Le temps du travail : les robots sont des machines qui peuvent fonctionner pendant de longues heures s'ils sont correctement entretenus. Mais les humains ne peuvent pas travailler en continu après un certain temps, ce qui peut entraîner un risque de fatigue, de blessure et d'autres problèmes.
Trop de dépendance aux robots nuit à la santé des humains. Les robots ne peuvent pas gérer les situations inattendues, l'absence du cerveau humain fait que face aux problèmes les machines robotisées ne peuvent pas réagir. Les humains sont toujours considérés comme plus efficaces que les robots à divers égards.
L'utilisation d'un robot collaboratif expose les salariés à des risques inhérents aux machines. Une attention particulière doit être portée aux risques supplémentaires liés à la coactivité : choc, écrasement, brûlure, stress notamment.
La robotique joue également un rôle social important avec les personnes isolées, notamment les personnes âgées ou en situation d'handicap. Certaines maisons de retraite l'ont bien compris et ont intégré au sein de leur équipe soignante des robots qui dansent et qui chantent, rompant ainsi la monotonie de la journée.
Comme lors des précédentes révolutions technologiques, les machines vont accomplir des tâches répétitives, ennuyeuses et parfois risquées. Cela laisse aux humains l'occasion de se concentrer sur des tâches plus novatrices, plus créatives, avec plus de travail d'équipe — ce que l'on appelle « l'intelligence sociale ».
Elle les rend plus pro- ductifs et augmente la demande de leurs services : par exemple, les logiciels de cartographie simplifient la tâche des chauffeurs de taxi (et maintenant de ceux de Lyft ou Uber). Et la hausse des revenus crée une demande pour toutes sortes de produits et crée donc du travail.
Tout au long de la durée de vie du robot (fabrication, utilisation, fin de vie), les processus mis en jeux ont de multiples impacts négatifs sur l'environnement, comme le rejet de gaz à effet de serre, le rejet de matériaux polluants et/ou toxiques dans le sol et les nappes phréatiques ou encore l'endommagement des éco ...
Les robots sont parfaits, car ils exécutent des opérations de qualité. Le robot va effectuer une tâche de façon très précise et à une même constante. Cela permet d'éviter les erreurs humaines et donc de respecter les délais.
Les robots sont intensivement utilisés dans l'industrie, où ils effectuent sans relâche des tâches répétitives et avec rigueur. Dans les chaînes de montage de l'industrie automobile, ils y remplacent les ouvriers dans les tâches pénibles et dangereuses (peinture, soudage, emboutissage, etc.).
Les systèmes avancés d'IA pourraient entre autres créer des pathogènes, des cyberattaques, ou manipuler les gens. Ces capacités pourraient être utilisées à des fins malveillantes, ou potentiellement utilisées par l'IA elle-même si mal alignée.
Selon eux, l'IA pourrait être utilisée pour générer des informations erronées susceptibles de déstabiliser la société. Dans le pire des cas, les machines pourraient devenir si intelligentes qu'elles prendraient le pouvoir, entraînant l'extinction de l'humanité.
L'interaction de certains robots conçus pour effectuer des tâches spécifiques, peut s'avérer dangereuse pour les êtres humains. Par exemple, en cas d'incendie, un robot pourrait entrer dans n'importe quel bâtiment en feu et en sortir les gens en toute sécurité, ce qui s'avère difficile et dangereux pour un pompier.
1. Conséquence fâcheuse, risque que comporte ou peut comporter une situation ou une action donnée : Si vous n'y voyez pas d'inconvénients, je partirai plus tôt.
La robotique doit faire face à de nombreux enjeux. Les enjeux technologiques, d'une part, vont permettre de développer des robots dotés d'une intelligence artificielle de plus en plus poussée, avec une autonomie prolongée, une communication simplifiée et une mobilité accrue.
La dernière limite technique concerne la fiabilité du robot. En effet, un robot, comme toute machine, ne peut pas être fiable à 100%. La cause principale est celle déjà évoquée du manque d'adaptabilité à son environnement. Par exemple NAO a un système lui permettant de suivre du regard un objet.
Les premiers robots industriels apparaissent, malgré leur coût élevé, au début des années 1970. Ils sont destinés à exécuter certaines tâches répétitives, éprouvantes ou toxiques pour un opérateur humain : peinture ou soudage des carrosseries automobiles.
L'essor des « micro tâches »
Une autre conséquence de cette automatisation de certaines activités par les machines est la création de tout un nouvel écosystème de travail en ligne, avec des entreprises recrutant des travailleurs humains pour effectuer des micro tâches complémentaires de l'IA.
Amélioration des conditions de travail et de sécurité
En déchargeant les opérateurs de tâches répétitives, minutieuses et du port de charges, le robot apporte un confort supérieur à la production en laissant les ressources humaines s'occuper de tâches plus gratifiantes.
D'une part, la robotisation croissante peut être une menace pour les emplois nécessitant une main-d'œuvre peu qualifiée, ce qui laisserait de nombreux travailleurs sur le carreau. D'autre part, les robots sont également susceptibles d'apporter une solution au vieillissement croissant de la population active.
Manque d'adaptation : en effet, comme on l'a vu précédemment, un robot ne peut pas s'adapter à toutes les circonstances et à tous les apprenants à l'instar d'un humain ; n'ayant pas les capacités de sortir de sa zone de data, le risque serait d'obtenir un enseignement très binaire ou incomplet.
L'évolution de l'électronique et de l'informatique, permet aux robots de réaliser des tâches de plus en plus complexes, avec de plus en plus d'autonomie, de plus en plus rapidement. C'est ce qui a permis l'industrialisation de nos sociétés.
Loin d'être l'ennemie de l'emploi, la robotisation de l'économie s'avère au contraire un précieux levier pour gagner en compétitivité, relocaliser les activités de production et favoriser la création d'emplois.
De façon générale, l'ambition de la robotique sociale porte sur le mieux-vivre. Les machines visent ainsi à s'intégrer dans le quotidien des êtres humains, avec des interactions régulières enrichissant leur compréhension de leur environnement.
L'impact des robots
Les robots peuvent augmenter la productivité de la main-d'œuvre, réduire les coûts de production et améliorer la qualité des produits, et dans le secteur du service ils ont même engendré des modèles commerciaux entièrement nouveaux.