Elle est composée pour 74% de CO2. 70% des émissions proviennent de trois postes principaux : le logement (28%), le transport (24%) et l'alimentation (18%). Les émissions associées aux importations représentent un peu plus de la moitié (54 %) de l'empreinte. Ces émissions « importées » ont augmenté de 72% depuis 1995.
En 2018, la production d'électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 41 % du total des émissions dues à la combustion d'énergie. Elle est suivie par les transports (25 %) et l'industrie (18 %, y compris la construction).
L'accumulation du dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère contribue pour 2/3 de l'augmentation de l'effet de serre induite par les activités humaines (combustion de gaz, de pétrole, déforestation, cimenteries, etc.). C'est pourquoi on mesure usuellement l'effet des autres gaz à effet de serre en équivalent CO2 (eq.
L'effet de serre est déséquilibré par les activités humaines, en particulier l'utilisation des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon). Celles-ci provoquent artificiellement l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et, par conséquent, accentuent le réchauffement de notre planète.
Le transport est l'activité qui contribue le plus aux émissions de gaz à effet de serre (GES) de la France.
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).
Le CO2 produit par les activités humaines est la principale cause du réchauffement climatique. En 2020, sa concentration dans l'atmosphère était passée à 48 % au-dessus de son niveau préindustriel (avant 1750). D'autres gaz à effet de serre sont émis par les activités humaines en moindres quantités.
Les activités telles que l'utilisation de carburants d'origine fossile (charbon, pétrole ou gaz), l'élevage, l'utilisation de produits chimiques et la déforestation sont en effet à l'origine d'émissions de GES.
Ils sont appelés « gaz à effet de serre » (GES) et formés essentiellement de vapeur d'eau, de dioxyde de carbone (CO2 ou gaz carbonique), de méthane (CH4), de protoxyde d'azote (N2O) et d'ozone (O3).
Dans le monde, selon les données du GIEC, les principaux grands secteurs de l'économie mondiale contribuant aux émissions de CO2 sont les suivants, dans l'ordre décroissant : Production de chaleur et d'électricité (25%) Agriculture, foresterie et utilisation des sols (24%) Industrie (21%)
La pollution de l'air :
La pollution de l'air participe grandement à la pollution de la planète. Elle est principalement due à la calcination de combustibles fossiles comme le charbon, le pétrole et gaz.
Gaspiller de la nourriture. Aujourd'hui dans le monde, un tiers de la production alimentaire finit à la poubelle. En France, ce sont 10 millions de tonnes de nourriture qui sont jetées chaque année, soit 317 kilos par seconde. Ce n'est ni économique, ni écologique et c'est nous, consommateurs, qui gaspillons le plus.
Selon cette association, les trois secteurs qui polluent le plus sont les transports, les bâtiments (avec la climatisation et le chauffage), l'agriculture et l'exploitation des forêts.
Pollutions liées à la production et à l'utilisation d'énergie. La production et l'utilisation d'énergie viennent incontestablement au tout premier rang des causes de pollution de la biosphère.
Effectivement, non seulement la Terre se réchauffe mais elle se réchauffe à vitesse grand V, c'est-à-dire en quelques centaines d'années et non comme avant, c'est-à-dire progressivement sur quelques milliers d'années. Comparons l'énergie solaire reçue par la Terre et la température moyenne à la surface du globe.
La France se positionne à la 12e place du classement des pays historiques les plus pollueurs, établi par Carbon Project.
Selon l'ADEME, un avion peut émettre jusqu'à 241 kg de CO2 par passager sur un trajet de 500 km. En revanche, sur la même distance une voiture émet environ 170 kg de dioxyde de carbone.
Les personnes les plus riches du monde émettent des quantités énormes de carbone, et contrairement aux citoyen·nes ordinaires, entre 50 et 70 % de leurs émissions viennent de leurs investissements. Une étude d'Oxfam, publiée en novembre 2022, détaille pourquoi les milliardaires polluent plus que les autres.
Moins rapide et moins pratique, le ferry est aussi moins polluant en termes d'émissions de CO2 – même si ses impacts ne sont pas négligeables. D'après l'Agence européenne de l'environnement, le transport en ferry émet environ 60 grammes de CO2 par kilomètre et passager, soit près de trois fois moins qu'en avion.