L'outil est simple : Les mots féminins en –é désignant une chose qui ne peut pas être touchée, hors notions de temps et de périodes cycliques, ne prennent pas de « e ». On met un « e » lorsque l'objet désigné pourrait être touché (dont les contenus) ainsi que pour des notions de temps ou de périodes cycliques.
Si ce remplacement avec un ce verbe du troisième groupe à l'infinitif ne change pas le sens grammatical, alors tu écris ton verbe initial en « er » parce que c'est l'infinitif. À l'inverse, si le sens grammatical te semble étrange, alors tu vas utiliser « é ».
Pour choisir entre les 2 terminaisons "er ou ez" pour un verbe du 1er groupe, il suffit de se demander à quelle forme est conjugué le verbe. "Er" pour l'infinitif et "ez" pour le verbe conjugué à la 2e personne du pluriel.
Une règle simple pour savoir si on doit mettre é ou er à la fin d'un verbe est de le remplacer par le verbe "vendre" dans la phrase. Si l'on dit "vendu", il faut mettre é, sinon il faut mettre "er".
La plupart des noms féminins se terminant par le son « é » s'écrivent -ée. Par contre, la plupart des noms féminins se terminant par -té ou -tié s'écrivent sans e sauf ceux qui indiquent une quantité ou un contenu (une cuillerée, une brouettée, une charretée).
Généralement, les noms terminés en ‑ée sont du genre féminin, par exemple : allée, année, armée, cheminée, dictée, fusée, idée. Toutefois, une trentaine de noms terminés en ‑ée, le plus souvent d'usage peu courant, sont masculins.
La règle pour tous ces mots-là, c'est qu'ils viennent de diphtongues. Ces noms, d'origine latine et grecque, étaient déjà masculins (ou neutres) dans ces langues. Le " e " final est en fait une trace graphique de la finale latine "-um", qui a disparu, par exemple museum est devenu musée.
Comment ne plus s'emmêler les pinceaux
Pour savoir s'il convient d'écrire « é » ou « er », il suffit de remplacer le verbe par « voir » : si vous diriez « voir », votre verbe se termine en « er » ; si vous diriez « vu », votre verbe se termine en « é ».
Le radical est la plus petite partie d'un verbe. Il ne change pas dans la conjugaison du verbe. Par opposition, dans la conjugaison, la fin d'un verbe conjugué est la terminaison. La terminaison change en fonction du temps ou de la personne du verbe alors que le radical ne change pas.
Comment retrouver l'infinitif d'un verbe ? Un verbe à l'infinitif se termine par -er, -ir, -re ou -oir. En cas de doute, il est possible d'employer l'expression “il faut” et de la faire suivre du verbe : il sera automatiquement à l'infinitif.
Avoir et être, parfois appelés auxiliaires de conjugaison, sont des verbes qui, dépourvus de leur signification propre, servent à former les temps composés et surcomposés. Ils se combinent au participe passé des verbes conjugués et prennent les marques de personne, de nombre, de temps et de mode.
La règle : avec le verbe avoir, le participe passé est invariable. Mais le participe passé s'accorde en genre et en nombre avec le COD, s'il est placé avant le verbe -mais pas avec un COI. Pourquoi ? Parce que dans la phrase, c'est le COD qui est concerné par l'action.
Ainsi, l'exemple donné est-il explicite : « Une prairie en fleurs. » En revanche, « en fleur » est au singulier lorsqu'il s'agit des fleurs de la même espèce, l'expression désignant alors le temps de la floraison : un pommier en fleur.
Participe passé désigne le temps du verbe que l'on utilise pour la formation des temps composés, aux modes actif et passif. Exemple : Dans la phrase "je suis allé faire une randonnée en montagne", allé est le participe passé du verbe aller.
Pour que des mots appartiennent à une même famille, ils doivent avoir une relation de sens. Par exemple, les mots « dent », « dentier » et « dentifrice » appartiennent à la même famille.
Le verbe « boire », du 3e groupe. Aux 1re et 2e personnes du pluriel du présent, le radical « boi » devient « buv, b, u, v ». Au présent, le verbe « boire » présente plusieurs radicaux, selon la personne. C'est le cas aussi du verbe « recevoir » : « je reçois » mais « nous recevons ».
Le changement d'attitude peut être un signe de tromperie, s'il devient plus distant ou plus secret sur ses activités par exemple. Si votre partenaire commence à agir différemment, à éviter les conversations ou les moments intimes avec vous, cela peut être un signal d'alerte.
-Quintette (Quintet), -Sextette (Sextet), - Septette (Septet), - Octette.
empruntés au latin, sont terminés par -ée au masculin: "gynécée, hyménée, lycée, mausolée, musée, trophée, ... compliquée que l'ajout d'un -e : « berger /bergère ; blanc / blanche ; naïf / naïve ».
Règle générale. La forme féminine d'un nom s'obtient en ajoutant un E muet à la finale du masculin.