Le tête bouge rapidement. Si tout à coup vous voyez quelqu'un faire un mouvement de la tête lorsque vous lui posez une question directe, il est possible qu'il vous mente. "La tête va se rétracter ou partir en arrière, se pencher, se relever ou s'incliner sur le côté", écrit Lillian Glass.
- Soyez calme, confiant, en contrôle, regardez-le reculer sur sa chaise, s'agiter, se gratter la tête, agiter les pieds ou les mains, autant de signes qui montrent son inconfort et sa faiblesse. A la fin de l'entretien, proposez-lui une explication qui lui permette d'accepter le mensonge sans perdre la face.
Quand un menteur est découvert, soit il s'énerve, soit il fait la victime.
Mentir pour rassurer
C'est une raison valable de glisser un petit bobard car elle permet de ne pas faire souffrir inutilement la personne, sachant comme la vie est déjà assez dure parfois. Celui-là, on l'aime bien, parce qu'il nous rassure sur notre image et sur l'amour que notre partenaire nous porte.
En général, quand la confiance a été brisée, vous avez beaucoup d'amis, de proches, qui vont vous dire : « Écoutes, honnêtement, sans confiance ce n'est pas possible d'avancer. » « Je ne sais pas si tu vas pouvoir un jour retrouver la confiance. »
Le menteur doit aussi faire des efforts pour paraître honnête aux yeux de l'interlocuteur. Ce contrôle sur sa conduite est très exigeant sur le plan cognitif. Il se montrera probablement plus attentif aux réactions de l'intervieweur afin de voir si son mensonge « passe ou ne passe pas » (Vrij 2014).
Le menteur, qui accepte de veiller au bureau, va sourire volontairement, même s'il n'en pense pas moins. Mais cette supercherie peut être démasquée, pour peu que le chef le regarde dans les yeux qui, eux, expriment la tristesse, sans les pattes d'oie caractéristiques des sourires sincères.
Le menteur souffre aussi
Souvent, celui-ci se sent mal à l'aise, angoissé et stressé. La culpabilité le ronge, parfois au point de déclencher des attaques de panique ou des troubles somatiques, comme des douleurs abdominales, des maux de tête et des nausées. Il souffre aussi régulièrement d'une perte d'estime de soi.
Si elle lui pose des questions et si elle semble intéressée par ce sujet de conversation, il peut être raisonnablement sûr qu'elle n'a rien volé. Si, au contraire, elle devient très mal à l'aise et cherche à changer de sujet, alors il y a de fortes chances pour qu'elle soit coupable.
Vous avez la possibilité d'utiliser des pièges comme « je parie que je peux avoir le quart sous la serviette sans y toucher » ou des choses de ce genre, l'objectif étant d'amener la personne à retirer la serviette vous donnant ainsi accès au quart. Déshonorez sa confiance pour le mettre dans l'embarras.
Il cherche peut-être simplement à vous simplifier la vie à tous les deux. Si au contraire il vous ment sur des sujets essentiels (addiction, dettes...), c'est peut-être car il ne veut pas se l'avouer à lui-même. Ses promesses de ne pas recommencer en font un menteur pathologique dont il faut se méfier.
4. Un mythomane peut-il aimer ? Non, car il a simplement besoin de votre attention. Un menteur pathologique a toujours besoin de booster son égo et il flirte avec n'importe qui pour obtenir un peu d'attention.
Il arrive assez régulièrement d'être expéditeur ou destinataire de ce que les scientifiques du monde entier appellent « un message de bourré ». Le message de bourré se distingue par son caractère inintelligible, ses propositions vagues, son horaire tardif et sa syntaxe hasardeuse.
Le mensonge compulsif, c'est quand quelqu'un a l'habitude de dire des choses qui ne sont pas vraies. Lorsque les gens se focalisent sur ce qu'ils veulent être vrai, ou qu'ils essaient de contrôler ce que les autres pensent être vrai, le mensonge compulsif peut en résulter.
Surtout, prévient-il, "ne pas tenter de le ou la confronter à ses invraisemblances. Encore une fois, le mythomane n'a pas conscience de mentir et ne peut pas reconnaître son délire, le mettre face à sa névrose peut lui faire perdre pied".
nom Personne qui ment, qui a l'habitude de mentir. C'est un grand menteur, un vrai mythomane. adjectif Qui ment. ➙ faux, hypocrite.
"Il n'y a pas de menteur par nature, développe Michel Fize. Il n'y a que des mensonges. Tout le monde peut donc changer, même après des années de mensonges." Evidemment, le niveau de difficulté de la transformation dépend ensuite de la place que les mensonges occupent dans notre vie.
Plus grave est la propension à mentir relevant d'une contrainte intérieure, d'une nécessité impérieuse qui outrepasse la volonté et la raison. Le mensonge compulsif, l'affabulation, la mythomanie sont le signe d'atteintes narcissiques graves et de modalités de défense plus archaïques.
Le fait de mentir pour cacher quelque chose à l'autre crée des relations inégales, sans établir de partage entre les deux partenaires. Hors son influence va bien au-delà de la confiance dans le couple. Partager c'est communiquer, ce qui permet de créer une intimité propre au couple.
Un manipulateur amoureux utilisera différentes méthodes pour déformer votre réalité et vous exploiter sur le plan émotionnel pour tenter de vous contrôler. En d'autres termes, leur intention est d'avoir le pouvoir et le contrôle sur les autres afin d'obtenir tout ce qu'ils veulent et désirent.