La joie est apparue comme l'émotion la plus facile à imiter. Field et Walden (1982) rapportent que la joie est mieux imitée que la peur et la colère. Ils notent, par ailleurs, que la peur et la colère présentent des niveaux comparables de difficulté.
Quelle est votre émotion la plus puissante ? La douleur. Mentale, j'entends. C'est la seule chose qui a, jusqu'a présent, a réussi a surpasser toutes les autres émotions, et par surpasser j'entends les recouvrir et les faire disparaître sous une épaisse couche de douleur.
Leur nombre varie se- lon les études, cependant on en retient généralement six : la joie, la surprise, la peur, la colère, le dégoût et la tristesse (une septième émotion, le mépris, est parfois ajoutée). Selon Paul Ekman, ces six émotions sont primaires de par leurs propriétés universelles [5].
L'anhédonie se caractérise par le fait de ne ressentir aucune émotion positive et il s'agit en réalité d'un système de défense généré par notre cerveau. L'alexithymie, en revanche, est un trouble qui rend le patient incapable de discerner ses émotions.
Nous ne nous sentons pas digne d'être aimé comme on le mérite, et d'une certaine manière nous repoussons et rejetons inconsciemment l'autre. Ce comportement est une forme d'auto-sabotage inconscient comme pour confirmer que nous ne sommes pas dignes d'amour, même si consciemment nous le recherchons éperdument.
Une personne incapable d'empathie a probablement un trouble assez grave. Quand on ne peut se mettre en imagination dans « les souliers de l'autre », le contact est difficile à créer. La confiance entre deux personnes naît de l'ouverture et de la capacité de ressentir ce qui est vécu.
Les émotions primaires, aussi appelées émotions de base ou universelles, sont les premières que vivent les enfants. Les six principales apparaissent au cours de la première année de vie : joie, tristesse, dégoût, peur, colère et surprise.
Ainsi, la joie, la fierté, le contentement ou l'amour nous indiquent en quelque sorte que « tout va bien », que nos besoins sont satisfaits ou en bonne voie de l'être. Ces émotions ont donc un effet inverse à celui des émotions négatives : elles nous disposent à être plus ouverts.
On dénombre généralement 4 émotions principales. Une positive, la joie, et 3 négatives : la peur, la tristesse et la colère. Les émotions négatives ont une fonction très importante qu'il convient d'intégrer : elles ont pour objectif de vous faire réagir ! Contre toute attente, elles sont donc bienveillantes.
La théorie psycho-évolutionniste des émotions de Robert Plutchik est l'une des méthodes de classification des réactions émotives générales. Plutchik considère qu'il y a huit émotions de base : la joie, la peur, le dégoût, la colère, la tristesse, la surprise, la confiance et l'anticipation (en).
Les émotions secondaires sont donc au nombre de dix: l'amusement, le mépris, la satisfaction, la gêne, l'excitation, la culpabilité, la fierté dans la réussite, le soulagement, le plaisir sensoriel et enfin la honte.
L'amour est le sentiment le plus puissant que l'on puisse éprouver, il est le seul à pouvoir nous motiver, nous changer, et inhiber nos peurs.
Une nouvelle définition de l'amour
C'est l'émotion positive par excellence, celle dont les bienfaits sont les plus étendus et les plus puissants.
Un empathe est très sensible aux émotions des gens et à leur énergie. Cette sensibilité ressentie vaut autant pour les proches de l'empathe que de parfaits inconnus. Les empathes ressentent le monde qui les entoure et sentent ce que les autres éprouvent par leur sens très développés et leur intuition qu'ils utilisent.
Les émotions de base (colère, peur, tristesse, dégoût, joie, surprise) sont pour la plupart associées à une activité accrue dans la poitrine. Cela correspond à des modifications dans le rythme respiratoire ou cardiaque. Ce sont aussi celles qui provoquent les sensations physiques les plus fortes.
Les émotions prennent naissance au sein de notre cortex, dans notre système limbique. L'information issue de nos sens arrive tout d'abord au niveau du thalamus, sorte de gare de triage.
Le psychologue américain Paul Eckmann, pionnier dans l'étude des émotions, a observé les expressions faciales dans diverses cultures et a dénombré 6 émotions fondamentales : la joie, la colère, la peur, la tristesse, la surprise, le dégoût.
L'émotion est quelque chose de tellement fort qu'elle a tendance à nous submerger et nous faire perdre nos moyens. Elle est passagère. Le sentiment est la prise de conscience d'un état émotionnel.
Les émotions primaires sont les émotions de base de tout individu. Elles regroupent six émotions (le nombre varie sensiblement selon les théories) qui sont communes à tout être humain quelle que soit sa culture : la joie, la colère, la peur, la tristesse, le dégoût et la surprise.
Quelles sont les différentes formes d'empathie ? L'empathie pour autrui a trois composantes : l'empathie émotionnelle (ou affective), l'empathie cognitive et l'empathie mature qui, lorsqu'elle est partagée avec autrui, devient réciproque.
Le trouble de la personnalité antisociale se définit par une incapacité à ressentir de l'empathie et plus précisément à percevoir et à comprendre les émotions des autres. Les personnes présentant ce trouble réagissent également de manière impulsive, sans se soucier des conséquences de leurs actions.