Que fait-on si notre gilet de sauvetage ou VFI est brisé ou déchiré? Tous les soins apportés au VFI permettent de le conserver longtemps. Par contre, un VFI brisé, réparé ou altéré perd son approbation, donc il n'est plus utilisable et doit être remplacé.
La durée de vie d'un gilet de sauvetage est limitée dans le temps. Elle a été fixée à 10 ans en raison de l'usure et du vieillissement des différents matériaux qui le composent. En effet, on estime que la flottabilité et les performances d'un gilet de sauvetage sont bien moins efficaces après une dizaine d'années.
Vous pouvez aussi utiliser le tube pour regonfler le gilet de sauvetage s'il ne gonfle pas complètement ou perd de la flottabilité. Vous devez inspecter vos gilets de sauvetage régulièrement pour vous assurer qu'ils fonctionnent correctement, et ils doivent être entretenus tel que le recommande le fabricant.
La norme de sécurité NF EN ISO 12402-3 correspond au gilet de sauvetage 150 newtons. Ces gilets de sauvetage sont très efficaces en mer en cas de forts courants ou de mauvaises conditions météorologiques et permettent le retournement d'une personne inconsciente.
Gilet de sauvetage obligatoire à bord
Le gilet de sauvetage, ou aide à la flottabilité, est un dispositif de sécurité obligatoire en France et applicable pour tous les bateaux de plaisance à usage personnel, ou de formation, d'une longueur inférieure à 24 mètres.
Pour une navigation entre 2 et 6 milles, la réglementation impose des gilets de sauvetage 100 Newton. Ce sont les gilets que l'on retrouve le plus souvent sur nos petites unités.
un harnais et sa sauvegarde (longe) à bord d'un navire non-voilier. un harnais et sa longe à bord d'un voilier. une trousse de secours. un dispositif lumineux étanche (portable ou fixe) pour la recherche et le repérage d'un homme à la mer de nuit.
Comme toute personne étant dans une embarcation doit avoir un gilet de sauvetage, il est obligatoire d'en porter un pour pêcher au float tube. Peu importe votre lieu de pêche, il est important de toujours porter un gilet de sauvetage.
Le gilet de sauvetage ne demande pas de savoir nager et assure votre sécurité en cas de chute dans l'eau. Il est donc obligatoire de le porter pour toute pratique d'activité aquatique. Grâce à sa forme asymétrique, le gilet de sauvetage permet le retournement du nageur sur le dos et ce, même s'il est inconscient.
Leur couleur n'est pas fixée par la réglementation (certains sont même noirs ou bleu marine : pas faciles à repérer dans l'eau). Ils ne possèdent pas de boucle de repêchage, et surtout n'assurent pas le retournement et ne soutiennent pas la tête hors de l'eau.
Il faut remplir d'air la vessie jusqu'au maximum. Ensuite, laissez le gilet gonflé quelques heures (temps exact déterminé par le fabricant dans sa notice). Vous pourrez enfin vérifier si le gilet est toujours bien gonflé et qu'il n'a pas de fuite d'air.
Ces éléments vont vous permettent de choisir un gilet de sauvetage par rapport à votre poids. En effet, la norme Iso en Europe définit les gilets VFI selon un indice de flottabilité de 50, 100, 150, 150 et 275 Newtons (il s'agit là d'une flottabilité type pour un porteur de 70 kg environ).
Les gilets de sauvetage offrent plus de protection que les VFI. Ils sont de couleur rouge, orange ou jaune et ils sont pourvus de bandes réfléchissantes conformes aux normes SOLAS (sauvegarde de la vie humaine en mer). Les gilets de sauvetage permettent ainsi de repérer les victimes beaucoup plus facilement.
Le gilet de sauvetage normalisé doit être en forme de trou de serrure et être disponible en deux tailles : une taille « adulte » pour les personnes pesant plus de 40 kg (90 lb) et une taille « enfant » pour celles pesant moins de 40 kg (90 lb).
Choix d'un vêtement de flottaison individuel (VFI) Vous pouvez choisir parmi une grande variété de types, de tailles et de couleurs de VFI. Ils ne sont pas obligatoirement fabriqués en rouge, orange ou jaune, mais il est préférable de choisir l'une de ces couleurs pour être plus visible dans l'eau.
Pour nettoyer votre produit, lavez-le à la main ou à l'éponge avec de l'eau chaude et savonneuse. Rincez votre vêtement de flottaison individuel (VFI) à l'eau claire et suspendez-le pour le faire sécher sur un cintre en plastique.
En le laissant tomber dans l'eau, il ne coule pas, mais flotte entre deux eaux. Pour lui sortir la tête hors de l'eau pour lui permettre de respirer, on doit le soulager de seulement quelques kilos.
En effet, le gilet de sauvetage est bien plus sûr qu'un gilet d'aide à la flottabilité : il ne vous fait pas seulement flotter mais permet la libération des voies respiratoires grâce au retournement du corps et convient aux personnes ne sachant pas nager ou n'étant pas en mesure de nager.
Le gilet de sauvetage porté est un élément indispensable de la sécurité du plaisancier, ou du pratiquant de loisirs nautiques, en cas de chute à la mer. Selon la SNSM, 8 noyades sur 10 auraient pu être évitées si les victimes avaient porté un gilet.
Il existe alors deux grands types de gilets de sauvetage : les mousses (en haut) et les gonflables (en bas). Les deux fonctionnent aussi bien. Néanmoins, pour notre passion, les gonflables sont recommandés pour une plus grande liberté de mouvement.
Par exemple si le gilet de sauvetage, les waders et les palmes sont des incontournables, en revanche, l'ajout d'un moteur, d'un sondeur, de porte canne, d'accessoires de rangement sont des plus pour votre confort et la variété de votre pêche mais l'investissement dans cet équipement float tube peut attendre!
La boule de mouillage noire fait partie de l'équipement obligatoire de sécurité à avoir à bord. Elle se place en hauteur, à un endroit bien visible, lorsque le bateau est au mouillage. Visible de loin, elle permet aux bateaux alentours de repérer votre bateau et d'identifier qu'il se trouve bien au mouillage.
Depuis le 1er janvier 2017, la VHF fixe est obligatoire pour une navigation semi-hautuière (entre 6 et 60 milles d'un abri). Les obligations dépendent de la zone d'utilisation de la VHF, soit dans les eaux territoriales françaises, soit dans les eaux internationales. Aucune qualification spécifique n'est exigée.
Navigation en mer, Division 240 et Division 245
La navigation en mer, en kayak, canoë et stand up paddle est régie en partie par les textes de la DIVISION 240 et 245. La division 245 traite des exigences techniques et de construction des navires non soumis au marquage CE.