Le trouble de la personnalité narcissique est probablement causé par les deux éléments suivants : Les gènes de la personne atteinte (les informations génétiques transmises à la personne par ses parents) Les expériences et l'éducation de la personne, comme la façon dont ses parents l'ont traitée.
La trouble de la personnalité narcissique se caractérise par une tendance omniprésente à la grandiloquence, au besoin d'adulation et au manque d'empathie. Le diagnostic repose sur les critères cliniques. Le traitement repose sur la psychothérapie psychodynamique.
La trouble de la personnalité narcissique se caractérise par une tendance omniprésente à la grandiloquence, au besoin d'adulation et au manque d'empathie. Le diagnostic repose sur les critères cliniques. Le traitement repose sur la psychothérapie psychodynamique.
"Il ne s'agit pas d'une maladie mentale. C'est une structure, une organisation de personnalité. Elle touche principalement des personnes qui ont des troubles psychotraumatiques de départ.
Les personnes narcissiques se sentent supérieures aux autres et sont souvent détestés, car elles sont imbues de leur personne, égoïstes, sans empathie et condescendantes. Celui dont on parle le plus, potentiellement dangereux pour ses victimes, est le pervers narcissique.
"Le pervers narcissique en général n'est pas conscient et le déni est une des caractéristiques à plusieurs niveaux de cette pathologie, donc il nie également et surtout sa propre pathologie.
Ils ne ressentent aucune empathie. Ils exigent toujours de l'attention. Ils ne sont jamais satisfaits, en veulent de plus en plus. Comme ce sont des gens assez compliqués, vivre avec un narcissique est souvent épuisant, surtout pour ceux qui sont émotionnellement dépendants ou qui ont des problèmes d'estime de soi.
Le pervers narcissique est une personne qui ne se remet jamais en question. De ce fait, il ne peut y avoir de changement possible. Un véritable manipulateur va sans cesse rejeter la faute sur les autres. Même avec beaucoup d'amour, rien n'y fait, s'il ne veut pas changer, il ne changera pas.
Pourquoi devient-on pervers narcissique ? La pathologie remonte souvent à l'enfance. Ainsi, Sylviane Barthe Liberge explique que pour être admiré par ses parents, l'enfant-pervers narcissique en devenir a dû développer des stratégies narcissiques : mentir à outrance, donner le change, faire en sorte d'être admiré…
La communication qui est conseillée est une communication sans affect, superficielle, réduite au strict minimum. Savoir ce que l'on veut, et opposer des paroles fermes au pervers. Les victimes doivent oser prononcer le mot « non » et s'y tenir, quoi qu'il advienne, quitte à répéter leurs paroles en boucle.
L'excès de demande d'attention et de reconnaissance, la frustration extrême voire l'impossibilité d'entendre la moindre critique, sont les grands signes des fragiles narcissiques. La critique engendre de leur part emportement, colère, rejet. Car elle les désorganise totalement. C'est le risque de chaos.
La caractéristique principale de ce trouble est un excès d'estime de soi. Plus précisément, un individu présentant une personnalité narcissique a le sentiment d'être quelqu'un d'unique qui doit être constamment admiré par les autres. Il a tendance à tout ramener à lui, sans jamais s'intéresser à ce que font les autres.
Pour démasquer un pervers narcissique, il va notamment être nécessaire tout simplement de faire un point sur votre ressenti. En effet, certains signes montrent clairement que vous êtes face à un pervers narcissique, mais vous devez être capable de prendre du recul pour vous en rendre compte.
La perversion narcissique se fonde sur un déni de toute souffrance : Cette personnalité manifeste une absence de souffrance psychique, émotionnelle, un déni de toute vie intérieure. Ce déni est une des manifestations d'un stress post-traumatique vécu dans l'enfance.
Freud soulignait les trois blessures narcissiques que la science avait infligées à l'humanité : la blessure copernicienne (la terre n'est pas le centre de l'univers), la blessure darwinienne (l'homme est un animal comme les autres) et la blessure psychanalytique (« le Moi n'est pas le maître dans la maison »).
Ils ont beau avoir des illusions de grandeur sur leur propre importance et ne pas ressentir de honte et d'empathie, les narcissiques sont probablement plus heureux que la plupart des gens autour d'eux, affirment des psychologues irlandais.
Au contact du pervers narcissique, la victime vit une inhibition anxieuse (diminution des moyens), une réelle amnésie des faits. Elle peut entrer dans un déni de la réalité, une dépersonnalisation (sentiment perte de sens de la réalité), une déréalisation (détachement et étrangeté, irréalité du monde de la victime).
En fin de vie, un pervers narcissique se retrouve donc souvent privé du reflet de l'autre qui lui renvoie l'image grandiose dont il a besoin. Face à lui-même, il est aussi privé de dérivatifs pour la rage qui le consume.
Quand Empathique rencontre Narcissique, la relation peut vite devenir toxique : Chaque fois que surgit un conflit, Narcissique impose son point de vue et n'hésite pas à accabler Empathique, qui n'ose pas répondre de peur d'aggraver la situation.
L'excès de demande d'attention et de reconnaissance, la frustration extrême voire l'impossibilité d'entendre la moindre critique, sont les grands signes des fragiles narcissiques. La critique engendre de leur part emportement, colère, rejet. Car elle les désorganise totalement. C'est le risque de chaos.
Les Gémeaux (21 mai - 20 juin)
Sans surprise, les Gémeaux sont au top de notre liste. Dédoublement de personnalité, manipulation, chaud-froid permanent et cruel manque de confiance en soi, c'est un des signes les plus enclins à la perversion narcissique.