La subordonnée conjonctive circonstancielle de conséquence peut être… introduite par les conjonctions : au point que, de sorte que, de façon que, si bien que ; Exemple : Bob est très intelligent [si bien qu'il réussit sans peine].
Une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de conséquence est introduite par une conjonction de subordination exprimant la conséquence et est complément circonstanciel de conséquence de la proposition principale. Les feuilles sont tombées si vite qu'on a l'impression que l'automne est déjà fini.
-conséquence: si...que, tellement...que, tant...que, de sorte que, si bien que, trop... pour, assez... pour... -but: pour que, afin que, de peur que, de crainte que, dans l'espoir que...
La conséquence est un fait qui résulte d'un autre fait. Exemple : Il est non voyant, donc il ne peut pas le voir. Il est non voyant : résultat ?
La subordonnée conjonctive circonstancielle de cause est introduite par les conjonctions parce que, puisque, comme, vu que, sous prétexte que, etc. Il est arrivé en retard parce que sa voiture est tombée en panne. Il est arrivé en retard sous prétexte que sa voiture est tombée en panne.
Une cause présente la raison de quelque chose, c'est un élément qui en produit un autre, c'est un fait qui en entraîne un autre, etc. Une conséquence explique ce qui arrive (l'effet), c'est le résultat de quelque chose (les répercussions).
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif). Les propositions subordonnées circonstancielles sont compléments circonstanciels de la proposition principale.
Le CC de conséquence est un ensemble de mots qui exprime le résultat d'une action. Il répond à la question : « Avec quel résultat ? », « Pour (quel résultat) ? », « De manière à obtenir quel résultat ? » …
Connaissez-vous les expressions de la conséquence ? Alors, c'est pourquoi, donc, de sorte que, par conséquent, du coup, etc.
1 LA SUBORDONNÉE CIRCONSTANCIELLE DE CAUSE
Subordonnants : comme, du moment que, d'autant plus que, parce que, puisque, sous pré- texte que, etc. Comme il est malade, il ne s'est pas présenté à l'examen. L'élève est absent parce qu'il aurait la grippe.
La proposition subordonnée circonstancielle concessive exprime une action en opposition avec l'action de la principale. Elle est introduite par des conjonctions de subordination comme - bien que, quoique, malgré que. Le verbe est conjugué au mode subjonctif. Exemple : Il est venu bien qu'il soit malade.
En conséquence signifie "conformément, donc, par conséquent, cela étant". Exemple : Etant donné l'état d'énervement dans lequel je l'ai trouvé, je n'ai fait qu'agir en conséquence.
La conséquence est le résultat d'une cause, on la trouve souvent derrière « donc », « par conséquent », « si bien que », etc. Le but est une intention, on le trouve souvent derrière « pour », « afin que », « de peur que », etc.
nom féminin. Suite qu'une action, un fait entraîne. ➙ effet, résultat, suite. La cause et les conséquences.
CCL: on l'utilise pour répondre aux questions : (Où ? À quel endroit..). ex: Nous allons à la piscine. Ici à la piscine nous répond à la question Où ?, donc à la piscine est un CCL (complément circonstanciel de lieu).
Le complément circonstanciel de cause indique pour quelle raison (pourquoi) l'action a eu lieu. Exemples : L'arbre s'est abattu à cause de la tempête. Je suis déçue parce que tu n'es pas venu. Le complément circonstanciel de but indique pour quoi faire (pour obtenir quoi, dans quel but) l'action a eu lieu.
Les compléments circonstanciels de lieu répondent aux questions : où ?, vers où ?, d'où ?, par où ? Ils peuvent donc préciser : la localisation, le lieu où l'on est : Mon frère réside en Espagne.
La proposition subordonnée circonstancielle de condition (ou hypothétique) exprime la condition à laquelle est soumise la réalisation de la principale. Cette proposition est introduite par une conjonction, une locution conjonctive de subordination. Elle peut être au subjonctif, à l'indicatif ou au conditionnel.
La proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel est une proposition subordonnée, c'est-à-dire qu'elle dépend d'une proposition principale dont elle complète le sens. On l'appelle conjonctive, parce qu'elle est introduite par une conjonction de subordination, ou une locution conjonctive.
Il existe trois types de complétives : la proposition subordonnée conjonctive en que, la proposition subordonnée interrogative indirecte et la proposition subordonnée infinitive.
Pour la conséquence, on a les conjonctions de coordination « et » et « donc ». Ces deux mots permettent d'exprimer une conséquence.