La différence entre un calice et un ciboire se situe dans l'usage différent attribué à chaque objet. Ils sont tous deux destinés à conserver les espèces consacrées, mais alors que le calice est destiné à conserver le sang, le ciboire conserve le corps.
En général fermé d'un couvercle surmonté d'une croix, il est destiné à contenir les hosties consacrées par le prêtre durant la cérémonie eucharistique, soit pour les distribuer aux fidèles au moment de la communion, soit pour les conserver dans le tabernacle ou l'armoire liturgique (en).
Il est destiné à recevoir les hosties consacrées. Entre les cérémonies religieuses le ciboire est conservé dans le tabernacle placé sur l'autel. Le ciboire qui est censé contenir le corps du Christ est fabriqué en matériaux précieux.
Depuis les années 1050, la basilique San Isidoro abrite "le calice qui, depuis les quatrième ou cinquième siècle, est considéré par les communautés chrétiennes de Jérusalem comme celui du dernier repas", déclarait à l'AFP Margarita Torres.
La custode est un vase liturgique ayant la forme d'une petite boîte ronde en métal précieux ou doré ou émaillé, utilisé par les ministres de la communion, prêtres, diacres ou laïcs députés à cet effet, pour transporter un petit nombre d'hosties consacrées, en vue de distribuer la communion en dehors de l'église ( ...
La patène (du latin patena, plat creux) : c'est le plat de forme circulaire et concave destiné à recevoir l'hostie.
Adoration à Paray
Tous ces ministres peuvent faire l'exposition en ouvrant le tabernacle ou même, si c'est opportun, en posant le ciboire sur l'autel ou en mettant l'hostie dans l'ostensoir. Cependant il ne leur est pas permis de donner la bénédiction avec le Saint-Sacrement.
Le Saint Calice est la coupe utilisée par Jésus-Christ et ses douze disciples au cours de la Cène, repas qu'ils prirent pour commémorer ensemble la Pâque juive, à la veille du jour où Jésus allait être livré aux Romains, qui le crucifièrent.
Le calice, du mot grec kulix, est un vase sacré de la liturgie chrétienne, présentant la forme d'une coupe évasée portée sur un pied élevé. Il est employé dans la célébration eucharistique pour la consécration du vin, devenant ainsi le sang du Christ. Le calice rappelle la coupe de vin de la Cène, le Saint Calice.
Les plaies du Christ ou Saintes Plaies sont les cinq plaies des deux mains et des deux pieds de Jésus de Nazareth crucifié et cloué sur la croix, et de sa plaie au flanc droit faite par le centurion Longin avec son javelot, pour constater sa mort, selon l'Évangile selon Jean, 19.
L'hostie, dans les rites liturgiques chrétiens, est du pain sans levain que l'officiant consacre pendant la célébration de l'Eucharistie pour le partager avec les fidèles au cours de la communion.
Groupes d'objets
Pour la célébration de la messe, le prêtre utilise le calice et la patène, le ciboire, le service de burettes, la sonnette d'autel, l'encensoir et la navette à encens, le bénitier et le goupillon (ou aspersoir).
Eau qui sert à bénir et purifier les fidèles lors de certains rituels chrétiens. Chose ou évènement miraculeux.
Il se plie en trois dans le sens de la longueur, puis en deux dans l'autre sens, de telle manière que soit visible sur la partie supérieure la croix brodée au centre.
1. Vase à boire des Romains, de formes et de matières diverses. 2. Vase sacré en métal précieux ou en matière noble pour la célébration de la messe et dans lequel est consacré le vin eucharistique.
Le prêtre offre à Dieu le pain, c'est-à-dire les hosties ; puis les burettes lui sont présentées, contenant l'une l'eau, l'autre le vin. Il (ou le diacre) verse alors tout le vin dans le calice, puis y rajoute un filet d'eau, veillant à ne pas tout verser. Il offre alors le vin, en l'appelant « coupe du salut ».
Enveloppe extérieure, comparée à un vase en forme de calice, constituée par les sépales, généralement de couleur verte, qui recouvre la partie inférieure de la corolle d'une fleur et en protège les organes sexuels. Calice embaumé, épanoui; calice gamosépale (calice dont les sépales sont soudés) : 5.
Le plus souvent, l'intention allégorique est manifeste, avec le bon Larron placé à droite du Christ (à gauche quand on le regarde), représenté jeune et imberbe et la tête tournée vers le Christ, le mauvais à gauche, laid et barbu, la tête se détournant du Christ.
Grâce à une copie contemporaine de la Cène, nous pouvons identifier chacun des personnages. Il s'agit, de gauche à droite, de Barthélemy, Jacques le Mineur, André, Judas (tenant une bourse), Pierre, Jean, Jésus, Thomas, Jacques le Majeur, Philippe, Matthieu, Thaddée et Simon.
Son atmosphère énigmatique pousse à y traquer des sens cachés, et à échafauder de folles théories. Pour certains, Jean, assis à gauche du Christ, ressemble tant à une femme qu'il serait en réalité Marie-Madeleine, son épouse secrète !
Les trois entrées, la « Porte du Parvis », la « Porte du Saint », et le « Voile » du Saint des Saints », étaient de même toile et des mêmes couleurs. En dehors du Tabernacle et de son « Parvis », se trouvait le « Camp » d'Israël, qui l'entourait de tous côtés, à une distance respectueuse.
Cette tente était le lieu où l'on plaçait l'Arche de l'alliance, le coffre contenant les tables de la loi reçue par Moïse sur le Sinaï. Plus tard dans l'histoire, cette tente évoque le temps de la découverte du Seigneur dans le désert suite à la libération de l'Égypte.
1. Sanctuaire itinérant, centre du culte des Hébreux avant la construction du Temple de Salomon, demeure de l'arche d'alliance où étaient déposées les Tables de la loi. 2. Petite armoire, fixée au milieu de l'autel ou dans un autre endroit d'une église, destinée à recevoir le ciboire contenant la réserve eucharistique.
On appelle attributs des saints des caractéristiques figuratives (objets, animaux) utilisées dans les représentations des saints chrétiens.