Une couche de base, une couche intermédiaire et une veste de ski et des salopettes résistantes à l'eau. Ajoutez des chaussettes de ski, des gants, des lunettes et un bonnet et vous serez prêt à affronter même les jours les plus froids sur les pistes.
Véritables premières barrières contre le froid, ce sont des sous-vêtements respirants. En laine Mérinos ou en matières synthétiques, les sous-vêtements allient régulation thermique et confort durant l'effort. En revanche, évitez le coton : une fois humide, il ne sèche pas et transmet le froid.
Pour la seconde couche , les vêtements chaud pour le ski, on peut choisir une doudoune, une veste en fibre polaire, ou un gilet sans manches. Pour la dernière couche de vêtements, on choisira des vestes et pantalons en matières imperméables types Hardshell, Softshell, ou vestes et pantalons doublés...
3 COUCHES, 3 PARTICULARITÉS, 3 FOIS PLUS DE CONFORT
Pour rester au chaud dans les pires conditions, il faut donc d'abord rester au sec. Vos vêtements ont alors pour rôles d'éloigner l'humidité corporelle de votre peau, maintenir de l'air chaud et sec près du corps et évacuer l'humidité vers l'extérieur.
Des gants : de véritables gants imperméables, en cuir ou en matière technique. Vous pouvez aussi porter des sous-gants si vous avez rapidement froid aux mains. Des chaussettes : des vraies, en matière technique ou en laine.
– Si vous êtes petite : optez pour le fuseau, son bas évasé allongera vos jambes avec une veste courte. – Si vous êtes ronde : pensez vestes cintrées et ceinturées. – Les lunettes de soleil : il s'agit de l'indispensable pour protéger vos beaux yeux. D'ailleurs pensez à prendre la protection maximale.
Le choix du flex est lié au niveau de ski
De manière générale, un flex de 60 à 80 est conseillé pour des skieurs intermédiaires, alors que le 90-110 s'adresse à des skieurs confirmés, 90 paraissant suffisant pour une utilisation hors piste ou freestyle. Dès 120, on laisse cette chaussure aux compétiteurs.
L'astuce Wedze : une paire de chaussette de rechange dans le sac. Et si vous avez encore froid, il existe des chaufferettes à positionner sur le haut du pied, par dessus la chaussette. Un apport de chaleur supplémentaire pour encore plus de confort lors de vos journées de ski les plus froides !
- S'étirer avant sa journée de ski, en bougeant les épaules et en courant un peu. - Manger avant de partir et emporter des en-cas et de l'eau. S'arrêter en cas de fatigue, car c'est à ce moment-là que le risque de blessure est le plus élevé.
Pour aller skier avec style, on laisse définitivement de côté sa grosse combinaison de ski pour un ensemble doudoune-pantalon qui sera beaucoup plus pratique. Choisissez par exemple une doudoune cintrée ainsi qu'un pantalon assez moulant pour mettre en valeur votre silhouette et ne pas ressembler à un bibendum.
Doudoune intermédiaire en duvet naturel – entre 100 et 350€
NB : Ces deux types de doudounes en duvet naturel ou synthétique sont souvent déperlants et coupe-vent. Elles peuvent donc être utilisées comme couche extérieure (sans 3ème couche par dessus) en cas de belle journée de fin de saison sans intempéries.
Pour le ski, l'idéal est d'appliquer le système des 3 couches. C'est celui qui va vous garantir imperméabilité, respirabilité, chaleur et confort. Il faut commencer par un sous vêtement technique qui est là pour garder votre chaleur corporelle au plus près de la peau et évacuer votre transpiration.
Une bonne tenue de ski doit avant tout bénéficier de coutures irréprochables. Pour la solidité d'abord, mais surtout pour éviter le passage d'un flux d'air qui pourrait vous transir de froid sur les pistes ! Évitez le stéréotype de la doudoune trop ample : pour rester au chaud, privilégiez le moulant.
La soie naturelle
Elle est dite “thermorégulante” , puisqu'elle permet d'affronter le froid, mais aussi la chaleur. Les chaussettes en soie naturelle sont fines, souples, résistantes et isolent parfaitement le pied du froid.
Conseils. Il est impératif de garder les skis un peu écartés, au moins dans un premier temps. En effet, garder les skis serrés pénalise l'équilibre et surtout l'indépendance des jambes, si celle-ci n'est pas parfaitement acquise. Très souvent les skieurs débutants plantent leur bâton très tard et sans appui.
Il faut, jambe tendue, toucher le bout du chausson (sinon la chaussure est trop grande) et, une fois fléchie, sentir le bout, même légèrement. Si la pointure est bonne, il faut rester un moment dans la chaussure de façon à ce que le chausson chauffe et libère de l'espace autour du pied.
Semelles thermiques
Elles isolent parfaitement du froid: pratiques avec des baskets ou des chaussures dont la semelle en cuir est trop fine. Pour un confort absolu et une chaleur exceptionnelle, misez sur les semelles en mouton véritable (Amazon).
Il est important d'avoir des semelles assez épaisses. Autrement, le dessous de la botte se refroidira vite et on aura les pieds froids. Des semelles en caoutchouc isolent également bien le pied, alors que le feutre à l'intérieur permet de mieux garder la chaleur.
Un autre truc : vous pouvez placer des boules de papier journal dans la botte. Elles absorberont l'humidité. Si vous avez besoin de plus de chaleur dans vos bottes, vous pouvez vous procurer dans les magasins de sport des chauffe-orteils adhésifs, communément appelés « hot shots ».
Exemple : Une femme d'un bon niveau physique, avec un bon niveau technique qui fait essentiellement de la piste, qui pèse 60 kg, et qui est âgée de 45 ans : nous lui conseillons un flex de 70 si elle recherche du confort, ou du 80, si elle veut de la performance.
On considère qu'un flex de 60 à 80 est conçu pour des skieurs intermédiaires, alors que le 90-110 s'adresse à des skieurs sportifs. Au delà, les produits s'adressent aux compétiteurs avec des rigidités de 120 à 150. Le choix de cet indice est primordial.