L'importance du dépistage reste primordiale. En effet, plus un cancer est diagnostiqué tôt, plus il a de chance d'être guéri. La prise de sang est l'un des examens qui aident à diagnostiquer un cancer. Si aujourd'hui elle ne permet pas de le diagnostiquer à elle seule, ça sera sûrement le cas d'ici quelques années.
L'imagerie médicale
Elle peut être utilisée : en première intention dans le dépistage systématique de certains cancers comme le cancer du sein par mammographie, pour confirmer ou infirmer un diagnostic, pour évaluer la sévérité de la maladie et affiner le diagnostic.
des maux de tête récidivants et violents ; une fatigue extrême ; une perte de poids rapide et inexpliquée ; des symptômes persistants.
Comme l'explique le Dr Lenglet, "une prise de sang peut être prescrite au patient pour : Un dépistage : présence d'un virus, recherche de cholestérol… Faire un diagnostic parce que vous êtes malade : recherche d'une bactérie, d'une infection virale active, d'une inflammation, d'un anticorps d'une maladie auto-immune...
Les signes d'alarme peuvent être : - une grosseur palpable, apparue récemment dans l'un des seins chez la femme ou un nodule sous la peau, ou encore l'augmentation de volume ou l'induration (le fait de durcir) d'un ou de plusieurs ganglions.
Plusieurs examens sont nécessaires pour confirmer le diagnostic de cancer du foie et pour évaluer l'extension de la maladie. En présence de symptômes pouvant faire suspecter une atteinte du foie, le médecin va prescrire une échographie, afin de repérer un éventuel nodule, et une analyse de sang.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Chez les adultes, ce sont le chondrosarcome, le sarcome pléomorphe indifférencié de l'os et l'ostéosarcome. Il existe d'autres types de sarcomes osseux, mais ils sont beaucoup plus rares. D'autres types de cancer peuvent se propager aux os.
Lorsque la quantité de ce composé produit par les cellules cancéreuses est supérieure à 250 ng/ml, la présence de deux types de tumeurs est envisagée : tumeur du foie ou du testicule (tératome).
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
La nosophobie (ou pathophobie) est la peur de contracter une maladie (IST, cancer…). A ne pas confondre avec l'hyponcondrie qui désigne la peur de la maladie en général. La nosophobie peut être liée au souvenir d'un parent malade pendant l'enfance.
Le cancer du pancréas est l'un des cancers les plus redoutés, car il est souvent foudroyant.
Il est utilisé comme un test général de dépistage de l'état de santé général. Il a pour but de rechercher des troubles aussi variés qu'une anémie, une infection, un cancer du sang…
Un bilan sanguin, en quoi ça consiste ? Un bilan sanguin se fait grâce à un prélèvement sanguin. Celui-ci permet d'analyser le sang à l'initiative d'un professionnel de santé afin de diagnostiquer certaines maladies. Il peut également servir à faire un bilan de votre état de santé général.
La personne hypocondriaque ne craint pas d'attraper une maladie : elle est persuadée d'être déjà malade. Elle s'inquiète des suites de sa pathologie, invente des scénarios catastrophes et rumine beaucoup." Ne pas confondre avec la peur d'attraper des maladies, qui est la nosophobie.
Selon la psychologue clinicienne, les anxieux le deviennent à la suite d'événements traumatiques ou encore à cause d'“un environnement insécurisant, instable, violent.” C'est le cas, par exemple, des enfants témoins ou victimes de violences.
– Le taux de survie à 5 ans est souvent utilisé par les oncologues et autres scientifiques travaillant sur le cancer chez les adultes. L'idée est que si 5 ans après la découverte du cancer le patient est toujours vivant, la probabilité est élevée que le cancer ait disparu de l'organisme.
Le Pr Dominique Marananchi rappelle que les cancers diagnostiqués lors d'un dépistage sont ceux qui se guérissent le mieux. Les cancers de la prostate, du sein, du testicule, de la thyroïde, et le mélanome ont le meilleur pronostic. La survie à cinq ans est supérieure ou égale à 80%.
Il est vrai qu'un cancer, notamment colorectal, s'accompagne souvent d'une élévation de la CRP. Mais ce marqueur n'a rien de spécifique et il peut être normal en dépit de l'existence d'un cancer.