D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
Les médicaments utilisés en cas d'arythmies cardiaques
les antiarythmiques dits stabilisants de membrane, les bêta-bloquants (qui ralentissent et renforcent les contractions du cœur), l'amiodarone (une substance iodée qui agit sur les troubles du rythme ventriculaire et supraventriculaire), les inhibiteurs calciques.
L'adrénaline et la vasopressine sont largement utilisées pour traiter les personnes victimes d'un arrêt cardiaque, mais l'innocuité, l'efficacité et la dose optimale ne sont pas connues.
La crise cardiaque survient quand une artère du coeur (aussi appelée « artère coronaire ») se trouve soudainement fermée ou bloquée par un caillot de sang. Même si la fermeture se produit soudainement, elle résulte souvent d'un dépôt de plaque qui s'est formé dans les artères au fil du temps.
Quels sont les facteurs de risque des femmes ? Les facteurs de risque courants d'une crise cardiaque concernent également les femmes, notamment l'hypertension artérielle, l'hypercholestérolémie, le stress, l'obésité, le diabète sucré et le tabagisme.
L'état de coma «artificiel» est engendré par des médicaments sédatifs, tels que le midazolam ou le propofol. Il permet de «mettre le cerveau au repos».
Décontractyl, Cimétidine, Toplexil... ces médicaments « plus dangereux qu'utiles »
La principale cause de l'interruption de la circulation sanguine est le rétrécissement et le durcissement des artères, ou athérosclérose. L'athérosclérose se caractérise par l'accumulation de plaque de gras à l'intérieur de la paroi d'une artère.
La cause la plus fréquente de l'insuffisance cardiaque est l'infarctus du myocarde. Celui-ci crée une lésion irréversible d'une partie du muscle cardiaque et ne permet plus au cœur de fonctionner normalement. L'angine de poitrine grave peut également se compliquer d'insuffisance cardiaque.
Les antidépresseurs les plus dangereux
Les antidépresseurs considérés comme étant les plus dangereux sont l'agomélatine, le citalopram et l'escitalopram (Seropram, Celexa, Seroplex…). Ils risquent de déclencher des hépatites, des pancréatites et d'augmenter l'agressivité du patient.
Selon le magazine dans son numéro d'octobre, chaque année, en France, 16 000 à 31 000 cas d'Alzheimer seraient ainsi attribuables à ces traitements par benzodiazépines (BZD) ou apparentés, et à leurs génériques : Valium, Témesta, Xanax, Lexomil, Stilnox, Mogadon, Tranxène, etc.
Prendre plusieurs médicaments (ou molécules) en même temps peut modifier leur efficacité ou leur toxicité. On parle alors d'interaction médicamenteuse. Celle-ci peut prendre plusieurs formes : Les effets des produits peuvent être diminués ou supprimés, les rendant ainsi moins efficaces.
Il n'est généralement pas nécessaire de dépasser 3 g de paracétamol par jour, soit 6 comprimés par jour. Cependant, en cas de douleurs plus intenses, et sur conseil de votre médecin, la dose totale peut être augmentée jusqu'à 4 g par jour, soit 8 comprimés par jour.
« Il faut parler à une personne dans le coma » entend-on dans les films. Tout dépend de ce qu'on appelle coma. Entre l'état végétatif, où le patient peut encore sourire ou sursauter de façon réflexe, et l'état de conscience minimale où il entend ce qu'on lui dit, la frontière est ténue.
«Même si Terri Schiavo grogne à certains moments, ouvre et ferme les yeux, semble rire et pleurer, ces différentes réactions ne sont pas reliées à ce qui se passe dans son environnement. Elles ne sont pas associées à ce qu'elle voit ou à un effort qu'elle ferait pour communiquer.
« Coma stade 3 » : c'est le coma profond ou coma carus. Il n'y a plus aucune réaction aux stimuli douloureux.
L'infarctus du myocarde est une nécrose du myocarde se manifestant lorsqu'une ou plusieurs artères coronaires s'obstruent. De ce fait une partie du cœur n'est plus approvisionnée en sang et en oxygène.
Les signes avant-coureurs de l'arrêt cardiaque
Lorsque la cause est un infarctus du myocarde, le sujet peut présenter, dans les jours ou les heures qui précèdent, une douleur thoracique prolongée pouvant s'étendre jusqu'aux bras, une sensation d'oppression, de serrement voire d'écrasement.
L'infarctus du myocarde ou crise cardiaque nécessite une prise en charge urgente. Devant une douleur thoracique en étau et diffusant dans les bras et mâchoires ou en présence de signes moins caractéristiques : douleur isolée d'un bras, malaise..., n'hésitez pas à appeler le 15 ou le 112.
Vous pouvez éprouver une toux persistante ou une respiration sifflante (sifflement dans les poumons ou respiration difficile) en raison de votre insuffisance cardiaque. La respiration sifflante est semblable à l'asthme, mais sa cause diffère dans les cas d'insuffisance cardiaque.
En effet, l'apport d'oxygène est indispensable, en particulier au niveau du cerveau et du cœur, pour assurer sa survie. Au cours d'un arrêt cardiaque, les lésions du cerveau, consécutives au manque d'oxygène, surviennent dès la première minute.