L'augmentation du PIB peut être due soit à une augmentation de la quantité produite, soit à une augmentation des prix. La croissance en valeur prend en compte l'augmentation des prix, c'est-à-dire l'inflation. La croissance en volume ne prend en compte que l'augmentation des quantités produites.
La croissance économique dépend de l'utilisation des facteurs de production. Ces facteurs de production sont le capital, le travail et la productivité globale des facteurs.
La hausse du PIB engendre un accroissement de l'emploi et des revenus réels, sous l'impulsion de la courbe de Phillips. L'emploi augmente de 1,4 % en 2010 et le revenu disponible réel de 3 %.
Pour augmenter le PIB par habitant, on est obligé d'avoir une augmentation du PIB. Si la population reste stable, une hausse du PIB donnera lieu à une hausse du PIB par habitant.
C'est ce que les économistes appellent l'évolution du PIB en volume, exprimée en %. Par exemple, si la production a augmenté de 4 %, alors même que les prix ont augmenté de 3 %, la croissance a été de 1 % : 4 % de production moins 3 % de hausse des prix.
Si le solde des échanges extérieurs est négatif (on importe plus qu'on n'exporte), le PIB diminue et inversement si le solde des échanges extérieurs est positif (on exporte plus qu'on importe).
Quels sont les facteurs de croissance économique ? La croissance dépend de la mobilisation et de l'efficacité avec laquelle sont combinés les facteurs de production : travail et capital (bâtiments, machines, matériels…).
La croissance économique s'explique d'abord par la quantité de facteurs de production mobilisés. Ainsi, la quantité de facteur travail, c'est-à-dire l'augmentation de la population active, contribue directement à l'évolution de la quantité de biens et services produits.
Indicateur économique permettant de mesurer la production de richesses d'un pays, le produit intérieur brut (PIB) mesure la valeur de tous les biens et services produits dans un pays sur une année. La notion de produit national brut (PNB) n'est plus utilisée en comptabilité nationale.
On peut envisager le PIB, c'est-à-dire le produit intérieur brut, comme étant la note globale figurant sur le bulletin d'évaluation des résultats économiques d'un pays ou d'une région. (Image d'un bulletin scolaire.) C'est l'une des méthodes employées pour mesurer la taille et la croissance de l'économie.
Lorsque le PIB diminue au sein d'une économie, on parle non pas de récession mais d'un taux de croissance négatif. Cela signifie qu'il y a destruction de richesse, alors que la récession désigne une activité économique qui progresse toujours, mais de manière moins soutenue que la période précédente.
Les économistes divisent traditionnellement les facteurs de production en quatre catégories : la terre, le travail, le capital et l'entrepreneuriat.
La production c'est une activité de transformation qui st socialement organisée et qui est destinée à la fabrication de biens et services grâce à l'utilisation de facteurs de production : facteur travail. facteur capital technique. facteur capital financier.
Des réformes importantes du marché du travail, une réduction des prélèvements sur les entreprises et le travail et un plan d'investissement public favorable à l'amélioration de la productivité devraient aussi contribuer à stimuler la croissance et l'emploi à moyen terme.
La croissance économique mesure l'augmentation de la richesse produite pendant une période donnée. La richesse produite est mesurée par le PIB. Le taux de croissance correspond au taux de variation entre le produit intérieur brut (PIB) au début de la période et le PIB à la fin de la période considérée.
Les facteurs de production regroupent les moyens de production durables qui contribuent à la production : le travail, le capital et, parfois, la terre.
Le PIB est sans conteste l'indicateur le plus important pour décrire l'évolution d'une économie. Il quantifie la création de valeur annuelle d'un espace économique et exprime le revenu correspondant en termes monétaires.
Elle permet de mesurer les richesses produites globalement sur le territoire, donc sa capacité globale à satisfaire des besoins, son . Elle permet de mesurer l'évolution de cette production, ce que l'on appelle l'activité économique. En particulier, elle mesure le niveau de .
Le terme en volume supprime l'effet de l'inflation et donc cette donnée représente la véritable quantité produite en plus. Si l'augmentation du PIB est de 3%, on peut penser que cette augmentation est due : Soit à l'augmentation du volume de produits vendus. Soit à l'augmentation des prix.
Le capitalisme entraîne ainsi un blocage du développement, et la seule voie passe alors par une rupture politique, une déconnexion, selon l'expression de Samir Amin, comme par exemple la révolution socialiste en Chine en 1949, ou à Cuba en 1959 (cf.
Que ce soit par son évolution ou par son ratio par habitant, le Produit intérieur brut n'est qu'une mesure globale, une moyenne. Il ne permet d'appréhender ni les inégalités sociales ni leur évolution.
Les limites du PIB dans la comparaison
Il existe deux principales limites : Le PIB ne prend pas en compte les différences de conditions de production. L'économiste insiste sur l'effet de nécessité. En effet, deux pays peuvent avoir le niveau de confort équivalent mais avec des PIB différents.
On distingue parfois deux formes de croissance : la croissance extensive est proportionnelle à l'augmentation des quantités des facteurs de production alors que la croissance intensive est liée à l'augmentation de la productivité du travail et/ou du capital.