Dans ces cas-là, la réaction la plus facile, et certainement la plus courante, est de riposter avec colère. Crier plus fort que son enfant pour le faire taire.
La seule attitude valable et efficace vis à vis des colères de cet âge est encore de prendre le maximum de recul, de ne pas réagir, de laisser la colère s'épuiser même si l'enfant se tape. L'enfant a un trop plein d'émotion qu'il ne sait pas, ne peut pas du fait de son âge gérer et vous n'y pouvez rien.
Pour obtenir l'attention de votre enfant, mettez-vous à sa hauteur et regardez-le dans les yeux pour lui parler. Il est parfois nécessaire de lui toucher l'épaule ou la main pour avoir toute son attention. Vous pouvez ensuite exprimer clairement votre demande et dire, par exemple: « Amélie, regarde-moi.
Apprenez à communiquer ensemble
Lorsque votre enfant vous demande quelque chose en pleurnichant vous pouvez lui faire remarquer que ce n'est pas la bonne façon de demander les choses. Demandez lui calmement de reformuler sa demande en arrêtant de pleurer, de geindre ou de chouiner.
Le premier principe si on veut que son enfant obéisse, c'est d'être convaincu·e, c'est-à-dire lui demander quelque chose en partant du principe qu'il va le faire. Et s'il n'obéit pas, il ne faut jamais laisser passer. C'est la règle d'or.
Parler avec tendresse et empathie, cela baisse le niveau de stress du parent et de l'enfant. Puis enchainer, en pratiquant l'écoute, avec un petit peu d'explication. Se dire que c'est un mauvais moment à passer et que l'enfant va forcément finir par se calmer afin de pouvoir en reparler avec lui tranquillement.
Le simple fait de lui parler peut parfois le calmer. Tu peux essayer de le divertir de différentes façons, avec un jouet, un livre ou un objet. Si la crise est incontrôlable, n'hésite pas à l'isoler dans un endroit calme comme sa chambre, te mettre à sa hauteur et lui exprimer ton mécontentement.
Des habitudes inadaptées : Une mauvaise alimentation (telle que la consommation de caféine, par exemple), un manque de sommeil ou une surstimulation sensorielle peuvent être difficiles pour les enfants. Par conséquent, ils peuvent les irriter.
Quand un enfant se met à pleurnicher, il est important de ne pas céder simplement pour qu'il cesse ce comportement. Si vous le faites, il croira que ses plaintes sont un bon moyen d'obtenir ce qu'il veut.
Pour rester ferme dans l'éducation des enfants, il est primordial d'établir des règles. Il s'agit de délimiter clairement les conduites autorisées et celles qui ne le sont pas. Voici quelques conseils : Les règles doivent être peu nombreuses, claires et raisonnables.
La période des « fucking fours » est principalement caractérisée par des crises de colère, des négociations, de la bouderie, des paroles blessantes envers l'adulte et de la confrontation face aux limites instaurées par l'adulte.
L'enfant a besoin de vous.
Si l'adulte lui demande de ne pas crier, en criant lui-même, l'enfant ne comprendra pas et risque fort d'augmenter sa crise. Évitez de céder en lui achetant des bonbons, par exemple, prenez-le contre vous et parlez lui avec une voix douce, avec empathie.
Encouragez-le à utiliser des mots pour dire ce qu'il ressent. Dites-lui par exemple : « Je vois que tu es fâché. Veux-tu m'en parler? » ou « Je pense que tu essaies de me dire quelque chose en pleurnichant. Veux-tu essayer de me dire ce qui ne va pas? ».
Syndrome de Calimero : ces collègues pénibles qui n'arrêtent pas de se plaindre. Certaines personnes ont le chic de râler pour tout mais le plus souvent pour rien. Elles seraient touchées par le syndrome de Calimero, du nom du célèbre oisillon pleurnichard.
Avant d'exercer son autorité, encore faut-il l'asseoir, c'est à dire mettre en place des règles et les faire respecter. Il s'agit de décider pour les autres. Parfois même de les contraindre à rentrer dans les clous. Exercer son autorité, aussi curieux que cela puisse paraître commence souvent par "autoriser".
Créer une ambiance calme et détendue à l'aide de lumières tamisées, en faisant jouer une petite musique douce ou en proposant une activité relaxante avant le coucher pourra aider l'enfant à s'endormir plus facilement. Placer l'enfant qui a de la difficulté à s'endormir un peu plus loin du groupe.
Tentez de mettre des mots avec lui sur les raisons de ce “caprice”, aidez-le à organiser sa pensée. Expliquez-lui la situation. Plus grand, aidez-le à verbaliser son mal-être. A partir de 5-6 ans, les “caprices” peuvent exprimer sa difficulté à trouver sa place.
Elle ne peut pas vous écouter car son « cerveau émotionnel » est occupé. Pour l'aider à s'exprimer, vous pouvez faire un dessin avec elle et parler de sa colère. Par exemple : « on va dessiner cette méchante maman qui t'a énervé. On peut gribouiller dessus, lui dire tout ce qu'on veut, la déchirer aussi.