La paresse en tant que pathologie
Ce manque d'appétit à agir peut être lié à un manque de mobiles, une absence ou une perte de « raisons de vivre ».
Trouble obsessionnel compulsif et procrastination
Ce type de dysfonctionnement ne vous permet pas de vous sentir satisfait de votre tâche même si celle-ci a bien accomplie. C'est un sentiment légèrement similaire à un perfectionnisme excessif. Il y a toujours quelque chose à améliorer.
On trouve généralement trois raisons à la procrastination : – la tâche n'est pas plaisante ou n'est pas intéressante ; – vous craignez d'échouer ; – vous ne savez pas par où commencer.
La paresse provoque en nous, sans que nous nous en rendions compte, un sentiment d'inutilité et d'inefficacité qui minent notre estime de nous-mêmes et peut nous mener jusqu'à la dépression.
Si le sentiment de vide et la difficulté à se motiver sont durables et importants, il peut s'agir de troubles qui peuvent être très divers, aussi bien médicaux (comme une hypothyroïdie par exemple) que psychologiques ou psychiques : problème de confiance en soi, traumatisme, humeur dépressive etc.
5- Le manque de motivation
Ce facteur est probablement le pire d'entre tous puisqu'il relève d'un enjeu plus important : le manque de vision et d'objectifs. On blâme souvent les gens qui manquent de motivation et qui ont tendance à procrastiner en disant qu'ils sont paresseux et qu'ils ne font rien de bon de leur vie.
Souvent, elles procrastinent parce qu'elles ont peur de ne pas pouvoir exécuter une tâche comme il faut. Ces personnes sont rarement satisfaites de leur travail ou de leur vie, et pensent toujours qu'elles pourraient "faire mieux". Le manque de motivation peut aussi expliquer la procrastination.
La paresse intellectuelle fait l'économie du savoir et de l'effort qu'exige la réflexion. Le « bon sens » fait alors le choix du repos de l'esprit et de sa faculté de juger. C'est ainsi que le bon sens peut nous faire dire que la terre est plate. L'intuition et l'apparence du vraisemblable suffisent à elles-mêmes.
Un autre moyen de ne pas être très nonchalant est de paraitre trop empressé. Vous êtes toujours celui ou celle qui s'enthousiasme, déborde d'idées et tâche de convaincre les autres de faire quelque chose. Ici, vous devriez ralentir un peu le rythme.
Aider son mari paresseux
Vous devez absolument faire comprendre à votre mari que vous en avez assez de toujours tout faire dans votre maison. Vous devez lui expliquer qu'il doit faire sa part et participer aux corvées d'entretien dans la maison. Si rien ne change, alors il faut envisager les grandes solutions !
La Balance, paresseuse à 70%
Un signe astrologique est d'ailleurs connu pour être le plus casanier du zodiaque, mais aussi le plus paresseux ! Il s'agit du signe du Taureau !
Fainéant s'emploie dans tous les registres ; feignant (plus courant) et faignant (plus rare) sont familiers. Ces formes sont toutes trois issues du participe présent du verbe feindre, « rester inactif » (à rapprocher des rois fainéants, rois qui accédaient au trône trop jeunes pour pouvoir régner personnellement).
Le fait de toujours faire les choses au dernier moment est donc une forme de procrastination, provoquer par le manque de dopamine, qui entraîne un manque de motivation. Le manque d'organisation va être un paramètre à ne pas négliger, car il peut lui aussi être à l'origine de ce mécanisme.
Une personne qui remet tout au lendemain est appelée un procrastinateur. Au féminin, on peut utiliser le terme procrastinatrice.
Les conséquences de la procrastination peuvent être multiples : stress, émotions négatives, baisse de la qualité du travail et réprobation sont autant d'éléments négatifs qui découlent de la procrastination (9).
« Remettre à plus tard leur permet de se réconforter en pensant qu'ils sont brillants et disposent d'un potentiel illimité pour réussir », précisent Jane B.
La procrastination impacte souvent de façon négative le quotidien des procrastinateurs. En effet, en plus d'empêcher les individus d'atteindre leurs objectifs, elle est souvent à l'origine d'un stress important, d'attaques de panique et dans des cas plus graves, d'un état dépressif.