Grâce à ce thermomètre, vous pourrez protéger votre poêle de la surchauffe et limiter les rejets de polluants dans l'atmosphère. Conseil d'utilisation : Disposer le Thermomètre pour poêle sur le conduit de raccordement à 30 cm de la surface de votre poêle à bois.
Le second et le troisième sont des thermomètres magnétiques qui adhèrent à la face extérieure du tuyau de raccordement ou au-dessus du poêle. Installez le thermomètre à sonde dans le tuyau de raccordement à environ 30 cm au-dessus de la sortie de l'appareil, mais jamais sur l'appareil même.
À près de 300°C, la combustion atteint son apogée. La réaction continue avec crépitement et éclat, au fur et à mesure que les poches de chaleur se libèrent.
Pour réguler la température, il est conseillé de commencer par un feu vif et d'ajuster ensuite la quantité de bois et la circulation de l'air en fonction de la température désirée. Enfin, il est important de faire ramoner régulièrement le conduit de fumée pour une combustion propre et efficace.
Pour une utilisation optimale, nous vous conseillons d'installer votre thermomètre à poser sur un meuble ou une étagère éloigné(e) de toutes sources de chaleur ou de froid. Par exemple, il vaut mieux éviter de placer son thermomètre près d'un chauffage ou d'une fenêtre pour ne pas fausser ses indications.
1er choix : voie rectale (par le rectum), pour obtenir une lecture exacte ; 2e choix : voie tympanique (par l'oreille) ; 3e choix : voie axillaire (sous l'aisselle).
Les thermomètres médicaux sont utilisés pour la mesure de la température corporelle (dans le rectum — rectale —, sous l'aisselle — axillaire —, dans l'oreille — auriculaire —, ou dans la bouche — buccale —).
Pour réduire la chaleur produite par le poêle, il est préférable de limiter la quantité de bois utilisée plutôt que l'alimentation en air. Sur un poêle proposant une double combustion, une arrivée d'air primaire, située sur la partie inférieure de l'appareil, assure un apport d'air frais avant la combustion.
Vous pouvez encourager davantage la diffusion de la chaleur de votre poêle à bois entre les étages en installant des grilles d'évacuation autour du conduit et dans toutes les pièces à l'étage où vous voulez bénéficier de la chaleur du poêle, permettant ainsi une plus grande efficacité énergétique dans toute la maison.
Pour optimiser les flambées et chauffer une pièce à une température constante, il est recommandé d'alimenter le poêle toutes les 2 à 3 heures. Le choix des bûches est également un critère qui permet de réaliser de bonnes économies lors de l'utilisation de l'équipement.
Une fois que vous avez chargé votre poêle ou cheminée avec du bois de chauffage classique ou du bois densifié, et que ça brûle bien, il vous suffit de recouvrir vos bûches de cendres. La cendre permettra au bois de se consumer lentement et il vous restera de la braise le lendemain matin.
A quoi reconnaître une bonne combustion ? Vous vous familiarisez très vite avec certains signes : Les flammes sont vives et orangées. La vitre de votre poêle retrouve peu à peu sa transparence.
En cas d'arrêt soudain de votre poêle à bois avec une indication de température excessivement élevée, il est probable que vous rencontriez un problème de surchauffe.
1. Placer de préférence le capteur de température à 1,5 mètre du sol et à plus d'1 mètre d'une source de chaleur ou de froid. Autrement dit, évitez de placer un capteur tout près d'un radiateur, d'une fenêtre ou d'un climatiseur.
Où placer la sonde extérieure ? Elle se pose en général à environ 2 mètres du sol, si possible sur la façade nord ou nord-est. On doit veiller à la placer en dehors de tout abri : avancée de toit, balcon, etc.
entre 250°C et 800°C, la pyrolyse : cette réaction chimique transforme le bois en éléments gazeux. Le bois s'enflamme à partir de 300°C, produisant des flammes bleues à leur température maximale, puis des flammes jaunes qui correspondent à l'évaporation des goudrons.
Installer un répartiteur de chaleur
Un moteur est installé, souvent dans les combles, pour aspirer cet air chaud dans des gaines isolées et le souffler dans les pièces à chauffer. Cela permettra de mieux diffuser la chaleur si votre habitation comporte plusieurs étages ou si l'espace est très cloisonné.
Ce type de poêle chauffe en premier lieu la pièce dans laquelle il est installé, avant de répartir sa chaleur dans une ou plusieurs pièces secondaires. Privilégiez par conséquent un modèle disposant d'une ventilation frontale ou située sur le dessus afin de répartir plus rapidement la chaleur dans la pièce.
La réponse est OUI car c'est une énergie locale et bon marché, dont le coût n'est pas soumis aux crises géopolitiques ni aux conflits internationaux comme le sont les énergies fossiles importés.
Utiliser un bois sec
Un bois contenant 20 % d'humidité offre ainsi 30 % d'énergie supplémentaire par rapport à du bois possédant un taux d'humidité de 40 %. Petite astuce pour ceux qui utilisent des bûches : le bois sec résonne, tandis qu'un bois humide émet un bruit sourd.
Humidité du bois. Si le bois utilisé dans votre poêle est humide ou mal séché, il brûlera moins efficacement et plus rapidement. L'humidité contenue dans le bois doit s'évaporer avant que la combustion réelle ne se produise, ce qui peut entraîner une combustion plus rapide et moins efficace.
Privilégiez la voie rectale ou buccale, plus fiables que la mesure sous l'aisselle. Le thermomètre auriculaire est précis, à condition de prendre correctement la mesure, ce qui peut s'avérer difficile. Le thermomètre frontal est à réserver aux dépistages rapides.
Quels types de thermomètre existe-t-il ? Le thermomètre à mercure. Le thermomètre électronique.
En général, la température est prise lorsque que l'aisselle est sèche, il faut alors rajouter 0,8 °C voir 1 °C au résultat donné. La température par voie buccale : souvent prise par un appareil à gallium ou électronique, pour une indication précise, rajoutez 0,3 °C ou 0,5 °C au résultat affiché sur le thermomètre.