Les cobras royaux chassent leurs proies grâce à leur vue ainsi qu'à leur odorat. Une fois que la proie repérée (en hauteur depuis une branche d'arbre ou depuis le sol) se situe à proximité, le serpent effectue une détente rapide de son corps la gueule grande ouverte puis inflige une morsure mortelle à sa proie.
Le venin du serpent est produit dans des glandes salivaires spéciales. Ces crochets à venin pointus sont creux comme une seringue. La proie est saisie avec une morsure précise et le venin paralysant est injecté par les crochets. Ce venin suffit généralement à tuer la proie.
Les serpents constricteurs ont un corps musclé qui leur permet d'enserrer de grosses proies. Ils ont, généralement, des dents pointues et acérées, recourbées vers l'arrière. Ils attrapent leur proie puis ils s'enroulent autour, et non seulement ils l'empêchent de respirer, mais ils lui bloquent la circulation sanguine.
Comme le cobra cracheur, il n'attaque que s'il se sent menacé. Énervé, il peut mordre violemment avec ses mâchoires, constituées d'une double herse de crochets recourbés vers l'arrière et pouvant se briser dans la plaie de ses ennemis.
À l'affût, le serpent s'enroule autour de sa proie et resserre l'étreinte pour l'étouffer. Un python de 8 kilos exerce une pression de 35 kilos par centimètre carré. L'acte de constriction par un aussi grand serpent suffit généralement à tuer sa victime, qui meurt asphyxiée une fois la circulation sanguine coupée.
Il est donc physiquement capable d'avaler un enfant ou un adolescent. Mais l'animal a tendance à fuir l'homme, et aucun témoignage crédible ne confirme une attaque mortelle envers un humain. En revanche, il a été confirmé que des hommes ont été mangés par de gros pythons, notamment le python réticulé.
Sa rapidité, son agilité et sa précision constituent la véritable force de la mangouste face aux serpents venimeux.
Le cobra royal ne connaît qu'un seul prédateur : la mangouste qui attaque principalement les œufs ou les jeunes.
Le serpent, se sentant en danger, adopte alors une posture de surveillance, la coiffe étendue et le cou gonflé. Quant à la danse de la flûte devant lui, elle ne fait que confirmer ses craintes. Pour surveiller cet ennemi et être prêt à la riposte, le cobra ondule à son rythme.
Les mets favoris du cobra royal sont le serpent ratier indien, Ptyas mucosus, qui peut dépasser les trois mètres de long, et la couleuvre d'eau asiatique, Xenochrophis piscator. Certaines observations font état de pythons attaqués et mangés par cet élapidé.
Les serpents dits constricteurs, par exemple, utilisent leur corps musclé pour enserrer leurs victimes jusqu'à leur couper la circulation ou les étouffer. Parmi eux, se trouvent le python réticulé, le grand anaconda ou encore le célèbre boa constrictor.
La couleuvre ne s'en sert pas pour mordre ses proies, contrairement à la vipère, mais pour tuer une proie une fois qu'elle se trouve emprisonnée dans sa gueule.Il faut toutefois noter que le venin d'une couleuvre est moins puissant que celui des vipères et il est inoffensif pour l'Homme.
Le serpent saisit sa victime entre les mâchoires et l'enserre de ses anneaux. L'étreinte est si puissante que l'animal meurt rapidement. Le serpent cherche alors la tête et commence à l'ingurgiter. Une fois la proie avalée, les serpents cherchent un endroit tranquille pour la digérer.
1- Ne le tuez pas !
Avant cela, les vipères avaient un statut à part, leur destruction était possible. En plus de la fragmentation de leurs habitats, cela impactait grandement leurs populations, déjà en déclin.
Les principales espèces que l'on retrouve en France sont la vipère aspic, la vipère Péliade, la vipère d'Orsini et la vipère des Pyrénées (de Seoane).
Le mamba noir (Dendroaspis polylepis) a la réputation d'être le serpent le plus dangereux au monde. Serpent de la famille des Elapidae, il peut mesurer jusqu'à 4 mètres et vit dans les zones boisées ou rocheuses de plusieurs pays du continent africain : Kenya, Ouganda, RDC, mais aussi Namibie ou Bostwana.
Contrairement à bon nombre d'animaux, le serpent ne possède pas de paupière ! De ce fait, il dort donc les yeux ouverts. C'est leur cerveau des serpents qui est responsable de leur sommeil. Lorsqu'ils décident de s'endormir, ils n'ont pas besoin d'amorcer le processus en fermant les yeux.
Un charmeur de serpent (ou psylle) est une personne qui impressionne les passants en paraissant dicter, par les sons de son pungi, le comportement d'un serpent qui semble envoûté dans une sorte d'hypnose, qui le rendrait parfaitement docile.
Le reptile est en effet quasiment sourd. Pour parvenir à ses fins, le dresseur tape du pied sur le sol pour attirer l'attention de l'animal. Percevant les vibrations et se sentant menacé, ce dernier se dresse alors instinctivement pour adopter une position de défense.
Les poules sont les ennemies jurées du serpent.
La mangouste raffole de serpents.
On trouve des prédateurs de serpents dans de nombreux groupes de vertébrés terrestres : crocodiliens, tortues, grands lézards carnivores, serpents, oiseaux, mammifères. Les serpents aquatiques sont également susceptibles d'être capturés et ingérés par des oiseaux, des requins, des poissons et des crabes.
Python regius (python royal)
Le python royal est une espèce de serpent très populaire en terrariophilie. Sa réputation se vaut à son tempérament calme et docile et à sa taille modeste de 1m à 1m20.
Au hit parade de l'animal le plus peureux le mouton vient en tête, suivi de la chèvre, de la vache, du cheval puis enfin du porc. Parmi les chevaux, les arabes, les anglo-arabes et les selles français sont les plus peureux.
Le ratel (Mellivora capensis), aussi appelé zorille du Cap, est un mustélidé répandu dans la région allant du Nord de l'Inde à la Péninsule arabique, et dans toute l'Afrique subsaharienne à l'exception de Madagascar. Il est réputé pour son comportement féroce et particulièrement tenace ainsi que pour son endurance.