Si on chauffe jusqu'à 100°C (sous une pression extérieure de 1 bar), on observe l'apparition de grosses bulles qui viennent crever à la surface du liquide: ce sont des bulles de vapeur d'eau. C'est la formation de ces bulles de vapeur d'eau qui constituent le phénomène d'ébullition.
Un peu plus loin, ce même article nous apprend que « 100 °C, soit la température d'ébullition de l'eau, c'est en fait la température où la totalité du liquide chauffé se transforme en gaz.
Quand l'eau arrive à la température de 40 °C, de petites bulles naissent sur les parois de la casserole. Elles sont formées par l'air qui était dissous dans l'eau. Quand l'eau du fond de la casserole arrive à 100 °C, elle atteint son point d'ébullition. Elle passe alors de l'état liquide à l'état de vapeur.
Dans ces conditions dantesques, le soufre est liquide à des températures bien plus élevées que 525°C.
La température d'ébullition est la température maximale que peut atteindre le liqude sous une pression donnée. Si la pression est inférieure à la pression atmosphérique "normale", la température d'ébullition de l'eau ,par exemple, sera inférieure à 100°C. Elle sera par contre plus élevée sous une pression plus forte.
Sauf que les choses ne sont pas si simples : l'eau ne bout à 100 degrés que si elle est pure et à la pression atmosphérique du niveau de la mer. L'ébullition, c'est lorsque les molécules sont tellement excitées par la chaleur qu'elles perdent le contact entre elles et forment de la vapeur.
Tout d'abord, l'air dissous dans l'eau, chauffé plus rapidement que celle-ci, cherche à s'en échapper, et forme les premières bulles. Mais l'eau réagit à son tour et, dès que la température est suffisante, change d'état pour devenir gaz. C'est ce gaz, de la vapeur d'eau, qui forme les bulles suivantes.
"Le bruit provient de bulles qui éclatent avant d'avoir atteint la surface de l'eau. Dans un récipient chauffé, avant l'ébullition, toute l'eau, sauf celle qui avoisine la paroi de la casserole, a une température moins élevée, de 5 à 10 degrés Celsius °C, que celle du fond de la casserole.
Ainsi, sous 1 atmosphère, soit la pression atmosphérique normale, l'eau bout effectivement à 100°C. Lorsque la pression augmente, on voit que la température d'ébullition augmente elle aussi : il faudra chauffer plus pour obtenir de la vapeur.
L'eau est le plus important gaz à effet de serre, mais parce qu'elle est impliquée dans un cycle complet, on pourra en libérer tant qu'on veut elle finira simplement par nous retomber dessus.
Fer chaud (150°C) : indiqué pour le polyester mélangé ou la laine. Repassage à sec ou à vapeur. Fer très chaud (200°C) : indiqué pour le coton ou le lin. Repassage à sec ou à vapeur.
A une température supérieure à 100°C à pression ambiante, l'eau est à l'état gazeux.
La température d'ébullition du gaz propane, gaz butane ou GPLc est de : - 0 °C pour le butane, - 44 °C pour le propane, - 25 °C pour le GPL carburant.
Un gaz dissout : un gaz est dissout lorsqu'il est présent dans un liquide sans qu'on ne voit de bulles.
Interprétation : le gaz contenu dans l'eau minérale gazeuse pétillante est donc du dioxyde de carbone, également appelé gaz carbonique. Ce test à l'eau de chaux donne le même résultat avec toutes les boissons pétillantes. Toutes les boissons pétillantes contiennent du dioxyde de carbone.
Or, l'eau de chaux "se trouble en présence d'un gaz le dioxyde de carbone" (doc 5). Conclusion : L'air expiré contient du dioxyde de carbone alors que l'air inspiré n'en contient pas*.
La température de la surface du Soleil est d'environ 5 500 °C . La région la plus externe de l'atmosphère solaire est la couronne, bien plus chaude que le noyau. Les scientifiques ne comprennent toujours pas pourquoi la couronne peut atteindre la température inouïe de 20 millions de degrés Celsius.
Si on le laisse sur le feu, la température finit par atteindre le seuil fatidique des 100 °C : le liquide se met à bouillir et des petites bulles de vapeur remontent à la surface de la casserole.
A chaque boisson chaude sa température
Ainsi, le thé vert est parfait à 75°, le thé noir à 85°, le café à 90° et les infusions à 95°. On comprend alors qu'avec les bouilloires électriques classiques, qui portent l'eau à ébullition (100°), on modifie les saveurs de nos boissons préférées !
Petit cours de physique-chimie : quand on met de l'eau à bouillir, des gaz s'en échappent sous forme de vapeur. Or cette vapeur contient des composés volatils qui, si on laisse l'eau refroidir, vont venir se redéposer dans l'eau et à sa surface.
L'eau salée monte plus rapidement en température, l'ébullition a lieu quelques secondes plus tôt qu'avec l'eau douce. L'eau salée atteint le seuil de 101,5 °C. On peut dire que la présence de sel a fortement favorisé la montée en température et a permis d'atteindre un peu plus vite la température d'ébullition.
Ainsi, même quand la température passe en dessous de 0°C, l'eau passe directement de l'état solide à l'état liquide. C'est ce qu'on appelle la sublimation. En résumé, l'eau ne gèle à 0°c et ne bout à 100°C que dans le cadre d'une pression atmosphérique… normale.