Un confessionnal est un isoloir clos, disposé sous forme décorative dans les églises catholiques afin que le confesseur, un prêtre, y entende derrière un grillage le pénitent « à confesse ».
Comment se déroule une confession ? Le sacrement est donné dans un dialogue entre le prêtre et le pénitent. Une personne qui souhaite se confesser ne doit pas s'encombrer de l'inquiétude supplémentaire de suivre à la lettre le déroulé : le prêtre sait ce qu'il fait, et saura guider la confession.
La confession est un sacrement dans l'Eglise catholique ainsi que dans les Eglises orthodoxes. Elle existe aussi chez les luthériens et les calvinistes, où elle n'est cependant pas considérée comme un sacrement et n'est pas obligatoire.
Le prêtre est tenu au secret absolu vis-à-vis de ce qui relève de la confession. Il est exprimé au moment où le prêtre, après avoir écouté la confession et donné quelques conseils, trace le signe de la croix en disant : « Et moi, au nom du Père et du Fils et du Saint- Esprit, je vous pardonne tous vos péchés. »
Les églises protestantes pratiquent la confession et l'absolution avec l'accent mis sur l'absolution, qui constitue les paroles divines du pardon.
l'acédie, l'envie, l'avarice, la vaine gloire, la gourmandise, la luxure, la colère désordonnée. Pour S. Thomas les péchés les plus grave sont les péchés qui sont directement contre Dieu : L'infidélité, le désespoir et la haine de Dieu.
Pour recevoir le pardon, nous devons d'abord reconnaître en nous-mêmes que nous avons péché. Si nous nous efforçons de vivre en accord avec l'Évangile, le fait de reconnaître que nous avons péché nous mènera à « la tristesse selon Dieu », qui « produit une repentance à salut » (2 Corinthiens 7:10).
Un confessionnal est un isoloir clos, disposé sous forme décorative dans les églises catholiques afin que le confesseur, un prêtre, y entende derrière un grillage le pénitent « à confesse ».
« Ô vous, qui seul êtes bon et qui ne gardez point le souvenir de nos offenses, Seigneur, je viens vous confesser mes péchés. Car même si je me tais, vous savez tout, Seigneur, et rien n'est caché devant vos yeux.
8) Tu peux finir ta confession en disant « De tous ces péchés, j'en demande pardon à Dieu, et à vous mon père pénitence et absolution ». 9) Ensuite le prêtre peut aussi te proposer « une pénitence » qui sera à faire après la confession.
Pour commencer votre confession, remerciez Dieu pour tout ce qu'il a fait dans votre vie. Ensuite, vous reconnaissez vos péchés, c'est-à-dire ce qui nous éloigne de Lui. Il s'agit, bien évidemment, de ne pas raconter toute votre vie au prêtre. Vous n'êtes pas sur le divan du thérapeute !
Car Allâh pardonne tous les. Oui, c'est Lui le Pardonneur, le Très Miséricordieux ». (Coran 39/53) « Crains Allah où que tu sois! Fais suivre la mauvaise action par une bonne action, celle-ci l'effacera.
Dieu peut tout pardonner, mais Il respecte la conscience de chacun et ne viole jamais la liberté. « Dieu peut tout pardonner, mais Il respecte la conscience de chacun, donc la question n'est pas tant du côté de Dieu que de celui de l'homme ». La question n'est pas tant du côté de Dieu que de celui de l'homme.
Pour accueillir le pardon de Dieu, le pénitent récite l'acte de contrition : « Mon Dieu, j'ai un très grand regret de vous avoir offensé, parce que vous êtes infiniment bon, infiniment aimable et que le péché vous déplaît.
Le seul péché qui ne sera pas remis est le péché contre l'Esprit, et cela signifie que si un pécheur ne peut pas recevoir l'absolution dans le sacrement de réconciliation, c'est qu'il lui manque des dispositions au pardon.
Jésus a affirmé que tous les péchés seront pardonnés aux hommes, s'ils s'en repentent. Cependant, le seul péché impardonnable est le blasphème contre le Saint-Esprit.
Dans l'histoire du péché, l'orgueil a toujours été considéré comme le péché maître, celui dont découlent tous les autres, et on peut le comprendre dans un contexte religieux... Défiant Dieu, et son autorité, en accordant trop d'importance à sa créature, l'orgueil conduisait à la perte de la foi.
De tout son cœur, souhaiter le pardon
Une parole cependant est énigmatique dans l'Évangile : Jésus dit qu'il est un péché qui ne sera pas pardonné, le péché contre l'Esprit.
Jacobus Arminius a défini le péché impardonnable comme le rejet et le refus de Jésus-Christ par une méchanceté et une haine déterminées contre le Christ.
Ainsi, le désespoir, la non pénitence et l'endurcissement du cœur sont, de fait, les péchés qui vont à l'encontre du Saint Esprit.
"Ce sont, répondit-il, le polythéisme, la sorcellerie ; le meurtre qu'Allah a interdit sauf à bon droit ; l'usurpation des biens de l'orphelin ; l'usure ; la fuite du front au jour du djihad et la fausse accusation (de fornication) des femmes vertueuses, chastes et croyantes". »
Dans le verset 116 de la sourate 4 : « Certes, Allah ne pardonne pas qu'on Lui donne des associés. A part cela, Il pardonne à qui Il veut. Quiconque donne des associés à Allah s'égare loin dans l'égarement. »
Mon saint ange gardien, mon saint patron, tous les saints et saintes du paradis, intercédez pour moi, afin que je sois préservé des dangers innombrables et des écueils de cette vie. Ainsi soit-il. »
Sortir apaisé, libéré et comme purifié du sacrement de réconciliation est le signe d'une « bonne confession ». Mais il y a un autre critère, qu'aime rappeler Philippe Marsset et qu'il n'est pas si fréquent d'évoquer : « Le critère d'une bonne confession, c'est quand la personne arrive à pardonner.