La prédiction pour la France et mondiale en 2023 souligne l'importance des politiques publiques et des investissements à long terme pour prévenir et réduire les inégalités sociales et économiques, améliorer la santé et l'éducation des populations et soutenir la croissance économique et la stabilité financière.
La France dans dix ans sera aussi plus urbaine : ses grandes villes ont à la fois un potentiel de développement économique et de limitation des dommages environnementaux. Elle offrira davantage d'emplois qualifiés, mais elle court aussi, si on n'y prend garde, le risque d'un dualisme du marché du travail.
L'économie française devrait traverser trois phases distinctes : une meilleure résistance que prévu en 2022, un net ralentissement en 2023 et une reprise en 2024. Résilience cette année, car les Français ont toujours envie de consommer, et que les entreprises continuent d'investir, avec un marché de l'emploi solide.
La Banque de France plus optimiste pour l'économie française en 2023. L'institution a doublé sa prévision de croissance en France pour 2023. Elle table désormais sur une hausse de 0,6 %. Même rehaussée, cette prévision reste inférieure à celles de l'OCDE (0,7 %) et du gouvernement (1 %).
Riposter à la crise du coût de la vie
La croissance mondiale devrait ralentir de 6,0 % en 2021 à 3,2 % en 2022 et 2,7 % en 2023. Il s'agit du profil de croissance le plus morose depuis 2001, si l'on excepte la crise financière mondiale et le pic de la pandémie de COVID-19.
En 2023, la France devra faire face à l'émergence de nouvelles technologies et à l'accélération de l'innovation. Nous verrons de nouvelles avancées technologiques, de nouveaux produits et services, et de nouvelles façons de communiquer et de travailler.
Après un solide redressement au lendemain du choc économique de la pandémie de COVID, la France est aujourd'hui confrontée aux répercussions de l'invasion de l'Ukraine par la Russie. En 2021, le PIB a connu un rebond de 6,8 % et dès la fin du 3e trimestre, la production avait retrouvé ses niveaux d'avant la crise.
La Banque de France écarte désormais le risque d'une récession en 2023 pour l'économie française, grâce à une meilleure « résistance » qu'initialement prévu.
La croissance de l'activité économique française a atteint 2,6% en 2022, marquée toutefois par un ralentissement au quatrième trimestre en raison d'un net recul de la consommation des ménages dans un contexte de forte inflation.
Vers une reprise dès 2024
Si la Banque de France prévoit « un net ralentissement à partir de l'hiver prochain, dont l'ampleur serait entourée d'incertitudes très larges », elle estime aussi qu'il y aura « une reprise de l'expansion économique en 2024 ».
En 2050, les Etats-Unis seront définitivement déchus de leur titre de première puissance mondiale. La Chine, aujourd'hui troisième derrière le Japon, lui aura ravi la place après quatre décennies d'une croissance annuelle supérieure à 4%.
En janvier, le pire de la pandémie semblait derrière nous. Les principales banques centrales et les économistes du monde entier ajoutaient une pincée d'optimisme à leurs prévisions.
Au Conseil des ministres du 26 janvier 2022 , Bruno Bonnell a été nommé secrétaire général pour l'investissement. Il est, depuis le 31 janvier 2022, en charge de piloter France 2030.
Du côté du littoral méditerranéen, la Camargue et les villes de Sète, Marseille, Toulon et Nice, subiraient le même sort.
Quel est le Classement des villes les plus chaudes de France dès 2040. Les villes d'Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne-France-Comté, Grand Est et Provence-Alpes-Côte d'Azur, situées loin des côtes, seront les plus touchées par la hausse des températures dans 20 ans.
On parle aussi souvent du Puy-de-Dôme, de la Creuse, de la Corrèze, du cœur la Bretagne et de la Normandie, d'une partie de l'Angleterre et même de la Cordillère des Andes…
Dans une Europe qui va mal, étranglée par la hausse des prix de l'énergie, l'Hexagone fait mieux que résister. La hausse des prix y est davantage contenue, les créations d'emploi et le taux de chômage se stabilisent.
L'économie de la France traite de la situation économique conjoncturelle et structurelle de la France de nos jours. En 2023, la France est la 6e puissance économique mondiale selon le Fonds monétaire international et la 2e puissance économique en Europe derrière l'Allemagne et devant le Royaume-Uni.
1. Rôle important de l'industrie. En Allemagne, la part de l'industrie dans la valeur ajoutée brute est, avec 26,6 pour cent, la plus élevée de tous les pays du G7. Les secteurs les plus performants sont la construction automobile, l'industrie électrique, la construction mécanique et la chimie.
L'inflation mondiale va chuter en 2023 et 2024, dans un contexte de faible croissance économique. Selon les prévisions, la croissance mondiale devrait ralentir de 3,4 % en 2022 à 2,9 % en 2023, avant de remonter à 3,1 % en 2024.
Ce graphique présente le classement des pays les moins endettés dans le monde en 2021, en part du Produit intérieur brut (PIB). Selon le source, le Brunei était le pays les moins endettés au monde, avec un niveau d'endettement d'un peu plus de 1,77 % de son produit intérieur brut.
Elle est étroitement liée à l'histoire des dépenses publiques françaises. L'État français a souvent eu recours à la dette pour faire face à des dépenses fortes, comme les guerres ou les plans de relances, ou une chute de revenus, durant des crises économiques.