Quelles sont les conséquences de la crise des missiles de Cuba ? La conséquence directe de la crise des missiles de Cuba est le démantèlement des missiles soviétiques de Cuba. En contrepartie, les Américains retirent leurs missiles installés en Turquie, en Grèce et en Italie, et mettent fin au blocus de Cuba.
Il décrète la mise en quarantaine de Cuba avec un blocus de l'île par la flotte américaine. Les États-Unis s'arrogent un droit de contrôle en pleine mer des navires soviétiques, pour interdire la livraison à Cuba des ogives nucléaires. Les forces américaines sont mises en état d'alerte générale.
La crise des fusées éclate à Cuba quand les avions espions américains détectent des travaux pour l'installation d'une base aérienne en avril 1962 ; en octobre, les services américains ont la conviction qu'il s'agit de rampes de lancement pour des missiles que l'URSS est en train de livrer à Fidel Castro.
28 octobre 1962 : Khrouchtchev annonce le démantèlement des armes offensives installées à Cuba en contrepartie de l'engagement de non-invasion de l'île par John F. Kennedy et du démantèlement de tous les missiles Jupiter de Turquie de Grèce et d'Italie. Cet accord enclenche la fin de la crise.
La crise des missiles de Cuba débute le 15 octobre 1962, quand le gouvernement américain découvre plusieurs rampes de missiles nucléaires soviétiques sur l'île de Cuba, à 150 kilomètres des côtes américaines. « Cela montre une confrontation extrêmement dure à l'égard des États-Unis », commente l'historien.
2Dans l'histoire diplomatique de la guerre froide, la crise des missiles de Cuba restera sans aucun doute la plus grave, la plus intense et la plus dangereuse. Durant ces 13 jours fatidiques d'octobre 1962, Américains et Soviétiques se regardèrent droit dans les yeux, et l'humanité retint son souffle.
L'Algérie est admise le 5 octobre, l'Ouganda le 25 octobre. 11 octobre : ouverture du concile Vatican II. 16-28 octobre : crise des missiles de Cuba. 5 novembre : la commission politique de l'ONU se prononce en faveur de l'arrêt de tous les essais nucléaires à compter du 1er janvier 1963.
L'île de Cuba a été au cœur de la guerre froide opposant les États-Unis à l'URSS. En 1962, la crise des missiles de Cuba a même conduit le monde au bord de la guerre nucléaire. Cuba est ainsi devenu l'un des symboles de la guerre froide.
Le 22 octobre 1962, à Washington, dans un discours mémorable prononcé d'une voix grave, le président américain John Fitzgerald Kennedy lance un ultimatum à peine voilé aux Soviétiques. Il les met en demeure de retirer les fusées à tête nucléaire installées à Cuba, aux portes des États-Unis.
comme cela a eu lieu en avril 1961. pour priver le peuple cubain de la liberté et de l'indépendance qu'il a conquises. pour le placer à nouveau sous la domination des monopoles américains~ pour faire de Cuba un fantoche des Etats-Unis.
"Tout missile lancé depuis Cuba contre une nation de l'hémisphère occidental sera considéré comme une attaque de l'Union soviétique contre les États-Unis, ce qui nécessitera une riposte totale contre l'Union soviétique", a prévenu Kennedy.
En 1962, une nouvelle épreuve de force s'engage à Cuba: pendant quinze jours, le monde se trouvera au bord de l'affrontement nucléaire. Depuis le renversement révolutionnaire de la dictature militaire de Fulgencio Batista en janvier 1959, l'île de Cuba est dirigée par Fidel Castro.
La crise des missiles de Cuba constitue le paroxysme de la guerre froide, lorsque le risque de guerre nucléaire entre États-Unis et URSS est le plus élevé. Cuba est une île proche des États-Unis, longtemps appréciée par les touristes et entrepreneurs américains.
La crise la plus dangereuse de la guerre froide se déroule paradoxalement pendant une période d'apaisement des tensions qui ne met pas fin à la confrontation : la « coexistence pacifique ».
La crise des missiles cubains a duré du 16 au 28 octobre 1962. L'Union soviétique avait stationné des missiles nucléaires à Cuba, ce qui constituait une menace pour les États-Unis et le Canada. Le monde entier s'est trouvé au bord d'une guerre nucléaire.
Elle a permis aux Soviétiques de surveiller les satellites de communications géosynchrones à la fois civils et militaires des États-Unis. L'URSS payait à Cuba une subvention annuelle de 200 millions de dollars pour maintenir cette station depuis 1962.
Pendant treize jours, entre le 15 et le 28 octobre 1962, les «deux K», John F. Kennedy et Nikita Khrouchtchev, vont se défier lors de ce qu'on a appelé «la crise des missiles».
Le chancelier Konrad Adenauer et le président français Charles de Gaulle à Bonn en septembre 1962.
M. Georges Pompidou est nommé premier ministre.
5 juillet 1962 : indépendance de l'Algérie
Après 132 ans de colonisation française, le 5 juillet 1962 marque le début de l'indépendance algérienne. Cette journée est assombrie par le massacre d'Oran dont le récit est décrit dans l'article « 5 juillet 1962, Oran : 700 pieds-noirs massacrés » publié dans Le Figaro.
Un premier gouvernement temporaire est mis en place, associant toutes les forces d'opposition à Batista et avec comme président Manuel Urrutia Lleó. Ce gouvernement est reconnu par les États-Unis le 7 janvier 1959 et Fidel Castro est nommé Premier ministre en février.
Lors d'un discours télévisé, le président américain John F. Kennedy annonce que son pays établira une quarantaine afin de répliquer à l'installation de missiles soviétiques à Cuba.
28 octobre 1962 : Khrouchtchev annonce le démantèlement des armes offensives installées à Cuba en contrepartie de l'engagement de non-invasion de l'île par John F. Kennedy et du démantèlement de tous les missiles Jupiter de Turquie de Grèce et d'Italie. Cet accord enclenche la fin de la crise.
La crise des fusées éclate à Cuba quand les avions espions américains détectent des travaux pour l'installation d'une base aérienne en avril 1962 ; en octobre, les services américains ont la conviction qu'il s'agit de rampes de lancement pour des missiles que l'URSS est en train de livrer à Fidel Castro.