Pleurer plus souvent ou sans savoir pourquoi peut évoquer une affection mentale telle qu'une dépression, de l'anxiété, une dépression post-partum ou un trouble bipolaire. Si vous pensez que vos pleurs sont liés à un problème de santé mentale, il est nécessaire de consulter votre médecin généraliste.
Stress chronique : Parfois, vous pouvez être triste parce que vous traversez une situation stressante dans votre vie. En fait, la tristesse peut indiquer que ce stress est malsain pour vous. De plus, vivre trop de stress peut finir par provoquer une dérégulation émotionnelle ou des sautes d'humeur imprévisibles.
Le stress, une mauvaise alimentation, une dette de sommeil, une consommation excessive de caféine ou une intolérance au gluten peuvent également expliquer des dysfonctionnements affectant l'humeur et pouvant conduire au sentiment de tristesse.
Excès de stress : Un sentiment de mal-être peut également survenir lorsque vous faites face à un problème spécifique dans votre vie qui vous stresse plus que vous ne le pensez. Dans ces cas, le fait de subir des niveaux élevés de stress peut entraîner une dérégulation émotionnelle ainsi que des sautes d'humeur.
Le surmenage, la solitude, des événements difficiles ou traumatisants (problèmes financiers ou professionnels) peuvent favoriser une dépression. Souvent, son apparition suit la perte d'une personne, lors d'un deuil, d'une séparation, du départ d'un enfant du domicile des parents, par exemple.
une perte d'appétit ; un sentiment de grande tristesse sans raison apparente et la volonté de rester seule, de se replier sur soi-même ; l'impression d'avoir perdu le contrôle et de ne pas pouvoir prendre de décisions ; des modifications des relations familiales.
Des causes psychologiques : par exemple, vous avez dû prendre un appartement en solo suite à une séparation, un décès, un divorce ; vous avez dû déménager après une mutation ou un changement de situation professionnelle (chômage, etc).
Selon les émotions, agréables ou non, différentes zones du corps réagissent. Ainsi, le dégoût est plus souvent associé à des sensations au niveau du système digestif et de la gorge alors que la tristesse est liée à une moindre activité des membres inférieurs.
Il peut s'agir d'une déprime ou bien d'une dépression. La première est un mal-être passager ; la seconde est une maladie qui nécessite une prise en charge médicale et psychothérapeutique.
Le premier signe de la dépression est bien sur une profonde tristesse, elle est particulièrement douloureuse, incompréhensible et envahissante. Elle peut s'accompagner de pleurs inexpliqués et d'un sentiment de désespoir, de l'impression que tout va mal, que tout est noir, et que rien de positif ne peut nous advenir.
La solution la plus efficace à cet état est de pratiquer une activité physique régulière. En plus de booster vos muscles, le sport active l'hormone du plaisir, la dopamine qui vous procure cette sensation de bien-être après avoir fait beaucoup d'efforts.
La solitude n'est pas une maladie, mais plutôt le symptôme d'une difficulté à s'adapter à son environnement. Cela peut parfois résulter d'un problème de santé mentale préexistant. Dépression, anxiété, troubles du sommeil ou bipolarité, peuvent se manifester également par un sentiment profond de solitude.
Fatigue réactionnelle : quand le corps ne supporte plus le stress. La fatigue réactionnelle est une forme de fatigue temporaire qui trouve son origine dans des perturbations du mode de vie (souvent un rythme de de vie exténuant et usant, des états de stress répétitifs) ou des maladies de courte durée.
La personne se sent dévalorisée, elle a l'impression qu'elle ne vaut rien, qu'elle ne fait que déranger les autres ce qui l'amène à culpabiliser. La tristesse s'y ajoute. La personne pense que la vie n'a plus de sens. Tout cela peut l'amener à se demander si ce ne serait pas mieux qu'elle ne soit plus là.
Est-ce que c'est normal d'être triste? La tristesse est un sentiment tout aussi normal que la joie ou la peur. Dès les premières pages de son livre, Marc-André Dufour écrit : « Nous souffrirons tous et, ensuite, nous mourrons tous. » Ainsi va la vie.
Une fatigue (asthénie), souvent plus marquée le matin. Une perte d'appétit, souvent associée à une perte de poids. Des troubles du sommeil, avec souvent une insomnie en deuxième partie de nuit et un réveil matinal précoce. Des troubles de l'attention, de la concentration et de la mémoire chez la plupart des malades.
La dépression est une maladie mentale qui dure sur le long terme, elle est issue d'un dérèglement chimique. Si le dépressif doit supporter cette maladie toute sa vie, la déprime elle, est ponctuelle, l'individu pourra donc passer à autre chose d'un moment à un autre, ce qui n'est pas le cas d'une personne dépressive.
Pourquoi on a envie de rien ? Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
L'apathie : mentionnée précédemment, c'est quand la personne n'a aucune passion, ne ressent plus des sensations ou émotions. Il y a plusieurs maux qui renforcent ce manque de motivation : la dépression, le burn-out, la schizophrénie, troubles alimentaires sont quelques causes psychologiques.