Une composition se fait en 3 temps : introduction, développement, conclusion. Chacun doit être nettement séparé (passer plusieurs lignes entre chaque). A – L'introduction. sujet posé et « accrocher » le correcteur (éviter toutefois les formules trop « publicitaires » ou les phrases « bateau » (ex : « De tout temps… »).
Rédigez une sous-partie.
Présentez l'idée de la sous-partie en une ou deux phrases. Illustrez-la avec des exemples précis (chiffrés, datés, localisés, etc.) Revenez ensuite au sujet et à la problématique en une ou deux phrases ; si possible, la dernière phrase fait la transition avec la sous-partie qui suit.
n.f. Exercice scolaire consistant à traiter par écrit une question littéraire, philosophique ou historique.
Votre phrase d'introduction sera la première phrase de votre paragraphe. Par conséquent, elle doit préciser clairement et brièvement l'idée que vous traiterez. Elle doit comprendre un thème et une opinion ou une idée principale. Gardez à l'esprit qu'il ne s'agit pas seulement d'annoncer l'objet.
Le plan doit prévoir une division du texte en trois parties : une introduction, un développement et une conclusion. Chacune des parties est plus ou moins élaborée selon que l'on a affaire à un texte long ou à un texte court.
Une phrase d'accroche est une phrase ou un paragraphe qui introduit votre sujet dans l'introduction et doit attirer l'attention de votre lecteur. Cette phrase est le fruit d'un choix personnel et vous être libre de choisir son style. C'est également le tout premier moment de votre dissertation.
Pour être efficace, une introduction se déroule en 4 étapes : l'approche, l'explication du sujet, la formulation de la problématique, et enfin l'annonce du plan. L'accroche peut se faire notamment par le biais d'une citation ou d'un fait d'actualité.
Comment faire une introduction ? L'introduction doit amener le sujet du contenu en incluant les éléments essentiels pour informer et éveiller la curiosité du lecteur. Le rédacteur commence par une accroche pour capter son attention, puis pose un contexte, énonce une problématique et aborde le plan à suivre.
Une composition est une démonstration, c'est-à-dire une réponse argumentée à un sujet donné. Cette réponse est organisée (structurée en parties et sous-parties), pertinente (pas hors-sujet), et s'appuie sur des connaissances solides. Elle doit également comporter une introduction et une conclusion.
Une méthode très simple pour repérer la structure d'un texte est la méthode QQOQCP. On l'utilise aussi, cette méthode, pour concevoir un texte d'ailleurs. Si le texte suit cette structure, il est facile, pour le lecteur de la repérer. Souvent, les intertitres reprennent d'ailleurs des éléments de la structure.
Comme nous l'avons mentionné plus haut, le processus d'expression écrite comprend trois étapes : la préparation, la composition et la révision.
Les principes de la composition sont les lignes directrices selon lesquelles les éléments de base d'une œuvre (la couleur, la valeur, la ligne, la texture, la forme, le volume et l'espace) sont disposés et analysés.
Types de composition
Composition horizontales: elles suivent le sens de lecture privilégié -> donnent des compositions calmes; risque de monotonie si il n'y a pas de lignes verticales ou obliques pour dynamiser la composition. Compositions verticales: très dynamiques, mais aussi plus difficiles à déchiffrer.
La composition de SOG est un art pluridisciplinaire. Elle doit intégrer des éléments de discipline variés : histoire et géographie, économie, droit et politique… mais sans privilégier aucun d'entre eux, et en veillant à ne pas commettre de digressions.
2. L'accroche basée sur des mots-clés. Exemple : "Mes qualités : organisé(e), optimiste, déterminé(e), flexible et toujours souriant(e)." On retrouve souvent cette accroche sous la forme d'un encadré, encore une fois juste en-dessous du titre du CV pour respecter la mise en page classique du document.
L'accroche se situe juste avant la définition des termes du sujet. Sa fonction est d'amener vers l'explication des mots du sujet et vers la problématique. On part d'un élément « quelconque » et on le rattache au sujet et au problème philosophique qu'on va étudier.
puis, premièrement…, ensuite, d'une part … d'autre part, non seulement … mais encore, avant tout, d'abord…
L'amorce ou entrée en matière se doit d'être originale et de susciter l'intérêt du lecteur. Vous pouvez utiliser un fait marquant, des statistiques, une citation ou un ouvrage. Évitez absolument les amorces du type : « De tous le temps, les hommes se sont intéressés à… ».
Comment formuler la problématique ? – Par quoi commencer sa phrase ? Deux tournures sont très utiles pour lancer le débat : "En quoi ?" et "Dans quelle mesure ?" Les tournures "Par quels moyens... ?", "Pourquoi... ?" ou "Doit-on considérer que... ?" lancent également le débat.