la présence de la lettre «h» jumelée la plupart du temps avec une autre lettre.
Gh se prononce gu dans quelques mots empruntés de l'italien comme ghetto, larghetto.
Inchallah est une expression arabe signifiant "Si Dieu le veut". Elle s'écrit: إِنْ شَاءَ ٱللَّٰهُ et se prononce Inchaelah, utilisée pour... La langue arabe est intimement attachée à la religion musulmane.
Devant les voyelles a, o et u, la lettre g se prononce [g]. Pour obtenir le son [g] devant e et i, il faut ajouter un u après le g. Quand la lettre g est placée devant une consonne, elle se prononce [g]. Il existe cependant une exception devant le n : la lettre g se prononce [ɲ].
le g se prononce « gue » : la gare, une gomme, aigu. Pour que le g se prononce « je » devant « a, o, u », il faut mettre un « e » après le « g » : une orangeade, la rougeole,… devant « e, i, y » : le g se prononce « je » : une page, la gélatine, une girafe.
Graphies g et gu
La graphie g représente le son [g] devant un a, un o ou un u : gare, gomme, guttural… La graphie gu représente le son [g] devant un e, un i ou un y : fatigue, guirlande, Guy…
Cinq se dit hamsa (hahm-sah) (خمسة).
Étymologie. Littéralement « mon amour ». Composé de l'arabe حَبِيب , ḥabīb (« chéri ») et le suffixe ـي, -ī.
hamra f ., hmar m .
Le mot bsahtek , qui s'écrit aussi bsartek et sartek , signifie « bravo, félicitations, bien joué ». On l'emploie pour féliciter quelqu'un qui a réussi quelque chose. Il sert aussi à complimenter quelqu'un qui a fait une bonne action, avec le sens de « c'est bien, respect pour ce que tu as fait ».
Les langues sémitiques telles que l'arabe et l'hébreu se lisent de droite à gauche : on dit que ces langues ont un sens de lecture sinistroverse. A l'inverse, en Europe, notre sens d'écriture de gauche à droite est dit dextroverse.
Si les Phéniciens n'ont pas inventé le principe de l'alphabet, on peut dire cependant que l'alphabet phénicien, inventé il y a 3000 ans, est l'ancêtre de presque tous les systèmes alphabétiques du monde. Les premières traces d'une écriture alphabétique remontent au milieu du IIème millénaire.
La mise par écrit d'une langue vernaculaire
Les premières inscriptions en alphabet arabe, d'époque préislamique, ont été retrouvées en Syrie et de Jordanie et datent du Ve siècle. Elles furent réalisées sous la dynastie des Ghassanides, bien que ceux-ci aient utilisé la langue grecque dans des contextes officiels.